Hérédité Du Fief

contribuent à élaborer le dogme de l'église catholique (mettent en cause la sainte trinité ou la nature divine du Christ).   Constantinople: affaiblie par les conquêtes. Les cadres de l'empire Byzantin restent romains, soucis de l'intérêt général. Hérédité qui s'affirme avec Hiéracrius (tournant en 610). L’empereur acquiert une part de divinité et est le pouvoir politique suprême → loi vivante. Puis Charlemagne prend le pouvoir et coexistent les deux empires. Rupture église occidentale/orientale (querelle

reposent sur des engagements de soumissions à l’égard de supérieurs, engagement d’aide, de fidélité, de conseil, de personnes à personnes, qui sont consolidées par la remise du puissant, le seigneur, à un moins puissant, le vassal, par la remise d’un fief qui désigne la concession à charge de services nobles et l’objet de cette concession aux 10ème et 11ème siècles est la féodalité. Système de relations sociales et politiques qui est un ensemble de structures et d’institutions : un schéma nouveau d’organisation

de Fief Les rois sont en droit de céder certaines partielles de leur territoire ainsi que le pouvoir qui va avec. Deuxième moitié du 9ème siècle (850), début du partage des Carolingiens, ils les donnent en concession (= le roi reste propriétaire mais les grands exploitent les terres et le pouvoir, appelés fief. Donc concession de fief). Sorte de dépendance, parce que si concession, fidélité (politique) et également engagement de rendre différents services. Le Grand en récupérant ce fief, va

appropriation des pouvoirs publics Normalement, les pouvoirs publics sont ceux du roi, mais il y a une appropriation privée de ces pouvoirs. La vassalité : un homme prête hommage à un autre. La concession d’un bien du roi à son vassal conduit au fief grâce au phénomène féodal. La structure de la société est donc déterminée avec un phénomène nouveau : le renouveau du commerce et des villes. Section 1 : les origines de la seigneurie I) Le château Contexte de violence, invasions : les Sarazins

royaumes de France, de Germanie et de Bourgogne aux Xe et XIe siècles (888 – vers 1110) I. La famille, cadre de la transmission du pouvoir 1) Une transmission héréditaire généralisée ? a. La transmission du pouvoir royal : hérédité ou élection ? b. Transmission et patrimonialisation des honores : une situation différente selon les royaumes c. L’émergence du lignage : réalités et limites d’un modèle 2) Acteurs et bénéficiaires familiaux de la

et possède l’incroyable privilège de ne pas être pendu mais … décapité) ou encore honorifique (le droit de porter l’épée, d’avoir une particule bien que cet avantage ne soit pas exclusivement réservé aux nobles, d’acquérir des armoiries voir même un fief, de posséder un siège à son nom à l’église ou encore de pouvoir profiter de certaines règles de droit de concessions adapté afin que les familles nobles « conservent leurs dignités »). C’est donc grâce à ses attributs profitables que cet ordre est

du lien féodal La formation de ce lien est calquée su la formation vassalique carolingienne. On va être confronté à une procédure plus élaborée mais avec les deux éléments essentiels : le lien personnel (hommage) et le lien réel (concession du fief). 1) L’hommage, lien personnel Le lien vassalique est l’acte par lequel le vassal se donne et se place sous la dépendance du seigneur féodal. Cet hommage se situe dans le prolongent mérovingien et carolingien. Mais le rituel s’est

patrimoine privée, du royaume. Le fils à opérer le partage entre ces quatre héritier mâles. Donc dès la mort de clovis il eu une fin de cette unité qui avait été obtenue par clovis. Mais il y a deux élements qui permettaient de maintenir cette hérédité. Malgrès les héritage territoiriaux on a vu ce constituer des entités territoriales stable. Pas de partages aléatoire, mais respect du partage territoirial.. de même les 4 frères avaient choisi des capitales assez proche : Reims, Paris, Orlèans et

régissant des obligations d’obéissance et de service (militaire) de la part d’un homme libre dit vassal envers un autre homme libre dit ou suzerain, obligation de protection et d’entretien qui se traduit par la concession du seigneur au vassal d’un fief. Phénomène juridique, social, mental, féodalité domine la période capétienne et la monarchie elle mm. Ne dispose d’aucun titre d’autorité hors du domaine royal. D’abord impuissante à gouverner ses vassaux, grands ou petits, puis reconstruit ensuite

partage (Loisel : « Qui veut le roi, si veut la loi »). Outre ce devoir de faire la loi pour tous, le roi est source de toute justice. A l’égard des justices seigneuriales, la royauté imposa son contrôle en proclamant que « toute justice était tenue en fief du roi » (Philippe Sueur, Histoire du droit public français XVè-XVIIIè siècle) justifiant ainsi l’appel. Pour l’exercice quotidien de la justice, le roi déléguait son pouvoir judiciaire aux juges qui le représentaient en permanence, selon les principes