Hospitalisation sans consentement

réunies : • le contexte médical et social le permet, • l’organisation du service est adaptée, • à tout moment, le passage en hospitalisation conventionnelle ou la ré- hospitalisation de l’enfant opéré est réalisable dans un environnement pédiatrique (l’inverse ne doit pas se produire, pour des raisons d’organisation, d’information préalable et d’obtention du consentement éclairé) (NP très faible). La prise en charge, en unité ambulatoire ou d’hospitalisation, doit être organisée au plus tard

l'annonce des objectifs, qui sont d'une part de me parler de ses angoisses et du motif de son hospitalisation libre, et par la suite qu'il exprime quels sont ses besoins, ses attentes, ses questionnements. Je demande à monsieur P, s'il veut bien me parler de ses angoisses et du motif de son hospitalisation libre, suite à la survenue d'idées noires. Il commence à me raconter le motif de son hospitalisation et son histoire, il me dit que depuis quelques mois sa pathologie s'est aggravée, il me confie

violences ou maltraitances physiques : toilettes imposées, gifles, brutalités et gestes vifs, attaches qui entravent la liberté de mouvement * Les violences matérielles : vols d’argent ou d’objets, matériel inadapté… * Le non-respect du consentement : question qui fait l’objet de discussions virulentes entre malades et soignants * Et il y a la maltraitance dite « ordinaire », moins visible et particulièrement difficile à dénoncer…et qui mérite un paragraphe à part. 3. La maltraitance

respect de la liberté individuelle et la nonassistance à personne en péril et, d’autre part, entre le bénéfice pour le malade et le risque pour le soignant sont souvent difficiles à définir. Quelle que soit la situation, il faut se rappeler que le consentement éclairé du patient aux soins qu’on lui donne est l’un des principes majeurs de la déontologie médicale. Par ailleurs, il est de plus en plus nécessaire d’établir une « décharge » de responsabilité qui, pour être recevable lors d’un éventuel procès

savoir que l'HDT a été modifié par la loi du 5 juillet 2011 Le patient qui n'accepte pas son hospitalisation en psychiatrie sera hospitalisé sous contrainte et donc sans son consentement dans le cas où, suivant l'article L.3212-1 du code de la santé publique: son état impose des soins immédiats assortis d'une surveillance constante en milieu hospitalier; ses troubles rendent impossible son consentement à ses soins. Il existe aussi l'HDT péril imminent( loi du5/07/2011). Il s'agira alors

l’article 227-25 du Code Pénal qui condamne jusqu’à 75 000 euros d’amende et 5 ans d’emprisonnement). Pour terminer, il y a la maltraitance physique, qui se repère en fonction des lésions qu’elle entraîne (hématomes, plaies, brûlures, fractures, hospitalisations répétées...). Ces traces de coup sont souvent localisées dans des parties non visibles du corps de l‘enfant afin de ne pas éveiller les soupçons. On peut se demander en quoi cette maltraitance est un problème de santé publique. Nous allons tout

par exemple) ; – soins avec hébergement sans hospitalisation : les maisons d’accueil spécialisées (MAS) s’adressent aux personnes handicapées mentales ou psychiques les plus graves, sans autonomie de vie quotidienne. Il existe également des institutions plus souples dites « structures intermédiaires » : foyers isolés ou rattachés à des centres d’aide par le travail (CAT, voir infra), appartements collectifs ou thérapeutiques. – soins avec hospitalisation à temps partiel : hôpitaux de jours, hôpitaux

surveillance particulière pendant le traitement Médicaments réservés à l'usage hospitalier - Prescription : médecins exerçant dans un établissement de santé - Dispensation : PUI (pharmacie à usage intérieur) - Administration : au cours d’une hospitalisation - Exemples : - Anesthésiques (curares) - Thrombolytique - … Médicaments à prescription hospitalière - Prescription : médecins exerçant dans un établissement de santé (+ établissement de transfusion sanguine, CSST…) - Dispensation

faut-il faire pression sur lui pour le « forcer » à retrouver une vie décente ? Ou faut-il le laisser vivre comme il vit et essayer de lui prodiguer des soins dans ces conditions d’hygiène ? Cette situation est presque comparable a du soin sans consentement, notion qui se retrouve généralement dans les institutions psychiatrique a la différence prés que ce monsieur ne présente aucune altération de ses facultés psychiques, il a simplement fait le choix de vivre ainsi L’équipe a alors optée pour une

prodromes et perte de connaissance sans trauma cranien ainsi que douleurs épigastriques. Antécédents chirurgicaux : varices Antécédents médicaux : hypertrophie bénigne de la prostate traitée par MECIR Pas d’allergie connue. HISTOIRE DE L HOSPITALISATION Le 14/09 : TDM montre une tumeur colique droite sténosante, avis chirurgien demandé. Avis Chirurgien : lésion suspecte sténosante, inflammatoire de la jonction iléo-caecale. Le patient est transféré en chirurgie ORL car plus de place en chirurgie