Hugo Chanson Les Contemplations

avec nos yeux de chair, avec nos vrais yeux périssables. L'écrivain sait et donc doit agir sur le monde, eu moins le faire réagir: "Et c'est assez pour le poète d'être la mauvaise conscience de son temps", a dit le poète Saint-John Perse. Victor Hugo, dans la fonction du poète, explique pourquoi l'écrivain, "rêveur sacré", voit plus loin que les autres: c'est un mage, sa mission est de faire "flamboyer l'avenir". Il doit prêter sa voix à ceux dont on a confisqué la parole, à ceux qui ne savent

destiné à lui. A] Autobiographie : période de leur vie qui les a marqués > immortaliser [Rimbaud «  Ma bohème » souvenirs de ses fugues.] : Permet de soulager une douleur, extériorisée. [Hugo «  Demain dès l’aube » anniversaire de la mort de sa fille Léopoldine] B] Mettre son cœur à nu : Dévoile ses sentiments Nourrit ses poèmes de ses émotions, sentiments => registre lyrique > musicalité. + «je» [Robert Desnos « j’ai tant rêvé

reverrai-je, hélas ! de mon petit village/ Fumer la cheminée […] ? » De même, dans le recueil des Contemplations, Victor Hugo consacre de nombreux poèmes à la douleur qu'il éprouve à la suite de la mort de sa fille. Le « je », rythmant la plupart de ses poèmes, renvoie bien à l'artiste souffrant et cherchant à communiquer sa souffrance : « je pleurai trois jours amèrement ». Apollinaire, dans la « Chanson du Mal-aimé », s'inspire lui aussi de son expérience personnelle : le poète s'était épris d'une

combat la guerre… Problématiques : Comment les poètes s’engagent-ils et décrivent-ils dans leurs textes le monde qui les entoure ? Comment l’écriture poétique transcrit-elle l’atrocité de la guerre ? Groupement de textes : (photocopies) Victor HUGO, « L’Expiation », Les Châtiments » 1853 Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit »,

d’un poème réside dans sa capacité à transmettre des émotions. De plus, si l’on ouvre une anthologie poétique, les poèmes consacrés aux sentiments occupent une place prédominante, notamment ceux de la tristesse de la séparation ou de la mort (Eluard, Hugo et sa fille Léopoldine). En outre, la forme de la poésie privilégie l’expression de la tristesse. En effet, la façon dont est disposé un poème et sa spécificité, c’est à dire ; la construction précise, la musique des rimes, des sonorités et du rythme

mendiants estropiés , habillés de haillons tout comme les enfants dans le poème de Victor Hugo . Le poème « La Misère » de Francis Jammes détaille l’état physique d'un mendiant sur un banc , c'est grâce à des témoignages semblables que l'on peut se rendre compte de la dureté de la vie dans la rue , quand à la photo c'est une reproduction fidèle du mendiant du poème, même si celui-ci a vécu il y a un siècle. La chanson Madame la misère est toujours ancrée dans le même thème, mais en parle plus violemment

La poésie dans l’Antiquité Durant cette période, la poésie est chantée. Ce sont des chansons inspirées par les Muses, les Dieux grecs… Elles racontent les exploits de héros et également de la mythologie grecque. La poésie épique (qui relève de l’épopée) et comique sont mises à l’honneur. Voici quelques auteurs qui ont utilisés ce style pour leurs poésies: -Homère : L’Iliade et L’Odyssée -Virgile : L’Eneide -Horace : Odes aux poètes La poésie au Moyen –Age Le Moyen-âge est divisé

l'implicite à travers l'argumentation. Acquérir de l’autonomie dans la lecture analytique. Acquérir de l’autonomie dans la prise de notes. LECTURE DE TEXTES POÉTIQUES : « Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? » dans Contemplations de Victor Hugo « Le Chant des Partisans » de Druon et Kessel « Motivés » de Zebda « Liberté » de Paul Éluard « Le Dormeur du val », dans Poésies d’Arthur Rimbaud « Barbara » et « Le discours sur la paix », dans Paroles de Jacques Prévert « Le Déserteur »

poète latin Horace composent des odes élogieuses ou satiriques. Le Moyen-Age : du trouvère au poète Les trouvères continuent la tradition orale. Des formes écrites se développent néanmoins. La Chanson de Roland au XIIe, est composée en « laisses » (suite de décasyllabes assonancés. Se déploient la chanson, la ballade, le rondeau. Le lyrisme prend une place importante qui est surtout consacré à l’éloge de la femme aimée : poésie courtoise. Charles Orléans en est un représentant. François Villon offre

de syllabes qui les composent. On peut différencier : - le vers composé de 2 syllabes : un dissyllabe (vers dissyllabique) ex. Murs, ville Et port, Asile De mort (« Djinns », V. Hugo) 4 - le vers composé de 3 syllabes : un trissyllabe (vers trissyllabique) ex. Par Saint-Gilles, Viens-nous en, Mon agile Alezan (V. Hugo) - le vers composé de 4 syllabes : un tétrasyllabe ou quadrisyllabe (vers tétrasyllabique ou quadrisyllabique) - le vers composé de 5 syllabes : un pentasyllabe (vers pentasyllabique)