Homo sapiens

Chapitre 3 Des retrouvailles si espérées Alors que Alexis et Maëlle observaient leurs deux amies descendre avec précaution la cascade, ils entendirent des bruits de pas saccadés se précipitant vers eux, pris de terreur, ils virent alors trois ombres arriver à toute vitesse. Alexis et Maëlle décidèrent alors de partir se cacher derrière un des rochers non loin du sentier. Ils se regardèrent trembler, et oublièrent de prévenir leurs deux amies qui étaient toujours à descendre la cascade. Les

Cela fait bien longtemps, tout juste cinq ans aujourd’hui, que tu a été décimé par cette maladie, qui te rongeait doucement. Cinq ans, que tu es parti, cinq ans que je perdure seul, que j’erre, à travers la mélancolie et l’amertume. Tes chimères et idéologies passées me tourmentent, me hantent, et c’est des suites d’une longue agonie que je vais sans doute te rejoindre, attiré par cette force spirituelle qui me subjugue de jours en jours. C’est pourquoi, peut être comme une donation j’offre cet

Le désert reste un endroit très mystérieux. Le jour, seules une chaleur étouffante et des dunes paresseuses règnent. Une brise reste un espoir qui ne viendra jamais alors que la piqûre du scorpion guette, tapie sous une pierre. La nuit, tout s'agite tandis qu'un froid mordant nous envahit. Les animaux, endormis la journée, se réveillent, s'agitent, partent en chasse. Le fennec croque les insectes dont les pattes dessinent des guirlandes sur le sable refroidi. Les chacals se battent pour une charogne

Qui dit « je » quand je dis « je désire » ? Le pronom « je » peut représenter l'individu en tant qu'unité humaine (organisme, masse tissulaire) ou qu'être de conscience (capacité de raisonner, d'avoir conscience de quelque-chose...). Nous pourrions nous questionner dans un premier temps, sur la façon dont les êtres se caractérisent et sur le fait que l'être se détermine comme étant singulier. Pour cela, nous verrons que le sujet est un être conscient qui est capable de désirer. Pour conclure,

RONALD COASE Prix Nobel d’économie L’entreprise, le marché et le droit Traduit de l’anglais et présenté par Boualem Aliouat © Éditions d’Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-2000-X L’entreprise, le marché et le droit 1 I. INTRODUCTION L’essentiel de cet ouvrage tient dans trois articles : « La nature de la firme » (1937), « La controverse du coût marginal » (1946) et « Le problème du coût social » (1960). Les autres articles prolongent, illustrent ou explicitent les thèses que nous

Le temps de rire est la musique de l’âme, de plus, la plus sérieuse performance de nous-mêmes où le temps s’accorde aux autres et à soi-même. L’égoïsme est au delà d’un rire méchant. Le rire bon peut paraître forme d’égoïsme, il n'en est rien lorsqu’il est partagé. Rire beaucoup c’est refouler sa folie et accepter celle des hommes. Faire rire, c’est connaître sa propre folie et demander aux hommes, d’accepter. Imposer de faire l’humour est l’école de la divine contrariété; arme

Mekkaoui Houda Professeurs : E. Ropars et F. Martinet ENSPALV FICHE DE LECTURE

Anne-Sophie Le Coguic (M1) FICHE DE LECTURE LA FEMME AUX SERPENTS, VILOTEAU (Nicole) I. Auteur Nicole Viloteau est herpétologue (spécialiste des reptiles), photographe-reporter et auteure de nombreux livres et reportages. Elle consacre sa vie à l'étude des reptiles, animaux chers à son cœur. Elle s’est ainsi rendu aux quatre coins du monde pour observer, capturer et photographier serpents, lézards, varans, dragons, grenouilles, etc. Dans ses récits et documentaires

Dissertation La diversité culturelle est-elle un obstacle à la vie en société ? Durant l'Histoire, l'homme c'est forgé un identité, une culture, individuellement ou en communauté. L'humanité s'est développée, l'homme s'est installée, s'est ouvert aux autres et a formé avec d'autres individus, au fil du temps, une société. Le terme « culture » peut être désigné par plusieurs choses mais c'est la définition anthropologique qui désigne au mieux la culture. En effet en anthropologie, la culture

Il peut sembler évident que nous avons conscience de ce que nous sommes, mais l’authentique question serait sommes nous ce dont nous avons conscience? J’ai conscience d’être timide, pourtant je me suis porté volontaire pour résoudre un problème mathématiques au tableau. Je ne suis pas sportive pourtant j’ai plus d’endurance que mes camarades. En conséquent, mon être correspond il vraiment à la conscience que j’en ai? Le problème que soulève ce sujet est donc de savoir si le lien qu’il existe entre