Houle

typiques, comme « l’ingénieux Ulysse » (V, 214 ; VII, 207 ; VII, 240 ; VII, 302 ; VIII, 152 etc.) des périphrases : Zeus est « Celui qui sait rallier les nuages » (V, 21) des comparaisons épiques : la mer dans la tempête comparée à la terre : « La houle au gré des courants l'emportait de-ci de-là./Comme quand, au temps des fruits, le Borée balaie les chardons /dans la plaine, » (V 327-29) c) Enfin, le caractère exceptionnel des aventures narrées dans l’Odyssée est mis en valeur par l’emphase du

la passivité du peuple vaincu au moment de la Commune, qui doit se relever et préparer de nouveau une révolution. "Écume, roule sur le pont et par dessus les bois;", le "pont" et "les bois" sont peut-être la vision d'un bateau submergé par la houle, l'arche du Déluge. " draps noirs et orgues, éclairs et tonnerres, montez et roulez;" le premier de ces groupes développe l'idée de la mort et des destructions dues au déluge, le second propose une image de l'orage; le "monter" évoque la montée des

contrairement à d'autres genres littéraires, il y a des vers qui créent un rythme, une harmonie, tout comme la mer Les mouvements de la mer ont inspiré maints poètes et romanciers. Les écrivains ont longtemps adopté une approche descriptive de la houle, des marées, des écueils et des vagues. Ancrés dans une tradition antique ayant pour modèle Homère ou Virgile, ils étaient avant tout spectateurs des mouvements de la mer, à l’image de Joachim Du Bellay. À la fin du XVIIIe siècle, certains auteurs

- « alambic » de « al-inbiq » - « algèbre » de « al jabr », réduction - « algorithme » déformation du nom du mathématicien Al-Khawarizmi - « azimuth » de « as-samt », direction 11) La marine - « arsenal » de « as-sina'a », atelier,arsenal - « houle » de « hawl », effrayer - « amiral » de « amir al-bahr », commandant de mer, ou de « amir al-ali », très grand commandant ou commandant de large - « récif » de « rasif », débarcadère, quai Ainsi la pénétration de la langue française, et des langues

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section

verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, 40 Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! 45 J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel

technologies qui semblent quasi sans défaut si ce n’est un peu de pollution visuelle pour les deux premiers ou bien qui le seront bientôt grâce aux avancées scientifiques et technologiques. Eléments de physique : Calculons la puissance produite par la houle d’une vague : On représente les vagues comme des créneaux. • est le centre d’inertie de la vague verte et les flèches montrent le mouvement de cette vague vers la droite. L’amplitude est de deux mètres et la longueur est d’un mètre (on considère

l'architecture mobile des nuages, les colorations changeantes de la mer, le scintillement des phares, sont un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. Les formes élancées des navires, au gréement compliqué, auxquels la houle imprime des oscillations harmonieuses, servent à entretenir dans l'âme le goût du rythme et de la beauté. Et puis, surtout, il y a une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n'a plus ni curiosité ni ambition, à contempler, couché

dont la mère a oublié de lui donner la deuxième clé et elle se souvient. Et elle pleure.   S'endort.   Un haut-parleur avait annoncé que la terre avait disparu. Qu'on a atteint la pleine mer. L'enfant hésite et puis elle remonte sur le pont. Une houle très légère est arrivée avec le vent de la mer.   Sur le bateau la nuit est arrivée. Tout est éclairé, les ponts, les salons, les coursives. Mais pas la mer, la mer est dans la nuit. Le ciel est bleu dans la nuit noire, mais le bleu du ciel ne se

Le voyage, les grands espaces, le mouvement, la « géographie intérieure », le temps, un monde fabuleux : Apparition, p. 95 Prophétie, p. 105 Le matin du monde, p. 109 Houle, p. 125 Haut ciel, p. 132 Souffle, p. 136 Chemin de ronde, p. 139 Cœur, p. 150 400 atmosphères, p. 174 Terre, p. 212