Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique

cette philosophie morale, une philosophie politique qui lui est liée. Celle-ci est explicitée dans plusieurs opuscules, dont Projet pour une paix perpétuelle, qui prône un fédéralisme cosmopolite afin d'établir une véritable paix; l' Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique, qui précise les conceptions kantiennes au sujet du progrès du droit et de la morale dans l'histoire, ou encore de ce que Hegel appellera — en en modifiant l'approche — la Raison dans l'histoire); ou enfin Qu'est-ce que

1 S1 Note de synthèse à partir d’un extrait du livre : REEVES Hubert, DE ROSNAY Joël, COPPENS Yves, SIMMONET Dominique. La plus belle histoire du monde. Paris : Editions du seuil, 1996, 187p. Le texte étudié est extrait du livre La plus belle histoire du monde d’Hubert REEVES, Joël DE ROSNAY, Yves COPPENS et Dominique SIMMONET. Pour ce travail, nous nous concentrerons sur la troisième et dernière partie de l’ouvrage ; il s’agit d’un entretien entre Dominique SIMMONET, journaliste

l'appréhender de manière utile. → régulateur et constitutif. Régulateur le naturaliste peut observer la nature d'un point de vue de finalité possible, ajout d'une dimension qui peut servir à prouver qqch. Mais régulation de la pensée n'est pas constitutive. Selon Kant, le jour où la Nature s'expliquera entièrement, je n'aurai pas besoin de principe régulateur et de jugement réfléchissant. En histoire, je ne peux déterminer un sens de l'histoire, une finalité ni un ordre de l'histoire, mais rien ne m'interdit

La barbarie est quelque chose d'inhumain comme par exemple , la barbarie faite au Xxe siècle lors de la seconde guerre mondiale par les nazis . La culture elle fait partie du savoir , de la connaissance mais néanmoins la barbarie peut faire partie d'une culture a part entière . Nous pouvons donc dire que la culture ne permet pas d'échapper a la barbarie nous allons donc le montrer , premièrement nous verrons que ses deux termes sont opposés , le procès de la culture et pour finir la complexité de

naissance/base de la société Thèse : création propriété -> début misère humaine (guerres, meurtre, crimes) car décréter que la Terre nous appartient est une imposture, résulte d’une évolution (qui dépend de la culture + ou – rapide) Propriété = société Idées : propriété fondation société organisée + mal sociale -> idée principale Pourquoi ? : La propriété a engendré violence, pourquoi ? Propriété = imposture donc rien n’est à personne puisque tout est à tout le monde = début violence (nature

qualité d’ « être-reconnu » dans le milieu des relations entre Etats souverains. Mais, cela étant posé, se repose le problème de la limite légitime à l’exercice de la souveraineté politique, non plus, cette fois, du point de vue du droit interne, ou jus civitatis, mais du point de vue du droit international, ou jus gentium. Il y a là un problème toujours pendant. Il est vrai que la souveraineté politique trouve sa limite, à l’extérieur, dans le droit des gens, comme elle la trouve, à l’intérieur,

exemple, le Soleil tourne autour de la Terre. « Dans le temps », « chez nous », « on a toujours fait comme ça ». Poser des questions peut être inconfortable. C’est ne pas poser n’importe quelles questions. Toute réflexion philosophique suppose un point de vue ou une réflexion sur ce que sont les bonnes questions, celles qui méritent d’être posé, celles qui doivent être posé. Pourquoi toutes les questions ne sont pas bonnes ? On ne peut pas passer sa vie à poser des questions. Il y a nombre infini de

aporétique les paradoxes du mobilisme de Zénon d’Elée et enfin redonne du relief aux arguments relatifs à l’achèvement de la souveraineté (Mairet, 1997 : 162-181). Ces deux situations installent ainsi la philosophie politique contemporaine dans l’inconfort d’une modernité nostalgique où espace et temps demeurent « les formes a priori de la sensibilité » (Kant, 1997) et conditionnent encore la possibilité du rapport à l’expérience fut-elle politique (Renaut, 1997 : 456-491)4. L’essentiel de ce débat contemporain

visent à construire une œuvre, pour donner du sens à la vie, celle-ci avait toujours pour souverain empire de décider de si ces œuvres se révèleront vaines, ou non. Ainsi dès lors que l’on cherche un sens à la vie se pose à nous un double problème : d’une part, l’imprévisibilité de la vie et les déboires qui l’accompagnent, tels que l’a pu incarner l’arrivée précoce de l’hiver pour les troupes napoléoniennes en direction de Moscou, n’est-elle pas qu’un attribut de la vie au-delà duquel nous devons rechercher

l'égalité entre les citoyens. 2) "Qui craint les exceptions aime la loi" La loi régit les rapports des hommes au sein d'une société. Elle décrit une obligation qui ne comporte pas d'exception, car elle serait l'expression d'une inégalité entre les citoyens. La loi est donc générale, et s'impose à tous car elle résulte de la volonté générale et non pas de la volonté particulière d'un individu. C - SUJET DE REFLEXION "Pourquoi l'égalité est-elle essentielle au droit ?"Le droit met les hommes à égalité