Hofstede Mexique

Mémoire de recherche appliquée Présenté devant l'École de Commerce Européenne pour l'obtention du Diplôme de l'ECE N° d’ordre : 2008961 LE MANAGEMENT INTERCULTUREL FRANCE-MEXIQUE Le management à la française au Mexique Ludovic JOLLY Promotion 2013 ECE Groupe INSEEC| Établissement reconnu par l'État | Diplôme visé par l'État   1   Remerciements Ce mémoire de Master est le résultat d’un travail de recherche de plusieurs mois. En préambule, je souhaite adresser tous mes remerciements aux

Le concept de pays d’origine a été étudié sous différents points de vue. En sociologie et en management, il existe de nombreuses recherches sur la relation entre la gestion et la culture dans un environnement internationale (Adler et Doktor, 1986; Hofstede, 1980; Albrecht, 1980; Deutsch,1984). En finance, on retrouve le concept de risque pays qui représente un outil de base dans la gestion internationale des entreprises (Mascarenhas, Briance et Sans, 1985; de la Torre et Neckar, 1991; Bennet et Green

Croître ensemble au Mexique Analyse du cas MBA IP 9 Management Interculturel Par:      Ahmed KAWTARI Ayoub GOUAALLA Mehdi BENBRAHIM Tarik ZEHZOUHI Youssef ELMALKI ALAOUI Problématique Contexte global : Le cas de Danone Mexique fait partie des quatre enquêtes de terrain effectuées par Philipe D’Iribarne auprès de quatre entreprises qui réussissent et tranchent avec leur environnement à la fois par leurs modèles de gestion et par leurs résultats économiques. Philipe D’Iribarne

qui se dresse en six étapes distinctes. Etape 1 : Résumé des faits USMed est une compagnie multinationale spécialisée dans la fabrication de produits médicaux. En plus de posséder six installations aux États-Unis, USMed détient une maquiladora au Mexique. Cette dernière bénéficie à l’entreprise une exonération des droits de douanes afin de profiter d’une main d’œuvre bon marché pour la conception de ses produits tout en favorisant l’économie du pays Mexicain. Il y a une vingtaine d’années, USMed avait

mexicaine ayant travaillé dix ans comme responsable des ressources humaines, dans deux usines appartenant à la multinationale pharmaceutique USMed. Ces usines constituent des points de rencontre entre deux cultures, l’une étant située à la frontière du Mexique, à Tijuana, et l’autre à la frontière des États-Unis, à Chula Vista. Selon Angelica, il n’y avait aucune politique concernant les ressources humaines ou la gestion de la diversité. Malgré son expérience, sa maîtrise de l’espagnol et son éducation

multinationale américaine possédant plusieurs usines aux États-Unis et au Mexique. Angelica fut nommée responsable d'une petite unité administrative située à Chula Vista, située du côté américain de la frontière. Son personnel compte au total 34 Américains et près de 1100 Mexicains. Angelica constata qu'il y avait un manque de communication entre les cadres des ressources humaines des installations situées aux États-Unis et au Mexique. Selon elle, USMed n'avait aucune politique générale en matière de

personnel comptait au total 34 Américains (12 du coté mexicain et 22 du coté américain) et pres de 1100 mexicains. Les relations étaient pratiquement inexistantes entre Angelica et les cadres aux RH des autres installations d’USMed aux états-Unis ou au Mexique. USMed n’avait aucune politique générale en matiere de gestion des ressources humaines, et encore moins en matiere de gestion de la diversité. Culture différente de la sienne. Ses tentatives de médiation entre les gestionnaires mexicains et

des ressources humaines pour la multinational pharmaceutique USmed. Sachant que madame Gazia était une américaine d’orgine mexcaine, ses patrons ont décidé qu’il serait préférable qu’elle soit responsable de la maquiladora situé aux frontières du Mexique et des états-unis ou la main d’œuvre essentiellement mexicaine si fesait bon marché. Madame Gazia stipule que ses supérieurs se sont trompé royalement lorsqu’il croyait que ses origines facilteraient sa relation avec les employées de l’usine. «…les

réparties dans plusieurs états américains. Angelica est aussi responsable d’une autre unité de ressources humaines dans la ville de Chula Vista, donc elle occupe le même poste à deux endroits différents mais de chaque côté de la frontière États-Unis/Mexique. Selon Angelica, USMed n’avait aucune politique générale en matière de gestion des ressources humaines, et encore moins en matière de gestion de la diversité.  On peut comprendre que les relations entre les cadres des ressources humaines des

Selon Garza, la multinationale n’était dotée d’aucune politique générale concernant la gestion des ressources humaines et la gestion de la diversité. Les relations entre elle et les cadres aux RH des autres unités d’USMed tant qux États-Unis qu’au Mexique, étaient quasi inexistantes. Angelica était mal préparée pour faire face à la réalité mexicaine et son adaptation n’en fût que plus difficile. Ses collègues de travail d’origine anglo-saxonne ne savaient presque rien au sujet de la réalité vécue