Hydre

et l'enterra toute vivante sous un lourd rocher au bord de la route qui va de Lerne à Elaeos. Il trempa ensuite ses fléches dans son venin afin que la moindre blessure de l'une d'elles soit immédiatement mortelle. Actuellement on utilise le terme hydre au sens figuré pour parler d'un problème pour lequel chaque solution présente un problème supplémentaire, ou pour un phénomène difficile à enrayer.

Hydra vulgaris est une petite hydre (12 millimètres) d'eau douce. Aspect général L'hydre a de quatre à douze tentacules qui dépassent juste à l'extérieur de la bouche. Elles se nourissent en étendant leurs tentacules et en attendant que la nourriture les heurte. Ensuite, elles amènent la nourriture à leur bouche, où elle est ingérée et digérée par l'organisme. Tout ce qui ne peut pas être digéré est excrété. L'ingestion et l'excrétion se produisent donc par la bouche. Comme d'autres hydres

Le terme méduse est un nom vernaculairedésignant les formes libres de nombreux groupes de cnidaires et s'opposent donc aux formes polypes, sessiles. Les méduses sont généralement des prédateurs, elles paralysent leurs proies grâce à leurs cnidocytes et peuvent posséder des structures sensorielles très élaborées comme des ocelles, rassemblées au sein de rhopalies. Certaines méduses appartenant à la classe desCubozoa peuvent être mortelles pour l'Homme. Dans le cycle de vie de certains groupes

postérieure sous la forme d'un coq et la partie antérieure sous la forme d'un cheval. HIPPOCAMPE Créature fantastique formée de la partie antérieure d'un cheval, et de la partie postérieure d'un poisson qui servait de monture aux divinités marines. HYDRE DE LERNE avait un corps de chien, huit ou neuf têtes de serpents, dont l'une était immortelle, mais, selon certains, elle avait cinquante, ou cent, voire dix mille têtes. Mais tout le monde est d'accord pour dire que le poison qu'elle fabriquait

L'hydre de Lerne Présentation de l'hydre de Lerne : L'hydre de Lerne est une créature de la mythologie grecque antique. Ce monstre est né de l'union de Typhon (fils de Tartare et de Gaïa, mi homme mi fauve) et Echidna (femme serpent) qui sont aussi les parents de Cerbère (chien à trois têtes et gardien des Enfers). Elevé par Héra (déesse du mariage et épouse de Zeus) près de la source Amymoné et du lac de Lerne, en Argolide, l'hydre est un serpent d'eau à corps de chien, possédant cinq à neuf

Depuis l’Antiquité les monstres sont souvent au centre des récits, parfois simples humains, animaux ou bien tout autre. Ils fascinent, terrifient, inquiètent, paniquent… Mais ne laisse en aucun cas insensible, en effet qui dit « monstre » dit généralement « différence », et la différence fait instinctivement réagir. Cependant les monstres ne sont pas toujours ceux que nous croyons ainsi il existe donc différentes manières de les mettre en scène, c’est ce que nous allons essayer de prouver à travers

L'Hydre de Lerne:Pour sa deuxième épreuve, Hercule doit battre l’Hydre du marais de Lerne qui se situe au sud-ouest de Mycènes. C'est un monstre à neuf têtes, né de Typhon, un colosse monstrueux aux cent têtes de serpent et d’Échidna, un monstre moitié femme moitié serpent. Ce monstre dont le repère se trouve sous un platane terrorise les habitants de la région. Hercule fait sortir l’Hydre de son repère en lui lançant des flèches enflammées. Il lui coupe quelques têtes mais celles-ci

«  HÉRACLÈS CONTRE L’HYDRE DE LERNE » Peintre anonyme INTRODUCTION : Au Vème av. J.C, un peintre anonyme a réalisé une œuvre intitulée « Héraclès contre l’Hydre de Lerne ». Cette œuvre appartient au courant artistique "art visuel". Problématique : Cette œuvre répond-t-elle à la problématique : Mythes et religions sous l’Antiquité? I. PRÉSENTATION DE L’ŒUVRE «  HÉRACLÈS CONTRE L’HYDRE DE LERNE » : Cette œuvre intitulée « Héraclès contre l'Hydre de Lerne » représente le combat d’Héraclès contre

cette ogresse aguicheuse Fit des clones imitatifs Leurs tirades insidieuses Convainquirent les naïfs Qu'en suivant leurs diktats xénophobes On chasserait tous les microbes Attention mon ami je l'ai vue Méfie-toi la bête est revenue C'est une hydre aux discours enjôleurs Qui forge un' nouvelle race d'oppresseurs Y a nos libertés sous sa botte Ami ne lui ouvre pas ta porte D'où cette bête a surgi Le ventre est encore fécond Bertolt Brecht nous l'a dit Il connaissait la chanson Cell' là

culture. Dans les deux dernières strophes le nègre s'unit à ses frères "donnant la main aux parias de l'univers", ce qui met les colons en situation d'infériorité "cachant mal leur panique". Le poème s'achève sur "je suis un hydre à mille têtes", qui est un pléonasme (Un hydre est un animal qui a plusieurs têtes qui se reconstruisent quand on les coupe). Nous pouvons voir à travers ce poème une plainte et une révolte envers la traite négrière. José Maria Heredia - L'esclave José Maria