Houx

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Oh ! Quand je dors .. Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche, Comme à Pétrarque apparaissait Laura, Et qu'en passant ton haleine me touche... - Soudain ma bouche S'entr'ouvrira ! Sur mon front morne où

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. « Derniers vers » d’Alfred De Musset L'heure de ma mort, depuis dix-huit mois, De tous les côtés sonne à mes oreilles, Depuis dix-huit mois d'ennuis et de veilles, Partout je la sens, partout je la vois. Plus

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
 Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
 Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, Les contemplations,1847 N’écris pas N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.
 Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau.
 J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre

la ville entière, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, D'hyacinthe et d'or ; Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Le monde s'endort Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Luxe, calme et volupté. Dans une chaude lumière. Des meubles luisants, Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Victor Hugo Polis par les ans, Luxe, calme et volupté. Décoreraient notre chambre

Il illustre ici le pouvoir de la poésie, immortaliser ce que la mort a fait disparaitre. Demain Dès L'Aube Cette illustration a été faite par Victor Hugo et s'intitule comme son poème, "Demain dès l'aube". "Je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx verts et de bruyères en fleurs." Charles Baudelaire - "Une Charogne" Les Fleurs Du Mal - 1861 • Une Charogne, poème de Charles Baudelaire, est extrait du recueil Les Fleurs Du Mal. Il a été publié en 1861. • Baudelaire, auteur des Fleurs Du Mal,

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor HUGO Poème 4 : A UNE JEUNE FILLE Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle, Enfant ! N’enviez point notre âge de douleurs, Où le cœur tour à tour est esclave et rebelle, Où

bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Demain dès l'aube, Victor Hugo, Le désir Je sais la vanité de tout désir profane. A peine gardons-nous de tes amours défunts, Femme, ce que la fleur qui sur ton sein se faneY laisse d'âme et de parfums.Ils n'ont

S’agit-il de tout cela à la fois ? Description : Un même fil directeur conduit le spectateur d’une tenture à l’autre : sur un fond rouge parsemé de fleurs et d’animaux se détache une île ovale au bleu profond. Là, entourée de grands arbres, chênes, houx, pins ou orangers, une belle dame, cernée d’un lion et d’une licorne, attire tous les regards. Ici, elle présente à la licorne un miroir pour que celle-ci s’y mire ; là, elle la tient délicatement par la corne ; tantôt elle joue d’un orgue ancien qu’actionne