Il Pleut De Guillaume Apollinaire

jamais d’eau, parce qu’ils prennent leur source au-delà du désert, dans des montagnes arrosées. Le plus célèbre de ces fleuves est le Nil, qui prend sa source en Ouganda, au lac Victoria, et reçoit des affluents des hauteurs éthiopiennes, régions où il pleut. Il garde donc toujours assez d’eau pour franchir le Sahara du sud au nord et se jeter dans la Méditerranée. La deuxième région traversée par des fleuves pérennes est la Mésopotamie. Il y a là deux fleuves, l’Euphrate à l’ouest et le Tigre à l’est

l’ensemble de l’œuvre (« Un cœur simple » de Flaubert ; La Vénus d’Ille de Mérimée ; Le Comte de Monte-Cristo de Dumas, en version abrégée ; Les Misérables de Hugo, en version abrégée ; On ne badine pas avec l’amour de Musset ; Des troubadours à Apollinaire, une anthologie poétique) ; – des lectures cursives : « la lecture cursive est une lecture personnelle de l’élève, en dehors du temps  scolaire, mais le plus souvent en rapport avec le travail conduit en classe » (BO du 28.08.2008). Un choix de

(miroirs) et de termes diamétralement opposés (symétrie centrale). De cela nous tirerons la mise en place d'une symétrie réelle dans l'unité du conte. La première symétrie remarquable est une symétrie centrale. Elle concerne Guillaume de Flavy et Blanche. Guillaume (p. 87) Blanche (p. 88) "C'était un grand homme" "mais accroupie […] une petite fille tournait sa tête" "Et fort et large d'épaule" "ses membres étaient grêles" "Mamelu et velu" "sa poitrine était plate"

France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE 3 A. Breton, Clair de terre « L’aigrette » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 L. Aragon, Les Yeux d’Elsa, « Les yeux d’Elsa » ANALYSE D’IMAGE R. Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS G. Apollinaire récitant « Le Pont Mirabeau » G. Brassens, Il n’y a pas d’amour

poétiques ■■ Exercices pp. 486-487 1 Identifier les types de vers 1. Octosyllabes : Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris Trist(e) et mélodieux délire J’err(e) à travers mon beau Paris Sans avoir le cœur d’y mourir Guillaume Apollinaire, « La Chanson du mal-aimé », Alcools, 1913. 2. Vers de six syllabes (hexasyllabes) : Ô blanche fiancée ! Ô jeune vierg(e) en fleur ! Amante délaissée, Que flétrit la douleur ! Gérard de Nerval, « Les Cydalises », Odelettes, 1832. p. 484 3

6. ambition ! orgueil ! 2 Réécrivez les phrases en utilisant le déterminant exclamatif quel. 1. Le soleil brille très fort. Il fait très chaud. Il fait très beau. . Quel soleil ! chaleur ! beau temps ! 2. Il y a beaucoup de vent. Il pleut beaucoup. Il fait très froid. Il fait très mauvais. . 3 Formulez l’exclamation correspondant à chacune des phrases. un menteur – un idiot – un étourdi – un paresseux 1. Julien ne comprend rien. . 2. David ne fait rien. . 3. Vincent

expérimenté ? Vieux Si la Palme d'Or est la plus haute distinction du Festival de Cannes, quelle est celle de la Mostra de Venise ? Le Lion d'Or En 2006, à quel musicien doit-on la bande originale du film : "Ne le dis à personne" de Guillaume Canet ? M ou Mathieu Chédid De quel pays, Pervez Mucharraf était-il président, jusqu'à sa démission en août 2008 ? Pakistan ou République islamique du Pakistan Dans quel pays se situe le barrage d'Assouan ? L'Égypte Quel était le

cols et les serres. Le menhir de la Vieille-Morte, sur la montagne du même nom, a donné le jour à une légende très répandue, qui explique sa présence et celle d’un certain nombre de toponymes curieux (comme la ferme d’Escouto-se-Plou, Écoute-s’il-pleut) par la pérégrination d’une femme pécheresse, morte épuisée, après avoir déposé la pierre qu’une fée lui avait enjoint de porter sans fin. De la même manière, la légende (ou l’histoire) protestante a récupéré une autre série de traces fortement représentées

fruits. De ces rapprochements opérés par le poète naissent des images qui jettent un éclairage nouveau sur le monde qui nous entoure. • On distingue deux procédés pour créer une image : la comparaison et la métaphore. « Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » (Paul Verlaine) : pour exprimer la ressemblance entre son chagrin et la pluie qui tombe, le poète a recours à un outil grammatical, le mot comme, qui établit une sorte de pont entre les deux éléments. Il fait une comparaison. Celle-ci

Le rouge est partout, des cerises jusqu’au sang qui se mêle à l’eau des ruisseaux tandis que la chanson s’envole, seul art des rues capable d’immortaliser les simples rêves et les profondes misères populaires. Philippe Dumas avait illustré Il pleut, il pleut bergère… Le jeune lecteur n’évitera pas la collision entre une chanson d’amour et l’Histoire sanglante : deux classiques du genre humain. Il aura besoin d’aide pour reconstituer cette période évoquée par fragments, en de grandes doubles pages