Hétérogénéité Zone Euro

pour qu’ils e rétablisse. Il faut arrêter cette hausse de chômage sinon ça prendra des décennies à revenir à la normale. II. LES TENDANCES LOURDES DU MONDE ECO D’AJD 1. Déséquilibre [e] la sphère financière et l’éco réelle Les faits : La zone € : maintenant, ça va meiux mais on vient de loin. La crise a commencée en 2008 car les USA sont rentré en crise immobilière et ça s’est répercuté sur les autres pays -> crise souveraine = crise des états. Même si on a bien aidé les banques, la crise

maintien de la croissance à un niveau satisfaisant durant cette période et le bon comportement des investissements directs étrangers et des exportations, notamment celles des nouveaux métiers mondiaux du Maroc. Toutefois, l’installation de la zone Euro, notre principal partenaire économique, dans une phase longue de croissance lente et le maintien des prix des matières premières à un niveau élevé ont conduit à une réduction substantielle 9 de notre marge de manœuvre au niveau macroéconomique

et de plus de 80 pays, grands groupes industriels comme Saint Gobain, Benetton, Bayer,…) ■ l’UE est responsable de plus de 18% des échanges mondiaux ■ programmes industriels (EADS) ■ places boursières importantes (Londres, Francfort, Paris) ■ zone euro inachevée (rejetée par le Royaume-Uni, la Suède, le Danemark et inaccessible pour la majorité des PECO) ■ Disparités économiques très fortes (valeurs du PIB très contrastées : Lettonie : 6600 €/habitant, Luxembourg : 66900 €/habitant) ■ approvisionnement

récente? Le dogme de la désinflation compétitive pratiqué à l'échelle de la zone euro a montré ses limites et ses contradictions à l'occasion de la dernière décennie. Des analyses récentes montrent que "la Grande Modération", c'est-à-dire la baisse générale du niveau de l'inflation dans les principaux pays industrialisés depuis 10 ans n'est pas due en premier chef aux politiques monétaires (en particulier dans la zone euro), mais plutôt aux effets structurels de la mondialisation (exemple : la concurrence

contrairement au délai actuel de trois ans inclus dans le PSC ; ↘ Incitations : alors qu'elles se sont montrées efficaces dans la course à l'adhésion à l'UE et à l'UEM, les incitations sont étrangement absentes du dispositif de coordination de la zone euro. Les pays qui mettent en œuvre des programmes d'ajustement budgétaire pourraient être récompensés, notamment par une transmission plus rapide des fonds de la PAC ou des fonds structurels. Une autre façon de fournir des incitations serait de permettre

1933 : le New Deal, la relance contre l’austérité. A la recherche d’une solution de relance économique, les dirigeants de la zone euro ont des opinions divergentes. Certains proposent une intervention « à l’allemande » en terme de rigueur budgétaire et d’augmentation salariale, d’autres souhaitent que l’Etat soit au centre des dépenses publiques nationales. Au cours de la 3e décennie du 20e siècle où la crise battait son plein, comme le cas se présente aujourd’hui en Europe, ces mêmes politiques

gouvernementale affecte négativement la croissance à partir d’un seuil estimé à environ 85 % du PIB. Checherita et Rother (2010)observent pour leur part l’impact moyen de la dette gouvernementale sur la croissance du PIB pour tête dans les douze pays de la zone euro au cours des quatre décennies consécutives à 1970. Les auteurs constatent un impact non linéaire de la dette publique sur la croissance économique des pays européens : cet impact serait clairement négatif lorsque la dette gouvernementale excède 90

également calculer ce qu’on appelle l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) dans le cadre de la politique économique commune. Cet IPCH est utilisé par la Banque Centrale Européenne (BCE) en combinaison avec les ICPH de l’ensemble de la zone euro pour déterminer l’orientation de la politique monétaire. 2 raisons : les méthodes de calcul de l’IPC varient d’un pays à l’autre et les Etats influent directement sur le prix de certains biens (prix du tabac, santé, éducation). 2. Le rôle de la

soutenir l’économie Pour les autres pays de la zone euro, qui ont interprété la crise comme le signal de la rigueur budgétaire, par une crainte soudaine des agences de notation Au-delà des effets conjoncturels: Comment interpréter le risque grec: problème de soutenabilité ou crise auto-réalisatrice? Quel poids donner aux agences de la notation dans la conduite de la politique économique? Quels sont les conséquences que l’on peut en tirer pour la zone euro? Chronique de la crise (2009-2010)

et Sébastien Pommier, maître de conférences à l’université de Rennes-1 (35)1. Le policy mix, traditionnellement défini comme l’articulation des politiques économiques conjoncturelles, est d’une nature tout à fait singulière au sein de la zone euro, puisqu’il combine une politique monétaire unique confiée à la Banque centrale européenne (BCE) et douze politiques budgétaires restant du domaine des gouvernements nationaux. Cet article analyse les fondements théoriques qui justifient une