Horizon cosmologique

de la révolution française c'est la lutte des classes. C'est à dire les Bourgeois et la Noblesse contre le Tiers-Etat/les Prolétaires. Guizot et Thierry considèrent qu'avec l'avènement de la démocratie, le conflit entre les classes a disparu. Un horizon politique commun doit permettre l'amélioration du système libéral. Marx s'oppose à cette idée, il considère que la lutte des classes n'est pas interrompue. Elle est le moteur de toute l'histoire et ne cessera qu'avec l'avènement du communisme.

vie des astres. Dès lors l'astrophysique n'est plus seulement une science née d'une union de plus en plus forte entre physique, macrophysique et astronomie d'observation ; c'est aussi une science qui a fait émerger d'elle-même un schème cognitif cosmologique : celui-ci permet de relier entre elles des connaissances disciplinaires très diverses pour considérer notre univers et son histoire, et du coup introduit dans la science (en renouvelant l'intérêt philosophique de ce problème-clé) ce qui semblait

et met à la question la raison. Est-ce la même science qui concerne les contraires ? Nous n'échappons pas au trigone des réponses logique, mathématique et philosophique. A la question de savoir si le monde a un commencement, la réponse peut être cosmologique, physique ou épistémologique. Faut-il obéir à ses parents ou aux lois ? La psychologie, la morale, la politique et la religion ont produit des réponses souvent rivales ou contraires. A la question philosophique succèdent des réponses qui exigent

peuples sans écriture qu’il a été amené à tenter l’explication de la structure du comportement de l’homme religieux et à déchiffrer les symboles qui la sous-tendent. « Le symbole prolonge ou constitue une hiérophanie. Il révèle une réalité sacrée ou cosmologique qu’aucune autre manifestation n’est à même de révéler ». Ainsi, Mircea ELIADE situe le symbole et sa fonction dans la dialectique du sacré. Il le considère comme une forme autonome de révélation, comme un langage multivalent qui fait prendre conscience

jamais vues. Nous voguons vers un nouveau monde. Notre conception du cosmos est étroitement liée aux observations. Sans elles, nous tournerions en rond en jouant avec des équations de manière stérile. Ce sont elles qui ont provoqué la révolution cosmologique du début de ce siècle et ce sont encore elles qui provoqueront la révolution du vingt et unième, qui est maintenant si proche. Pour rendre compte de ces observations nouvelles, nous devrons perfectionner, ou peut-être même modifier profondément

disponibilité de services infinie, convenablement gérées. Elles comprennent la terre (cultivable en particulier), l'eau, l'air, l'ensemble des ressources biologiques, végétales et animales. L'énergie solaire, bien que non renouvelable à l'échelle cosmologique, est considérée comme renouvelable au faible terme de l'histoire de l'humanité. * Les ressources non renouvelables ne sont susceptibles de fournir que des disponibilités de services finies. Elles comprennent l'ensemble des ressources minérales

zone extraterrestre immensément grande et peut-être même infini composé d'environ 300 milliards de galaxies qui est un assemblage de planètes, d'étoiles, de poussières, et de matières noires, crée il y a 15 milliards d'année par un phénomène cosmologique appelé Big Bang par les scientifiques pour décrire l'origine et la progression de l'univers. D'énormes progrès en astronomie durant le 20éme et le 21éme siècles ont été réalisé et certaines études démontrent que d'ici 2050, nous serons environ

âmes des morts et les esprits. Notion présente dans certaines sociétés archaïques (mais pas toutes) sous diverses appellations, et absence d’universalité ne lui permet pas de constituer la base d’une théorie générale de la religion primitive. Dans horizon mental archaïque, corporel/incorporel et personnel/impersonnel non opposés et aussi compartimentés que dans les cultures « historiques » : seule la question de l’existence réelle (le problème doit donc se poser en termes ontologiques) lui importe

(comme la logique) qui ne nous apprendrait rien sur le monde, mais davantage comme un modèle d’explication des phénomènes. Il en résulte que la science ne peut pas s’émanciper des faits dans le sens où ceux-ci constituent son horizon ultime. En effet, une théorie scientifique qui serait radicalement contredite par les faits ne serait plus une théorie scientifique, mais une croyance ou une pseudo-science. Le respect des faits et de leur constatation nous permet

de la position des astres sur leurs orbites et le calcul des dates d'occurrence des éclipses (tables de Ptolémée, reprenant et perfectionnant des tables antérieures. Les premières devraient remonter à Hipparque) ; la discussion de systèmes cosmologiques non géocentriques (Aristarque). Mais cet apport, suivi seulement par Séleucos de Séleucie, restera en sommeil jusque Copernic ; l’établissement des premiers grands catalogues d'étoiles par Timocharis d'Alexandrie, Hipparque de Nicée, Archimède