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HORACE ODES, IV 10 O crudelis adhuc et Veneris muneribus potens, Ô cruel jusqu’à maintenant et puissant des bienfaits de Vénus insperata tuae cum ueniet pluma superbiae Lorsque viendra à ton orgueil une plume inattendue et, quae nunc umeris inuolitant, deciderint comae, Abl pl Et que tes cheveux, qui volètent maintenant sur tes épaules, seront tombés nunc et qui color est puniceae flore prior rosae Génitif sg abl sg génitif sg Et que ton

|Recherche l’équilibre et l’harmonie. Idéal esthétique répondant à des règles strictes (règles de trois unités) La poésie: fable |Molière(Tartuffe) Boileau(Art poétique) de La Fontaine(Fables) assis sur une Racine(Bérénice) regardant les Corneille(Horace) | |Les Lumières, 18ème siècle Règne de Louis 15 et 16 Affaiblissement du pouvoir royal |Développer l’esprit critique et lutter contre les préjugés Valorisation du pouvoir de la raison, l’esprit de tolérance. |Voltaire, (Traité sur la Tolérance)

Fiche de lecture : Horace de Corneille I) Présentation de l’auteur Pierre Corneille est aussi appelé Grand Corneille , est né à Rouen le 6 Juin 1606 et mort à Paris le 1er Octobre 1684 . C’est un dramaturge français de la période du pré - classique et du classique . Il fait partie d’une famille de la bourgeoisie de noble cultivée . Corneille fait ses études au collège des Jésuites de Rouen puis une licence de droit . Il débute sa carrière avec une pièce intitulée Mélite en 1629 - 1630 .

peut donc aujourd’hui trouver le repos alors que l’autre n’a rien pour se vanter et reste accroupie qui a une connotation péjorative qui pourrait signifier ici accablée. Quatrième strophe : Nous pouvons observer la notion de «Carpe diem » amenée par Horace. Elle stipule qu’il faut vivre l’instant présent comme demandé à Hélène. Il y a une métaphore entre les roses et la vie : La vie est comparée à une rose, cela insiste sur sa fragilité, sur le fait qu’elle pourrait rapidement se faner. Ensuite le « dès

(17) et en plaçant l’action dans une urgence absolue par la répétition : « Cueillez, cueillez » (16). B. La valeur philosophique du discours se veut incitative car ce vers 16, sous une forme métaphorique, rappelle le fameux conseil du poète latin Horace (1er siècle ap. JC) : « Carpe diem ». De nouveau, l’humaniste Ronsard puise sa référence dans le modèle antique, plus précisément dans l’épicurisme, en observant avec angoisse la brièveté et la fragilité de l’existence, et en proposant à sa destinataire

fleur. « fleuronne », « verte nouveauté ». On peut donc penser à la rose du début : toute nouvelle, belle, fraîche. Tout cela permet à Ronsard de donner ce conseil à Cassandre : « Cueillez, cueillez votre jeunesse ». Cela rappelle le poète romain Horace qui avait dit Carpe diem. Vous connaissez Carpe diem ? Profiter du moment. Il l’invite donc de manière très visible de profiter de sa jeunesse (et de se laisser séduire par Ronsard), et donc de ne pas attendre et vieillir, devenir fanée… Dans cette

c’était pour cela que le présent nous échappait. Dit comme cela, nous pouvons bien deviner que nous serions beaucoup plus heureux en vivant l’instant présent.. Introduction : Horace disait déjà un siècle dans son poème à Leuconoé avant J.-C., cueille le jour présent sans te soucier de l’avenir  (Carpe Diem). Dans ce poème, Horace cherche à persuader Leuconoé à ne pas se soucier de son avenir pour mieux profiter du présent. Carpe Diem illustre donc assez bien l’énoncé de Max Frisch. Max Frisch cherche

des auteurs que le jeune poète avait critiqués.  Boileau, satire VI, les embarras de Paris Dans cette sixième satire, Boileau, bourgeois parisien, qui connaît bien sa ville, s’inspire aussi, en digne partisan des « Anciens » des écrivains antiques, Horace et Juvénal, avec leur description de Rome. Comment Boileau critique-t-il Paris et la vie qu’on y mène ?   LA DESCRIPTION DE PARIS  Au XVII° siècle, Paris connaît un important essor même si le Roi a commencé à aménager Versailles où il séjourne, délaissant

lire2. À l'inverse d'un traité en prose, qui réclamerait une rigueur sévère dans la construction, L'Art Poétique a les apparences d'un poème didactique mais n'a pas pour but d'enseigner à bien écrire3. Cette poétique, inspirée dans sa méthode par Horace et dans ses théories par Aristote, est surtout un poème satirique qui donne à son auteur l'espace nécessaire pour exposer ce qu'il juge bon ou mauvais Dans ses six premiers vers, le poète affirme la nécessité d'un talent inné sans lequel l'écriture

son éclat à l’époque où la fable a été écrite. En effet, le peintre Charles Lebrun, premier peintre du roi et chancelier de l’ Académie de Peinture, redonne à celle-ci un lustre largement national. La fable reprend un thème de l’ « Art poétique » de Horace, une réflexion sur l’ art « Mais, direz-vous, peintres et poètes ont toujours eu le droit de tout oser - Je le sais ; c’est un droit que nous réclamons pour nous et accordons aux autres. Il ne va pourtant pas jusqu’à permettre l’alliance de la douceur