Hyperbole Cosette

siècle. "Les Misérables", publié en 1862, est un roman historique et social, dans lequel Hugo décrit la vie du peuple, des opprimés, à travers l'histoire du bagnard Jean Valjean, mais aussi d'autres figures emblématiques, comme Fantine, la prostituée, Cosette l'orpheline, ou Gavroche le gamin des rues. Le passage que nous étudions raconte la mort de Gavroche, tué par les soldats de Louis-Philippe pendant la répression des émeutes de 1832. Quelle vision de l'homme et du monde transmet ce passage ? Plus

Sujet d’analyse : La peur que ressent Cosette d’après ses sentiments et la description de l’espace. IP1 : Cosette manifeste un sentiment de terreur sur le chemin de la source. IS1 : À deux reprises, la fillette s’arrête pour se gratter la tête. Cit.1 : « [Elle] se mit à se gratter la tête, geste propre aux enfants terrifiés et indécis. » (p.98, 3. 12,13) Cit.2 : « À peine eut-elle fait cent pas qu’elle s’arrêta encore, et se remit à se gratter la tête. » (p

sera l’un des premiers à aider Jean Valjean. - Fantine, ouvrière a été séduite par l’étudiant Tholomyés. Elle est obligée de confier son enfant, Cosette, aux Thénardier - Cosette, la fille de Fantine, sera laissé en nourrice chez les Thénardier qui la maltraiteront . - La famille Thénardier, un couple de cabaretiers sordides qui exploite Cosette. - Gavroche, gamin de Paris, jeté sur les pavés comme beaucoup d’autres enfants, est seul, sans amour, sans gîte, sans pain, mais joyeux car libre

Victor Hugo décrit ici une situation courante au XIX siècle où les filles-mères c’est-à-dire les mères non mariées étaient mal perçues par la société et exclue par leur entourage. Ici Fantine, une fille-mère, pense pouvoir abandonner son enfant Cosette de façon temporaire et que celle-ci sera bien prise en charge, éduquée et heureuse hors la réalité est tout autre car les personnes l’ayant recueillies y voit l’occasion de se faire de l’argent. 1-3- Le document 3 représente la photographie

1) De l’amour de Cosette envers un homme « Mon bien-aimé, hélas » (l.15) Cosette, consciente que son père adoptif est très possessif et que cela lui ferait beaucoup de mal d’apprendre qu’elle entretient une relation avec un homme, n’ose pas lui avouer et voit en cachette l’homme qu’elle aime. Jean Valjean découvrira cela par hasard et entrera dans une colère terrible qui mettra en péril sa relation avec Cosette. Néanmoins, ils se pardonneront et l’idylle entrre Marius et Cosette se conclura par

accepter son malheureux sort toute seule. Bien que sa tête encourage plutôt le côté de Fantine, son cœur et son âme disaient autrement. Ne voulant pas défier son âme une autre fois, il écouta celui-ci. Libéré du bagne, Jean Valjean alla chercher Cosette pour accomplir la promesse qu’il avait fait avec Fantine avant son décès. La rencontre avec cette petite misérable fut pour lui un autre point vital dans sa vie. Jamais dans sa vie il a aimé quelqu’un et jamais quelqu’un ne l’aimait comme étant Jean

vers cette barricade les thénardier, Marius, jean valjean, Gavroche et l'inspecteur Javert. L'idylle entre Marius et Cosette se concrétise dans le 5ème tome par un mariage. Jean Valjean s'efface peu à peu de la vie du couple, encouragé par Marius qui voit en lui un malfaiteur et un assassin. Marius n'est détrompé que dans les dernières lignes du roman et assiste, avec Cosette, confus et reconnaissant, aux derniers instants de Jean Valjean. Pour conclure on peut dire que ce qui fait la force de

devenir un homme bien. Il va sauver la fille de Fantine, Cosette, en étant devenu le maire de ville, Monsieur Madeleine. Ensuite, il va tout faire pour éviter une vie misérable à Cosette. Jean va l’enlever de chez les Thénardier, un couple diabolique. Il aidera aussi le commissaire Javert, même s’il a emprisonné Jean Valjean a plusieurs reprises, en lui redonnant sa liberté. Il sauvera aussi Marius de la mort. Il ne va mourir seul puis que Cosette et Marius resteront jusqu’à la fin de sa vie. Ici, le

misères » de son temps, Les Misérables se hissent au niveau d’un mythe exprimant une aspiration profonde en chacun de nous à garder plus d’espoir que de crainte de l’inconnu. Le couple symbolique de Cosette et Valjean est assez emblématique de l’appropriation par l’imaginaire collectif de cette histoire : Cosette représente la part humaine du destin de l’homme, Jean Valjean la part divine. Hugo veut rappeler que le remède aux malheurs du temps réside dans l’homme, et que même si dignité ne peut être retrouvée

qu'il fait soigner dans son hôpital. Il écrit plusieurs fois aux Thénardier, chez lesquels se trouve Cosette, pour les pousser à l'amener à Montreuil. Mais Thénardier, espérant d'avoir encore plus d'argent, la retient. Madeleine venait de décider d'aller chercher lui-même Cosette au moment où Javert se présentait à son bureau au sujet de l'affaire Champmathieu. Alors qu'il est pressé de ramener Cosette à Fantine, Valjean se trouve face à un dilemme : laisser condamner un innocent à sa place ou se dénoncer