Hyperventilation

ça peut entrainer une tachycardie qui peut se transformer pour les ado cardiaque en accident grave. Une hyperventilation (réduction du CO2 dans le sang résultant d'une hyperventilation prolongée qui se rencontre chez les sujets anxieux ou psychotiques ou pouvant être causée par une maladie organique chronique, généralement cardiovasculaire. Il est caractérisé par des soupirs, une hyperventilation marquée et augmentée par la provocation, des paresthésies, des tremblements et des contractions musculaires)

avant et vers haut = INSPIRATION Vertèbre Sternum élévation des côtes et du sternum MUSCLES RESPIRATOIRES Recouvrement musculaire de cage thoracique: Muscles accessoires: grand et petit pectoraux et muscle dentelé Interviennent au cours de hyperventilation Muscles intercostaux Intercostaux externes Vue interne Intercostaux internes Direction opposée des fibres musculaires Mouvements (contraction) des muscles intercostaux Intercostaux externes Elévation des côtes Parasternaux (intercartilagineux)

ventilation La circulation sanguine Les tissus La ventilation est l’adaptation la plus facilement perceptible. Le corps ventile plus profondément et à un rythme soutenu (élévation du volume courant et de la fréquence ventilatoire). Cette hyperventilation va permettre d’apporter davantage d’air et donc d’oxygène au corps. La circulation est plus rapide. Du fait de la baisse de la quantité d’oxygène présente au niveau des poumons, le sang aura plus de mal à se charger complètement en molécules

non fatigant, - parfaite égalisation / CO2 : production cellulaire = élimination alvéolaire - Entraîné : débit ventilatoire constant (= couvrant les besoins de l’organisme), - Sédentaire : aucun état stable ventilation  hyperventilation pénible =dyspnée.  +  +  :  Déficit en O2 : - existe toujours, même pour une intensité faible, - proportionnelle à l’intensité de l’effort, tout au long de l’effort, - se prélevant sur le stock d’énergie (ATP-CK-glycolyse

d’expirations régulières d’amplitude moyenne. Peu de temps après le début de l’asphyxie du chien B, le spirogramme du chien A présente des inspirations et des expirations plus profondes (d’amplitude plus grande). (0,25 point x 2) 2.2 Il s’agit d’une hyperventilation pulmonaire. (0,5 point) 2.3 Hypothèse : Les facteurs responsables de l’hyperventilation du chien A seraient l’augmentation du taux de CO2 et la baisse de celui du O2 dans le sang du chien B qui irrigue la tête du chien A. (0,25 point x 2) 2)

l'altitude agit surtout sur l'organisme par la diminution de la pression partielle de l'oxygène dans l'air inspiré, par la diminution de l'air totale, par l'abaissement de la température, par l'action du rayonnement solaire. Il s'en suit une hyperventilation, c'est à dire une augmentation de la respiration, une tachycardie, augmentation de fréquence cardiaque, et une augmentation du nombre de globules rouges dans le sang (polyglobulie) pour réagir à l'hypoxie. Une personne située au niveau de

qu’elle se sentait mal, qu’elle avait fait une crise due à son anxiété et qu’elle se sentait seule. Elle voulait que je demande à cette personne de venir à voir. A ce moment là, Madame G était encore légèrement essoufflée par la suite de son hyperventilation et ne voulait pas parler elle-même. Or, ne connaissant pas la nature de leur relation et l’inquiétude qu’aurait pu susciter à cette personne un appel de la sorte me poussait à ne pas le faire. Je lui ait donc proposé tout d’abord, de taper le

l’hypercapnie de Mr B. âgé de 69 ans. Situations ou activités vues ou réalisées : Mr B. entré pour une détresse respiratoire aigue sur un choc cardiogénique. Le respirateur du patient sonne car sa fréquence cardiaque est haute, ce qui est le signe d’une hyperventilation. De plus, le patient a une saturation en oxygène à 84% (prescrit>87%) sous 50% de FiO2 en ventilation contrôlée assistée. Je rentre dans sa chambre suite à la sonnerie du respirateur. Je me retrouve face au patient, le stress commence a me gagner

diurèse POLYURIE Augmentation du volume des urines (diurèse > 3L) OLIGURIE Diminution du volume des urines (diurèse 20 cycles par min.) POLYPNEE hausse de la fréquence respiratoire associée à une baisse de l'amplitude des mvts respiratoires HYPERVENTILATION Respiration anormale, accélérée et amplifiée. HYPOVENTILATION Quantité d'air inspiré dans les poumons est insuffisante. MENINGITE Inflammation des méninges (=membrane enveloppant le cerveau et la moelle épinière) AKINESIE l'impossibilité

la pensée -euphorie et vertige -modifie les perceptions visuelle / auditive / tactille -augmentation de la tension arterielle, accélération du rythme cardiaque -dilatation des pupilles -faiblesse musculaire, tremblement, nausées, frisons, hyperventilation -perte de contact avec la réalité -sensation de lourdeur -accroissement des joies, peines, pleurs, frayeurs -perte de motivation et d'interet -depression et anxiété prolongé 2) le LSD se fixe sur le recepteur postsynaptique, le meme que