Hume Et La Question De L

que par son objet, comme c’est le cas en science ? Y-a-t-il des vérités autres que scientifiques ? Les sciences et la logiques doivent-elles fixer les limites de ce que l’on est en droit de penser ? C’est à toutes ces questions que notre cours va tenter de répondre. I) La question de la vérité a) La conception classique de la vérité Qu’est-ce que la vérité ? ⎝ En philosophie, la « vérité » est classiquement définie comme la conformité de la pensée au réel (cette définition remonte au moins

personne, personne n'en ai le maître et encore moins l'homme. Ainsi dans son étude, Hume se penche sur l'existence des hommes dans la nature et la cruauté de cette dernière à leur égard. La thèse de cet auteur est que l'homme ne serait pas capable de survivre “et de s'élever à une égalité avec les autres créatures” sans la société car ses besoins démesurés ne sont pas adaptés à ses capacités naturelles. D'après Hume l'existence social de l'homme serait donc son unique manière de différencier et de

présentés comme pénibles dans les différents chapitres où il en est question (chap. 13 & 14 notamment). Il faut donc supposer que la catharsis réside dans cette faculté paradoxale, propre au spectacle tragique, de transformer des sentiments désagréables en plaisir. Ce paradoxe a constitué un constant terrain d'affrontement pour les commentateurs, de la Renaissance au début du XVIIIe siècle (notamment chez Du Bos, Fontenelle, Hume dans ses Essais esthétiques, GF-Flammarion, 2000, p. 11 sq., mais aussi

assez contre-intuitive que cela serait la signification de l’´nonc´ n´gatif en question. e e e P.F. Strawson (‘On referring’ 1950) a propos´ que les ´nonc´s comme « Le e e e roi actuel de la France est chauve » n’affirment pas qu’un et un seul roi de la 8 France existe, mais que plutˆt ils pr´supposent l’existence d’un et un seul o e tel individu. Si la pr´supposition n’est pas satisfaite, l’´nonc´ en question e e e n’est ni vrai ni faux. (Pr´supposition factuelle : ‘J’ai arrˆt´ de

arguments contre la validité de l´induction comme un outil dans la découverte scientifique et ma réflexion va ensuite porter sur la question : Utilisation de l´induction, est-t-elle justifiable dans la science ? Même si le terme l´induction n´apparait en aucun lieu dans l´Enquete sur entendement humain, Hume problematise se mode de raisonement clairement en se posant la question : « Pourquoi tirons nous de mille cas une inférence que nous sommes incapables de tirer d´un seul cas, qui ne difére à aucun

peut-être les lois du mouvement. (…) Ce qu’on peut mettre en doute, c’est l’idée que les lois du mouvement s’appliqueront encore demain. C’est là la question intéressante, et dès qu’elle surgit, nous voici à nouveau dans la même position qu’au début, à propos du lever du soleil »1. Depuis l’Antiquité, de nombreux philosophes ont tenté de répondre à ces questions qui sont plus complexes qu’elles n’y paraissent. Au cœur de ce problème se trouve la volonté humaine, qui remonte à la nuit des temps, d’expliquer

question 1 Comment on peut être sur d’un fait qu’on ne constate pas On ne peut être sur d’un fait que l’on constate pas , on peut juste faire des suppositions . Il y a deux types de faits, ceux constatés «  la montre » et le fait de croire ou pas son ami avec ses promesses. «  Son ami est à la campagne » ils peut très bien y être mais ne pas y être. Tout ceci se base sur la confiance entre les deux êtres humains. Il peut donner plusieurs raisons, mais ces raisons sont d’autres faits qui ne

la certitude des faits observés. Lorsqu'une croyance religieuse entre en contradiction avec une théorie scientifique, elle ne peut établir sa propre vérité sur aucune observation réelle. Ainsi le dogme chrétien de la création a-t-il été remis en question au xixe siècle par les découvertes de Darwin sur l'évolution des espèces. Dans une telle situation, il n'est plus possible de croire sans se mettre en contradiction avec l'objectivité du fait scientifique. Quelle solution reste-t-il alors pour le

Formulez l'idée directrice de ce texte et montrez quelles sont les étapes de son argumentation : Le thème du texte est les échanges. La question que se pose HUME, l'auteur, est : Est-ce qu'un échange peut-être désintéressé ? Sa réponse est : Oui, il peut l'être. De la ligne 1 à la ligne 5, l'auteur parle du type d'échange intéressé : «  (..) Rendre un service à autrui, sans lui porter de tendresses réelle parce que je prévois qu'il me le rendra dans l'espérance d'un autre service (..) » De la

L’homme est-il ou non semblable à l’animal. On se pose cette question depuis des années. Plusieurs philosophes et scientifique se sont penché sur le problème. David Hume en est un qui a proposé une thèse, celle qui propose que l’homme est semblable à l’animal. En effet, dans son texte ‘‘L’homme et l’animal’’ sa thèse est que les bêtes sont douées de pensée et de raison aussi bien que les hommes. Ses arguments seront d’abord présentés. Le premier est que les actions des animaux sont semblables