Holocauste

quence parmi d’autres de la barbarie nazie et des destructions massives engendrées par la guerre. Au cours des décennies suivantes, les travaux des historiens sur le génocide, le succès d’œuvres cinématographiques comme la série américaine Holocauste ou le documentaire français Shoah contribuent à montrer au grand public la spécificité du génocide. D’autre part, la persistance d’un antisémitisme en Europe et le débat concer- nant la politique d’Israël font de l’extermination des Juifs

vers des camps de concentration tels Dachau, puis d'extermination tels Chelmno ou Auschwitz, un camp où plus d'un million de personnes ont perdu la vie (chambres à gaz, exécutions, maladies et malnutrition). L'extermination des Juifs est appelée holocauste ou Shoah (« catastrophe » en hébreu). Les bombardements intensifs de certaines villes ont également été responsables d'une part importante des pertes civiles de la Seconde Guerre mondiale. En Europe, des villes comme Londres ont été sévèrement

immigration by Jews to Palestine increased substantially but Arabs still made up the vast majority of the population. The Zionist movement did not attract the attention of most of the international community until after the Second World War. The Holocaust, led by Nazi Germany, resulted in the deaths of over six million Jews and after the end of the war the world realized the desire of the Jewish people for a historic homeland of their own where they would be free from discrimination and persecution

François Bédarida et Pierre Vidal-Naquet. Quels enjeux ? Évoquons dans un premier temps les enjeux de la réflexion autour du plan nazi de Endlösung. Une question de sémantique tout d’abord : «solution finale», «génocide», «Shoah», «Holocauste» ou «holocauste», quel terme choisir ? Cette hésitation traduit bien ce sentiment d’être face à «une sorte d’énigme pour la raison historique» (6). A. Mayer refuse ces termes pour leur préférer celui de «judéocide», revendiquant, dès ses premières pages

Etats-Unis mettent au point la bombe H, une arme atomique thermonucléaire encore plus meurtrière que la bombe A. Mais l’URSS se dote à son tour de la bombe H (1953) : aucun affrontement direct n’est désormais possible entre les Grands sans provoquer l’« holocauste nucléaire ». L’« équilibre de la terreur » explique donc la nature de la guerre froide. En Europe, la lutte idéologique se poursuit pour gagner les opinions publiques, mais la guerre est exclue. Sur des théâtres périphériques, en revanche, comme

d’où le lancement d’un vaste plan de colonisation de ceux-ci. La rhétorique de l’Holocauste Malgré les comparaisons dressées entre Yasser Arafat et Adolf Hitler, entre Beyrouth et le Berlin nazi, et la réactivation de la rhétorique d’un « nouvel Holocauste », cette opération contre l’OLP et ses alliés libanais ouvrait le cycle des confrontations asymétriques dans lesquelles Israël se retrouvait confronté à des organisations de guérilla. Dans l’un des meilleurs livres sur cette guerre, deux spécialistes

soviétique et la Pologne ou recouvrés par la Tchécoslovaquie ou la Roumanie. Parmi eux, les Sudètes, Allemands des régions frontières de la Tchécoslovaquie dont l'agitation nationaliste avait servi de prétexte pour envahir le pays en 1938-1939. 2 Holocauste : nom par lequel on désigne, en Amérique du Nord, le génocide des Juifs par les nazis. Proposition de corrigé (harmonisation du 25 juin 2004)- TERRITOIRE ET NATION EN ALLEMAGNE, DE 1850 A NOS JOURS -Sujet n° 1QUESTIONS Question 1 (document 1)

Grimbert, est psycheanalyste. Extrait  Page 49 à 50 (édition Merles Blancs) de « Mon voisin le capitaine….. le signe que Louise attendait ». Le personnage clé raconte ici sur la projection qu’il visionne en classe. La projection porte sur le Holocaust. Images déjà vues par lui, mais cette fois-ci, en les voyant publiquement exposées et soumises au regard et jugement d’atrui, ses camarades de classe, il ne supporte ni les images, ni les remarques faites par les autres. Le passage en lui-même commence

raison valable. Pour plusieurs, lorsque l’on parle du Judaïsme, ils pensent à la Shoah. La Shoah est en fait l’extermination des juifs lors de la deuxième guerre mondiale, elle signifie «Catastrophe» en Hébreux. On peut aussi utiliser le terme «Holocauste». La Shoah constitue une représentation ultime du mal, un génocide unique. Autant par son caractère systématique qu’intentionnel. Lors de la Shoah, on estime la mort de plus de 5 millions de Juifs, soit 40% des juifs du monde. La Shoah est à

témoignages. Pour la première fois, la distinction entre camps de concentration et camps d'extermination est clairement faite. Ce film présente la spécificité du génocide. Shoah signifie catastrophe en Hébreu. Claude Lanzmann n'aime pas le terme Holocauste. Ce film est très bien accueillis et a un très fort retentissement près du publique et des chercheurs, à tel point qu'il fut utilisé comme outils pédagogique dans les collèges et les lycées. 2° - Les lois mémorielles. Les politiques oscillent