Hoggart La Culture Du Pauvre

COLLINE CASTAGNOS 20030467FICHE DE LECTURE «  HOGGART, LA CULTURE DU PAUVRE » PATRICK PEREZ NOTIONS TRANSVERSALES EN SOCIOLOGIENous allons aujourd’hui’ analyser un extrait de l’ouvrage de Richard Hoggart intitulé « la culture du pauvre ». Dans cet ouvrage, l’auteur aborde l’environnement des classes populaires, en abordant les conditions de vie économiques, sociales et politique de ces individus des classes modestes, en insistant sur le vécu des boursiers dans l’époque d’après guerre

Richard Hoggart LA CULTURE DU PAUVRE Traduction Française, Editions de Minuit, 1970, 420 pages, coll. « Le Sens Commun ». « La vie des classes populaires, si on voulait la résumer en une phrase, est une vie dense et concrète, où l’accent est mis sur le sens de l’intimité, la valeur du groupe domestique et le goût des plaisirs immédiats »( p.151.). Selon Hoggart, la culture est un « savoir » que l’individu acquiert à l’école, savoir qui participe à l’élaboration de son instruction

TEXTE DE RICHARD HOGGART, « La culture du pauvre », Minuit 1970 (1957), pages 117-146 Chapitrer III : « Eux » et « Nous » [pic] Il a également fait carrière dans des institutions publiques, et a été assistant directeur général de l'Unesco de 1971 à 1975. Il est surtout connu pour son livre La Culture du pauvre, paru en 1957, qui a renouvelé l'analyse de la culture populaire Richard Hoggart naît en 1918, dans un quartier ouvrier de Leeds. Orphelin, il est élevé par sa grand-mère dès l'âge de

Richard Hoggart LA CULTURE DU PAUVRE Traduction Française, Editions de Minuit, 1970, 420 pages, coll. « Le Sens Commun ». Richard Hoggart est un intellectuel anglais issu des classes populaires. Dans son ouvrage, il utilise son expérience personnelle couplée à des enquêtes sociologiques pour reconstituer de manière relativement objective la culture populaire anglaise des années 20 aux années 50. Il tente, à travers son explication, de mettre en exergue les faiblesses et les richesses

Julie de Gendt SOCA12BA Gutierrez-Rodriguez Manon HOGGART « La culture du pauvre » Hoggart, né de la classe populaire pour devenir ensuite professeur à l’université, fait une étude sociologique sur son propre milieu, le milieu populaire. Il nous fait part de différents concepts majeurs nécessaires pour mettre en œuvre son analyse des classes. Dès les débuts de son analyse, Hoggart se prémunit face au subjectivisme, notion qui consiste à réduire toute connaissance à ce que révèle

de la production notamment. En effet, une socialisation particulière parait indispensable pour adhérer à ce groupe social spécifique que forment les ouvriers. Il apparait ainsi singulier que l’apprentissage d’un métier ainsi que l’adhésion à une culture particulière par le biais de la socialisation doivent aller de pair pour pouvoir « devenir ouvrier ». Le problème semble d’autant plus intéressant que la question de la fluidité sociale se révèle en filigrane. Par quels moyens adhère-t-on à ce groupe

 Quelles sont leurs origines ? Ce courant de recherche est apparu dans les années 1960 en Grande Bretagne : à Birmingham, en 1964, Richard Hoggart fonde le Centre for Contemporary Cultural Studies (CCCS). Outre son fondateur, on associe généralement à ce courant : Stuart Hall Dans les années 70, les cultural studies sont introduites aux Etats-Unis où elles sont mises en relation avec la French Theory, expression servant à désigner les travaux de philosophes comme Jacques Derrida, Gilles

Chauvel, sociologue Parisien né en 1967. Ce texte qui trace une analyse segmentée de la stabilité et de la dynamique sociale fera l'objet d'une analyse critique. Le second texte sur lequel nous porterons notre attention est La culture du pauvre, publié en 1957 par Richard Hoggart, sociologue anglais né en 1918. Ce texte est une analyse sociologique sous forme de témoignage personnel (pour ne pas dire de biographie) de l'auteur, ou sera abordé le concept de classe sociale et les clivages sociaux inhérents

revenu et souvent confronté par le chômage, les personnes inexpérimentées qui n’ont pas de compétence pour s’intégré dans la société ou dans le domaine du travail le fait qu’ils sont inexpérimentés prouve qu’ils sont bien vulnérable ou bien à des pauvres appelé classe populaire qui souvent exclu dans la société du fait de leur manque de compétence et qui ne dispose pas suffisamment de ressources pour s’intégré dans la société, le désavantage touche aussi les jeunes issu de l’immigration du fait de

approche moins critique du sens commun. Il existe une autre façon d’aborder le sens commun, de manière moins critique, Richard Hoggart (La culture du pauvre) : Le projet de Hoggart, c’est de décrire par une enquête de technographiques cmt le public se construit un avis, une opinion, ce qu’il appelle lui la culture populaire. Il dit que le sens commun, et que cette culture populaire est un savoir qui peut être un savoir critique, il ne faut pas, quand on juge, avoir de regard condescendant et trop