Hypothyroïdie

urémique, par augmentation des résistances périphériques à l'insuline et diminution de sa sécrétion, indépendamment de tout diabète préexistant. Diminution des réserves de glycogène, par augmentation de la sensibilité périphérique au Glucagon. - Hypothyroïdie le plus souvent centrale. - Intoxication aluminique avec atteinte centrale. 3E Facteurs gastro-intestinaux - Oesophagite, gastrite et bulbo-duodénite ulcérées plus fréquent chez l'insuffisant rénal chronique dialysé surtout du fait du stress que

000 Nord Faux positifs 0,07 % n = 7/18 millions =erreurs humaines 0,1 % n = 67/15 millions 1 p. 180.000 ½ cas : TSH normale, seule T4 È ½ cas : erreurs humaines 1/11.000 Franche Comté et Limousin < 1 p 30.000 n = 40 Hypothyroïdie 1978 1 p. 4.000 ratio M/F = ½ n = 200 Hyperplasie congénitale des surrénales 1995 1 p. 10.000 à 12.000 Ile de La Réunion : ½ 500 Faux négatifs 0,019 à 0,5 % 1) Phénylcétonurie Elle résulte dans la très grande majorité

éviter cette voie, sauf pour les vaccins naturellement. Voie percutanée La peau du nourrisson est très perméable et cela a entraîné beaucoup d'accidents. Il ne faut pas appliquer : - de l'alcool iodé (qui peut entraîner une hypothyroïdie) ; - de la vaseline salicylée (car risque d'intoxication à l'aspirine) ; - de l'hexachlorophène ; - des corticoïdes (risque d'hypertension intracrânienne) ; - des pansements alcoolisés (risque d'intoxication éthylique)

l'IRM est contre-indiquée ou n'est pas réalisable. • Les dosages plasmatiques de la vitamine B12 et de la vitamine B9 (folates), ainsi qu'un bilan thyroïdien (TSH) sont systématiquement réalisés, car une carence en vitamine B12 ou B9 et une hypothyroïdie peuvent être causes de démence (démence curable). D'autres examens sont réalisés dans certaines circonstances seulement : • La tomographie à émission monophotonique (TEMP) qui utilise aussi des marqueurs de perfusion ou du métabolisme cérébral

&lt; 2000g : 2eme test de Guthrie à 14 jours de vie. Le test peut être répété sur demande du labo central de Zurich. Comment ? Prélèvement de gouttes de sang sur un papier buvard réalisé par l’infirmière Quelles maladies ? Phénylcétonurie, hypothyroïdie, déficit en MCAD, déficit en 17OHP, galactosémie, déficit en biotinidase, mucoviscidose, acidurie glutarique de type 1 (AG1) et maladie du sirop d’érable (MSUD). Résultats ? Si pas de résultats de Guthrie : téléphoner au 044 266 77 33 Organisation

PNC 75- IRA 79- Ascite 80- Hépatites virales 86- CML 87- Epilepsie 88- Maladie de Parkinson 92- Bouffée délirante 93- PMD 98- Epistaxis 99- Vertige 102- Eczémas 104- Trachome 105- Glaucomes 13- Insuffisance surrénale aiguë 14- Hyperthyroïdie 15- Hypothyroïdie 16- Hyperparathyroïdie 27- IDM 28- ICC + traitement 29- OAP 30- HTA + traitement 32- Crise hypertensive 37- Pneumothorax 38- Pleurésies 51- Syndromes myéloprolifératifs I 52- Syndromes myéloprolifératifs II 53- Syndromes lymphoprolifératifs

fonctionnement cognitif (p. ex., maladie cérébro-vasculaire, maladie de Parkinson, maladie de Huntington, hématome sous-dural, hydrocéphalie à pression normale, tumeur cérébrale). 2/ à des affections générales pouvant entraîner une démence (p. ex., hypothyroïdie, carence en vitamine B12 ou en folates, pellagre, hypercalcémie, neuro-syphillis, infection par le VIH). 3/ à des affections induites par une substance. E. F. Les déficits ne surviennent pas de façon exclusive au cours de l’évolution

inférieurs - troubles proprioceptifs : dégénératifs de la colonne cervicale, neuropathie périphérique - urinaires : insuffisance rénale, pathologie prostatique, instabilité vésicale et autres causes de pollakiurie - métaboliques : diabète, hyper ou hypothyroïdie - affections des pieds : cals, durillons, hallux valgus sévère, … - dénutrition (Note 3) - les vertiges : la complexité des causes de ceux-ci doit amener les praticiens à les considérer comme un syndrome gériatrique (93). 5.1.2. Les affections

et de na pas avoir un organe Dépression iatrogène : induit par certains médicaments Tels que isoniazide, neuroleptique, corticoïde Dépression organique : se voit lors de certaines affections organiques : - Accident vasculaire cérébrale - Hypothyroïdie - Diabète - Cardiopathie - Tuberculose IV) Evaluation Plusieurs profils évolutifs sont possibles : - Guérison : sans traitement après quelque mois d’un premier épisode de trouble dépressif majeur épisode isolé (DSM IV) - Récidive : après

importants (voir note en annexe). - juillet 99 à décembre 99 : opération et soins (chimio et radiothérapies) pour un cancer du nasopharynx. - février 2001 à septembre 2001 : hospitalisé un mois et opéré de ganglion au cou puis traitement pour hypothyroïdie. Après cette date, du fait de ses brefs passages dans les institutions puis la fin de prise en charge possible par le service de pédiatrie de l’hôpital public (plus de 16 ans), aucun bilan ni suivi n'a été effectué. Parallèlement, le jeune