Horace De Corneille

théâtre parisien du XVIIe siècle regorge d’épisodes de rivalité entre les troupes, qui prennent notamment la forme de pièces jumelles, composées sur le même sujet, à l’instar des deux Bérénice de 1670 (celle de Racine à l’Hôtel de Bourgogne, celle de Corneille au Marais). On peut même faire l’hypothèse que la « fronde » se serait probablement dissipée si Molière ne lui avait donné, avec La Critique de l’École des femmes, un tel retentissement, en désignant lui-même ses adversaires, réels ou supposés, ainsi

Nous avons la règle des 3 unités : lieu temps et action La règle de bienséance La règle de vraisemblance Auteurs : Molière, Corneille, ect Au XVIIe siècle, les règles du théâtre se précisent : c'est ainsi que le théâtre classique est théorisé. Les principaux dramaturges classiques (Racine, Corneille, etc.), fascinés par la dramaturgie antique, puisent leur inspiration chez des auteurs de la Grèce antique. ILes règles du théâtre classique du XVIIe siècle ALa vraisemblance et la bienséance

règles de bienséance imposent que la pièce observe les mœurs de l’époque de l’action et celles de l’époque de la représentation. Elles interdisent par exemple qu’on montre un mort sur scène. Dans Horace, Pierre Corneille évoque le meurtre de Curiace par Horace seulement par un dialogue entre Camille et Horace, puis le meurtre de Camille par un simple cri, mais toujours sans les montrer. La didascalie, « blessée derrière le théâtre » le précise bien. En cas de non-respect de ces conventions, une pièce

Jacques-Louis David« Le Serment des Horaces »Une peinture moraleCe sujet tiré de l’histoire de Rome et des pièces classiques, comme l’Horace de Corneille (1640), permet d’exalter la vertu, le don de soi et le patriotisme, autant de qualités qui seront défendues par les révolutionnaires. Cette idéologie se rapproche de celle des philosophes des Lumières, comme Diderot, qui prônait une peinture morale et cherchait dans l’Antiquité le modèle d’une société nouvelle.Le manifeste du néoclassicismeCe tableau

retrouve désemparé devant leur entêtement à refuser La Grange et Du Croisy. C’est un économe et il est très réaliste, tout ce qui compte pour lui est sa tranquillité, sa bourse et avant tout sa réputation. * Clindor, L’Illusion comique - 1635(Corneille) Il est le fils de Pridamant, qui le recherche désespérément. Ses divers petits métiers éphémères un montre son caractère frivole et trompeur. Il fait preuve d’une désobéissance aux règles sociales et amoureuses ainsi que d’une ingéniosité digne

Biographies d’auteursPierre Corneille : dramaturge classique français du 17e siècle. Issus d’une famille de bourgeois, il fit des études de droit et devient avocat. Il était très brillant. Il a écrit une trentaine de pièces très variées mais ses pièces les plus connues sont Le Cid, Cinna, Polyeucte, et Horace. Il a d’abord été auteur de comédies, genre mineur, puis a connu la consécration avec ses tragédies, genre majeur. La richesse et la diversité de son œuvre reflètent les

dont elle eut un fils. Bannie par Thésée, qu'elle avait vainement tenté de faire périr, elle retourna enfin auprès de son père en Colchide et, selon la tradition, descendit aux champs Elysées, où elle s'unit à Achille. Corneille . (1606-1684) | Pierre Corneille est né à Rouen en 1606, il est fils d'avocat, et poursuis des études chez les jésuites. En 1624, il est reçu en tant que avocat au parlement de Rouen, mais  il préfère s'orienter vers une carrière poétique et dramatique. En 1629

d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Exemple dans Horace de Corneille (acte IV, scène 6) : « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! / Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! / Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! / Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! » Antithèse (féminin) :

Sartre dans Qu’est -ce que la littérature ? Une toute autre manière de faire : examiner après coup ses propres ouvrages C’est la démarche adoptée par Corneille, un auteur de tragédies (Médée en 1635) qui sont des transcriptions du genre antique. La tragédie devient alors le Grand Genre Théâtral, celui sur lequel on va théoriser. Cependant Corneille a du mal à se maintenir dans le carcan des règles classiques, il va tout d’abord les dépasser pour y rentrer en 1640, après la Querelle du Cid, et éprouve

Cid de Corneille se précisera la mise en place de certaines règles dans les représentations théâtrales. D’abord, le sujet de la pièce doit être vraisemblable : il ne s’agit pas d’imaginer des situations extravagantes. Ensuite, les genres ne doivent pas être mélangés : la tragédie s’impose comme le genre le plus noble. Enfin, la règle des trois unités doit être respectée. (Boileau : « Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. ») CORNEILLE : (1606-1684)