Il N Y A Rien Qui Enferme Plus Que L Amour

FICHE DE LECTURE « La Princesse de Montpensier » de Madame de La Fayette (1662) La princesse de Montpensier est un roman écrit sous la plume de Madame de La Fayette, parut en 1662 (c'est à dire il y a 349 ans). Il comporte une trentaine de pages. C'est aussi un film adapté par Bertrand Tavernier à l'écran le 3 novembre 2010 produit en France d'une durée de 139 minutes. 4ème de couverture: « Madame de La Fayette devance Racine quand elle montre les ravages de la passion aveugle, celle

sais ; à quoi bon, hélas ! L'ombre emplit mon noir sourcil ; Rester là si tu me quittes, Une fête est une tombe, Et vivre si tu t'en vas ? La patrie est un exil. A quoi bon vivre, étant l'ombre Je t'implore et réclame ; De cet ange qui s'enfuit ? Ne fuis pas loin de mes maux, A quoi

fréquente le salon des Hugo, lance à dix-neuf ans son premier recueil poètique-"Contes d'Espagne et d'Italie". Il prend ses distances avec les romantiques parce qu'il ne partage pas leurs choix politiques après 1830. En 1833 Musset rencontre George Sand avec qui il vit jusqu'en 1835 une passion. Jusqu'en 1838 sa production est féconde et variée. Mais après 1838 son inspiration se tarit. Précocement vieilli par la débauche et l'alcool, sujet à des crises nerveuses de plus en plus fréquentes, il mène une ville

sa fille rentre chez eux avec son chum et qu’il a le bras coupé, Mathieu comprend vite que le pays est instable. Plusieurs péripéties se déroulent comme l’enlèvement de Erian et de Nora. De plus, une photo du couple qui est publié par la journaliste créé beaucoup de problème. On voit l’évolution de tous les personnages au courant de la pièce, les changements de mentalité de plusieurs.  Expliquez le titre de la pièce. Ce n’est pas pour rien que le titre de la pièce est « Furieux et désespérés »

normes poétiques traditionnelles, comme le Symbolisme, le Parnasse, le Surréalisme ou l'Oulipo. Francis Ponge, lui, s'est attaché à bouleverser ces normes par l'écriture de poèmes en prose, genre né au XIXème siècle, et par le choix d'objets triviaux, mis en valeur dans une poétique de l'objet. Ainsi, dans Le parti pris des choses, publié en 1942, il a redonné vie et valeur à des objets du quotidien, tels que le cageot, dans un poème du même titre, situé dans le premier tiers du recueil. Présentation

Tristan L'Hermite est issu d'une famille de noble. Son père a voulu l'envoyer à la cour pour le faire devenir un vrai noble. Il raconte cette dure expérience dans son autobiographie. Dans ce roman, il raconte son amour pour la littérature qui est, à son point de vue, une évasion au monde de cour qui est plein de désillusion. Mais Tristan L'Hermite est avant tout un poète lyrique, au service de ses mécènes. Un de ses mécènes le plus connu est Gaston D'Orléans, un des fils de Henri IV. L'oeuvre

La folie, peut être une manière d’essayer de conserver son intégrité psychique au risque de détruire le corps ou d’anéantir l’esprit. Le joueur d’échecs est un huit-clos où l’homme est enfermé dans une prison sans échappatoire. On peut analyser comment l’homme se comporte socialement, comment on peut lui inculquer une autre pensée que la sienne, le rendre fou par la répétition des sévices et des questions lors des interrogatoires brutaux et vicieux, par la solitude sans aucun contact vraiment humain

tenter désespérément de le retrouver. Il ne fait confiance à personne et se montrer prêt à tout pour retrouver son père niant que celui l’a abandonné. Cyril est un enfant turbulent et bagarreur qui s’énervent très vite. Lors de son aventure, il va rencontrer une femme, Samantha, coiffeuse. Celle-ci jouera un rôle primordial dans l’histoire en acceptant de s’en occuper tout le week-end. De cette manière, Cyril va enfin trouver quelqu’un a qui faire confiance et qui va l’aider dans sa recherche paternel

Basil demande à Lord Henry de ne pas tenter de le corrompre. Mais Dorian se laisse séduire par les théories sur la jeunesse et le plaisir de ce nouvel ami qui le révèle à lui-même en le flattant : « Un nouvel hédonisme […] Vous pourriez en être le symbole visible. Avec votre personnalité, il n'y a rien que vous ne puissiez faire ». Va naître dès lors en lui une profonde jalousie à l'égard de son propre portrait peint par Basil Hallward. Il formule le souhait que le tableau vieillisse à sa place pour

déniche un jour un oisillon... « Personne, jamais, ne nous séparera. Personne ! », murmure Martin à son nouvel ami. Chapitre 2: Le fauconnier Martin s’occupe tous les soirs de son faucon. Il le fait voler, lui donne les restes de repas. Mais dans l'ombre de la forêt, l'impitoyable fauconnier du château veille... Un soir, il surprend le jeune garçon. Il veut faire du rapace l’oiseau le plus féroce et le plus cruel. Pour empêcher cela, Martin arrache trois plumes d’une aile de l’oiseau pour l’empêcher