Homéotéleute

Figures de styles : Allégorie : Personnification d’une idée abstraite par une image, un tableau, souvent par un être vivant. EX : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » Allitération : Répétition d’une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots. EX : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers. EX : « Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits »

DES IMAGES : - La comparaison - La terre est comme une orange. - La métaphore - La lumière de l'esprit. - La personnification - L'arbre pleure. - L'allégorie - L'espoDES IMAGES : - La comparaison - La terre est comme une orange. - La métaphore - La lumière de l'esprit. - La personnification - L'arbre pleure. - L'allégorie - L'espoir le regarde. 2. DES SUITES : - La répétition - Il a faim, faim, faim. - La redondance - Une personne calme et tranquille. - La gradation - Il est touché

LES FIGURES DE STYLE On définit traditionnellement la figure comme un écart par rapport a l’usage normal de la langue, caractéristique de la langue littéraire. Mais les figures se rencontrent aussi dans la langue courante (les « pieds » de la table, les « ailes » du moulin). La connaissance des principales figures est essentielle à la compréhension et à l’interprétation des énoncés littéraires et non littéraires. Les figures de répétition. * Répétions de sonorités * Une allitération

 1- Assonance Répetition de plusieurs (2 et +) voyelles identiques à l’intérieur d’un vers Ex: Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant. 2- Allitération Répétition de plusieurs (2 et +) consonnes identiques à l’intérieur d’un vers Ex : La cloche coquine conduit la cruche au cachot. 3- Paranomase Rapprochement de mots dont le son est à peu près semblable, mais dont les sens est différent. Ex : Toi qui endors les cœurs, toi qui endors les corps. 4- Inversion de groupes de mots

. Jonathan Nins Explication de Texte Ponge L’huitre était écrit en 1942 par Francis Ponge. Il s’agit de la description d’une particulière huitre ; Ponge décrive le monde de l’huître. L’observation d’une huitre devient obscure, et peut-être il faut passer aux sémiotiques pour mieux le comprendre, pourtant la rigueur de Ponge entraine un épuisement des caractéristiques. Le poème commence par son titre. Ponge expose que c’est une huitre donc qu’il va écrire. Ponge fait le sujet de son poème

On peut remarquer ligne 1 " Enfin " ce qui donne un effet conclusif au roman et montre la fin du livre. Ligne 1 " le cymbalum se tut " est une personnification qui dramatise la scène. Lorsque le cymbalum s'arrête, la musique s’arrête donc cela veut dire que le livre est fini car dans le livre il y a sans cesse un rapport à la musique grâce à Jaroslave. L'orchestre joue et donne un effet de rythme à l'histoire. L’opposition entre "vouloir" et "pouvoir" lignes 2 et 4 montre qu’il ne peut pas faire

Le Revenant Comme les anges à l'oeil fauve, → metaphore et comparaison Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres de la nuit; Et je te donnerai, ma brune, Des baisers froids comme la lune → comparaison Et des caresses de serpent → metaphore et oximore Autour d'une fosse rampant. Quand viendra le matin livide, → metaphore Tu trouveras ma place vide, Où jusqu'au soir il fera froid. Comme d'autres par la tendresse, Sur ta vie et sur ta jeunesse, Moi

Iceberg est un poème en prose composé de 4 versets. Nous pouvons voir quelques particularités, par exemple, les trois derniers paragraphes ont la même structure : il n’y a que deux phrases. Les premières phrases sont toujours non verbales et les deuxièmes sont toujours verbales. Nous retrouvons différentes figures de style que nous énoncerons dans l’analyse des paragraphes mais nous pouvons déjà en citer deux qui se retrouvent dans tout le poème. L’anaphore, en effet, le mot « Iceberg » est toujours

Katee Krug L’analyse d’un poème 03/10/14 Le poème « Si notre vie est moins qu’une journée » est un sonnet superbe par Joachim du Bellay en 1550. Le sonnet est divisé par deux quatrains et deux tercets qui consistent en décasyllabes. Les rimes du poème sont embrassées pour les deux quatrains et le dernier tercet, mais sont suivie dans le premier tercet. Au début, les quatrains posent la question de la brièveté de la vie et l’emprisonnement de l’âme sur la terre. Dans les tercets, le poème change

Hendiadis ou hendiadyn (m) : Deux mots compléments sont coordonnés. Penché sur l'onde et sur l'immensité. (V. Hugo) Hiatus (m) : Rencontre de deux sons vocaliques produisant un effet disgracieux. J'arrivai ici hier. Homéotéleute (f) : Répétition d'un son ou d'un groupe de sons à la finale de plusieurs mots successifs. C'était un spectacle dantesque, gigantesque, burlesque. Hypallage (f) : Déplacement d'un épithète auprès d'un mot qu'il ne détermine pas ou