Hourdage

comportant une seule rangée d’alvéoles et d’épaisseur strictement inférieure à 7 cm doivent être hourdées au plâtre gros ou fin, au mortier de chaux ou bâtard. Pour les cloisons à deux rangées d’alvéoles et d’épaisseur supérieure ou égale à 7 cm, le hourdage peut aussi être réalisé avec un mortier de ciment. On adaptera l’enduit de finition en fonction du liant de montage, de l’épaisseur de la cloison et de sa destination (voir paragraphe enduits). Les briques doivent être montées à joints croisés. Le

double ou par un sabot. Détails B: L'assemblage des solives sur les poutres est un repos, soit simple, soit à encastrement entaillé, soit sur des lambourdes rapportées soutenues par des étriers. Le remplissage: • Entre les solives, le mode de hourdage (remplissage) varie selon que la partie inférieure (retombée) des solives doit ou non rester apparente. Dans les planchers traditionnels, le chant supérieur des solives était soit couvert de bardeaux sur tasseaux, servant de support à une aire en

plein cintre et grillagées. Puis au-dessus, il y a une partie en surplomb avec des consoles puis des mâchicoulis et une corniche. Ensuite, il y a des trous de hourdage puis un crénelage. Dans la partie supérieure qui est en aplomb  il y a des baies avec un arc en plein cintre puis une corniche. Au-dessus, il y a encore des trous de hourdage puis un crénelage. Derrière la tour, on aperçoit les étages supérieurs d’une tourelle avec à l’avant-dernier niveau une petite fenêtre puis il y a un cordon et

éléments principaux : l’ossature en bois, faite de sablières hautes et basses, de poteaux de décharges et de tournisses ; et le colombage lui-même, qui forme les murs. Le colombage fait office de remplissage et de raidisseur. Le remplissage ou le hourdage des parois se fait à l’aide de torchis ou de briques crues, selon les désirs du propriétaire.     Panneaux de bois massif   Technique plus récentes que les autres, qui bénéficient des avancées technologiques offertent par la recherche. Encore

remplit, les maçonne en plâtre), réalise des moulure. Les murs de pierre sont jointoyés en plâtre a posteriori au moyen d'une espèce de grand couteau pointu et emmanché appelé « fiche ». Cette mise en œuvre des maçonnerie sera abandonnée au profit du hourdage à bain, toujours en plâtre (pose à « plein bain de mortier »). Aujourd’hui le plâtre n'est plus utilisé que pour le plafonnage par un ouvrier bien distinct, le plafonneur ou plâtrier. La double révolution de l'acier et du béton de ciment bouscule

les maçonnait en plâtre), réalisait des moulure. Les mur de pierre étaient jointoyés en plâtre a posteriori au moyen d'une espèce de grand couteau pointu et emmanché appelé « fiche ». Cette mise en œuvre des maçonnerie sera abandonnée au profit du hourdage à bain, toujours en plâtre (pose à « plein bain de mortier »). Le plâtre n'est plus utilisé que pour le plafonnage par un ouvrier bien distinct, le plafonneur ou plâtrier. Articles connexes : Lexique de la maçonnerie et Glossaire de l'architecture

(dressage ou « doublure ») assure d’une part la planéité (redressement du support) mais également l’imperméabilité. Il est appliqué sur le gobetis préalablement humidifié. Le mortier aura une consistance plus plastique, proche des mortiers de hourdage. Sa surface doit également être rugueuse ou quadrillée si nécessaire, pour donner une meilleure adhérence à la couche de finition. Son dosage est de 300 à 350 kg de chaux blanche pour 1 m3 de sable sec de granulométrie comprise entre 3 et 5 mm. L’épaisseur

éléments principaux : l’ossature en bois, faite de sablières hautes et basses, de poteaux de décharges et de tournisses ; et le colombage lui-même, qui forme les murs. Le colombage fait office de remplissage et de raidisseur. Le remplissage ou le hourdage des parois se fait à l’aide de torchis ou de briques crues, selon les désirs du propriétaire. Panneaux de bois massif Technique plus récentes que les autres, qui bénéficient des avancées technologiques offertent par la recherche. Encore récente en

étaient d’autant plus destructeurs. Le trébuchet et le mangonneau, plus petit et plus maniable, étaient des frondes géantes. Ces engins étaient nommés perrières ou pierrières. Ils lançaient des boulets de pierre et parfois des blocs bruts écrasant hourdages et toitures, détruisant parapets et pans de murs. Ils étaient très précis et devaient être maniés sous la direction d’un engeignor ou ingénieur[41]. - La trahison était une tactique en soit. Il suffisait que les assiégeants aient des relations

très lent mais peu coûteux préparation : mélange terre argilo-sableuse et on laisse reposer : le mélange est déposé par levée de 60 à 90 cm de haut, qui sont laissées à sécher pendant plusieurs semaines -> 3ème technique : Le torchis technique de hourdage complant les vides d’une structures porteuse en bois : terre crue plastique, généralement additionnée de fibres souples (paille d’orge, lin, fibres animales…) mélange de paille terre enroulé autour d’une latte de bois pas porteur, joue rôle d’isolant