Humour Soins Palliatifs

ANALYSE DE SITUATION 2 1. Contexte de la situation J’ai effectué mon stage dans une service de chirurgie du CHU de Grenoble. Ce service comprend deux unités de soins. Elles ont fusionnées l’an dernier pour donner un seul et même service. Une partie est consacrée aux « petites chirurgies » tandis que l’autre comprend de « lourdes chirurgies » avec notamment de l’oncologie. M.D est un patient âgé de 70 ans. Il est hospitalisé pour saignements inexpliqués par sa trachéostomie. Il est dans le

TPG : « Approche des soins palliatifs » 1) Comment les soins palliatifs sont-ils définis ? « Les soins palliatifs sont des soins actifs, continus, pratiqués par une équipe interdisciplinaire en institution ou à domicile. Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage ». loi n°99-477 du 9 juin 1999 2) Quelle différence existe-t-il entre soins palliatifs et fin de vie ? La fin de vie

: est le fait d'enlever les aides qui maintiennent une personne en vie. Cette personne mourra généralement de faim ou d'épuisement... Ce type d'euthanasie est le plus souvent accepté juridiquement par beaucoup de pays. Euthanasie indirecte ( soins palliatifs ) : En clair, il s'agit du même procédé que l'euthanasie passive mais on administre à la personne des antalgiques forts pour annuler la douleur. Indirectement les antalgiques ont pour effet de raccourcir la dernière période de vie. On accorde

d’Hospitalisation « Médecine » et « Soins de Suite et de Réadaptation » ; - Un EHPAD médicalisé (Établissement hébergeant des Personnes Âgées Dépendantes) ; - Un EHPAD avec ses 3 unités spécialisées "Alzheimer". Mon stage s’est déroulé dans le bâtiment d’hospitalisation en médecine/SSR. L’offre de soins de l’unité d’hospitalisation se compose d’un service de Médecine et un service de Soins de Suite et de Réadaptation

« patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers. L'aide au suicide demande une manifestation claire et libre de la volonté de mourir, ce qui la distingue de l'incitation au suicide. Un autre usage abusif du mot est son application aux soins palliatifs, qui ne visent jamais à hâter le décès ou éviter le prolongement de l'agonie des patients même si, pour soulager la douleur, il arrive aux soignants d'user de doses d'analgésiques ou d'antalgiques risquant de rapprocher le moment du décès.

L’AMAPA propose différentes prestations : * Aide à la vie quotidienne  * Aide au lever et au coucher * Aide et /ou soins d’hygiène * Préparation et /ou aide à la prise des repas * Aide à la prise des médicaments * Aide aux déplacements * Stimulations * Réalisations des tâches administratives * Soins infirmiers * Soins palliatifs et accompagnement en fin de vie * Téléassistance L’AMAPA propose deux formules : * Prestataires : salariés de l’association

patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers. L'aide au suicide demande une manifestation claire et libre de la volonté de mourir, ce qui la distingue de l'incitation au suicide. Un autre usage abusif du mot est son application aux soins palliatifs, qui ne visent jamais à hâter le décès ou éviter le prolongement de l'agonie des patients même si, pour soulager la douleur, il arrive aux soignants d'user de doses d'analgésiques ou d'antalgiques risquant de rapprocher le moment du décès.

2 Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers UE 3.2 UE 3.2 UE 5.3 3 Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens UE 2.10 UE 4.1 UE 5.1 4 Mettre en oeuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique UE 2.1 UE 2.2 UE 2.4 UE2.11 UE 2.6 UE 4.3 UE4.4 UE 2.5 UE 2.8 UE 2.11 UE 2.7 UE 4.3 UE 4.4 UE 2.6 UE2.9 UE 2.11 UE 4.4 UE 4.7 UE 5.5 5 Initier et mettre en oeuvre des soins éducatifs et préventifs UE 1.2 UE 1

, pas encore en droit d’accompagner de manière active une personne dans la mort. Il est vrai que l' on peut actuellement de manière passive mettre fin à la vie grâce au député Leonneti qui a instauré un droit au «laisser mourir», avec des soins palliatifs. Le fait qu'un médecin ne puisse aider une personne à mourir est contraire au serment d'Hippocrate . Le serment d'Hippocrate est prêté par les médecins occidentaux à la prise de leur fonction ; ce serment promulgue le respect du patient,

Soutenance le 19 juin 2013 Castagnet Marine Institut de Formation en Soins Infirmier Nice Croix-Rouge Française Promotion 2010-2013 "Une bougie n'est jamais aussi étincelante qu'avant de s'éteindre" Auteur Inconnu « C’est grand, La mort, c’est plein de vie dedans » Félix Leclerc 2 Note aux lecteurs : « Il s’agit d’un travail personnel effectué dans le cadre d’une scolarité à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers Croix-Rouge de Nice, il ne peut faire l’objet d’une publication