Homozygote

les canaux. Certaines maladies génétiques, lorsqu’elles touchent les cellules reproductrices sont héréditaires, c’est malheureusement le cas de la mucoviscidose. Mais seul un individu portant le gène déficient sur les deux brins de son ADN sera homozygote (malade). Pour commencer les traitements le plus tôt possible et essayer d’améliorer la vie des malades, en France, un dépistage est fait chez le nourrisson. Il existe plusieurs traitements contre cette maladie, tout d’abord des règles de vie stricte

conduisant à la diversité 1. La transmission des allèles Phénotype : caractère qui se met en place avec un ou plusieurs gènes Gènes : une séquence de nucléotides Dans cellules diploïdes : un gène représenté par deux allèles 2 mêmes versions : individu homozygote 2 versions différentes : individu hétérozygote Dans une cellule haploïde comme un gamète : un gène représenté par un allèle Fécondation  rétablit la diploïdie Accident génétique : une mauvaise répartition des chromosomes ou des chromatides pendant

transfection de ces cellules contenant la séquence modifiée et la sélection des cellules souches recombinées, puis l’injection de ces cellules dans des embryons de souris et enfin les croisements entre souris qui vont permettre de donner des sujets KO homozygotes [3], [7]. 2.2.1. Isolement et transfection des cellules souches embryonnaires On prélève la masse cellulaire interne d’embryons de souris au stade blastocystes (4 à 5 jours). Ces cellules souches embryonnaires sont totipotentes, c'est-à-dire

indépendants, c'est-à-dire portés par deux paires de chromosomes homologues. Comment expliquez-vous simplement l’uniformité de cette descendance ? Réponse : L’uniformité des F1 s’explique par le fait que les parents étaient de race pure donc homozygotes, de génotypes : P1 (C//C ; b//b) x P2 (l//l ; N//N) dans le cadre de notre hypothèse. Nous pouvons alors faire les prévisions théoriques suivantes : La méiose séparant les allèles de chaque couple en AI, P1 ne peut fournir qu’un seul type de gamète

: un allèle. Chaque allèle d’un gène est légèrement différent des autres et code pour une protéine parfois légèrement différente. C’est ce que l’on appelle le polymorphisme génétique. Chaque chromosome d’une paire comprend le même locus. Homozygote = pour un même locus la même version du gène Hétérozygote = pour un même locus une version différente du gène Dans ce cas il peut il y avoir Co-expression ou dominance d’un allèle sur l’autre (dominant / récessif) Du gène à la protéine La

L’allèle « vg+ » est dominant sur l’allèle « vg ». Le croisement réalisé Un croisement-test est réalisé entre des Drosophiles femelles hétérozygotes pour les 2 gènes de phénotype sauvage [corps gris-jaune, ailes longues] et des mâles homozygotes doubles récessifs de souche pure au corps noir et aux ailes vestigiales.On veut montrer que la formation des gamètes et la fécondation permettent d'aboutir à des combinaisons phénotypiques nouvelles et donc à une grande diversité d'individus au

gènes appartenant à une espèce. Allèle: Variation (version) d'un gène. Gène: Fragment d'ADN qui code une information. Mutation: Changement dans la séquence d'un gène. Il en existe 3 sortes (par substitution, délétion et insertion). Hétérozygote/Homozygote: Dont les chromosomes possèdent des allèles différents/identiques d'un gène donné (groupe sanguin, par ex). Code génétique: Tableau de système de correspondance entre les triplets de nucléotides (codon) et les acides aminés. Il est redondant et

génétiquement différents. Ce brassage interchromosomique peut être mis en évidence par le croisement test ou test cross entre un individu hétérozygote pour deux gènes situés sur des paires de chromosomes différents (= gènes indépendants) et un parent homozygote possédant les allèles récessifs de ces gènes. Dans la descendance, il apparaît les deux phénotypes parentaux et deux phénotypes recombinés en proportions égales (25% 25% 25% 25%). Cela signifie que l’individu double hétérozygote a produit 4 types

rouges - yeux pourpres » est déterminé par un gène existant sous deux formes alléliques notées respectivement pu+ (dont l'expression est dominante) et pu (dont l'expression est récessive). La génération F1 résulte de l'accouplement d'individus homozygotes pour les deux gènes considérés. Document 2 b : obtention d'une génération F2 par croisement-test. La génération F2 résulte d’un croisement-test : des femelles de la génération F1 ont été fécondées par des mâles possédant, pour les deux gènes

placés en culture pendant 72h dans un milieu contenant du DES Document 3 : Synthèse des ARNm correspondant aux protéines StAR, P450scc, et P450c17 dans le cytoplasme des cellules interstitielles de Leydig des testicules foetaux de souris sauvages et homozygotes mutées Source: d'après Géraldine Delbès et al in« Endocrinology », 2005. StAR, P450scc et P450c17sont trois protéines impliquées dans la synthèse de la testostérone. . Professeur Manumanu www.intellego.fr/doc/19985 TOUTES LES ANNALES CORRIGEES