Hyperinflation

s’échangent dans les transactions internationales. L’élément essentiel d’une crédibilité d’une monnaie est la stabilité des prix. En effet, une inflation trop importante déséquilibre le marché à cause de l’anticipation des agents économiques. Une hyperinflation génère la méfiance et créer des phénomènes de fuites devant la monnaie entrainant plus rapidement sa dépréciation. Dans certains pays, les monnaies crédibles servent de référence ou de monnaie de substitution. C’est le cas du dollar en Amérique

monarchie parlementaire semble incapable de gérer la crise. c) L’Allemagne bouleversée par la défaite et les crises économiques La République proclamée le 9 novembre 1918 est immédiatement fragilisée par une crise financière qui aboutit à une hyperinflation, causant des manifestations jusqu’au milieu des années 1920. Elle doit en outre faire face à des tentatives de coup d’Etat de la part de groupes nationalistes, jusqu’au putsch manqué de 1923 qui conduit Hitler en prison. Les nationalistes

capacités immunes bronchiques se dégradent définitivement, associées à une hyper réactivité (HRB) de plus en plus importante. L’enfant devient alors « sécrétant », comme Lola depuis bientôt un an. L’organisme s’adapte en mettant en place une hyperinflation. Les muscles inspiratoires accessoires travaillent en continu, tirant la cage thoracique en position inspiratoire permanente. La distension thoracique ainsi créée exerce une traction sur le parenchyme pulmonaire, et par là sur la paroi des

dynamiques sociales de l'après-guerre. A/ Le difficile enracinement de la République de Weimar 1 : Une démocratie moderne et contestée : Violences politiques, terrorisme nationaliste, interventions paramilitaires. Très grand trouble monétaire : hyperinflation qui atteint son sommet en 1923. Payer des milliards de marks pour un pain. Sur le papier : régime démocratique équilibré, pratiquement un régime modèle. Constitution élaborée par trois forces politiques : la Coalition de Weimar, composée du

insistent sur le rôle de la demande globale et sur l’instabilité de la croissance La période de l’entre-deux-guerres se caractérise par un certain nombre d’instabilités monétaires, financières et économiques: crise de reconversion de 1921, hyperinflation allemande en 1923, fonctionnement houleux du système monétaire international de Gênes, krach boursier de Wall Street (22 octobre 1929), crise de 1929… Dans ce cadre, la pensée de John Maynard Keynes (1883-1946) va émerger. L’objectif de

exemples différents : Croissance et emploi en France, une stabilité budgétaire et de prix en Allemagne. Cela s'explique des problèmes et défis historiques respectifs des deux pays. Marqué historiquement dans l'Allemagne d'après-guerre, par deux hyperinflations, le manquement de la république de Weimar et la dictature de nazi, ont pris toujours l'objectif de stabilité - aussi bien que l'Ordnungs-Denken („ordre social et économique « ) - un grade particulier. La notion n'a pas seulement été renvoyée „stabilité

n’a pas les moyens risquerait de faire fonctionner la planche à billet pour rembourser, ce qui entraînerait une inflation très importantes. Son discours n’est pas entendu, des grosses réparations sont exigés et ses prévisions étaient correcte : hyperinflation en Allemagne. La situation et très difficile socialement et politiquement. La situation est paradoxale en Europe et aux USA, la croissance est élevée, soutenue par de gros investissements, mais c’est une croissance « issue du 19ème », en effet

présidentiel (1993). La démocratisation reste fragile et la réélection d’Eltsine en 1996 est entachée d’irrégularités. Pour les Russes, ces années sont terribles. La « thérapie de choc » (désengagement de l’État, libéralisation des prix) provoque une hyperinflation, une brutale récession et la disparition des protections sociales. Alors que le PIB diminue de moitié entre 1991 et 1998, la misère se développe et l’espérance de vie baisse dans une société minée par les pratiques mafieuses et la corruption

|déductible |cessibles | | |Différence existant lors de la comptabilisation d’un actif/passif qui ne se |Hyperinflation | | |reversera pas lors de sa sortie |Réserves non distribuées des entreprises contrôlées, entreprises associées | | |Réserves

un taux d’inflation élevé et les pays à faible croissance monétaire, un taux d’inflation réduit. Un exemple récent en Afrique est le cas de l’ex-Zaïre qui a financé son déficit public par la création monétaire entre 1991 et 1994 entraînant une hyperinflation de 4500% en 1993 et 9800% en 1994 (Agenor, 2001). L’inflation étant vue chez les monétaristes comme un des maux les plus importants de l’économie à cause du fait qu’il perturbe les anticipations des agents économiques, il faut donc la combattre