Il Regarde La Réalité Nue Et Sans Voile

Disce hinc quíd possit Fortuna, immota labascunt Et quae perpetuo sunt agitata, manent (Janus Vitalis, Roma Prisca, in Elogia, 1553). * Nouveau venu, toi qui cherches Rome au milieu de Rome, Et qui ne trouves rien de Rome au milieu de Rome, Regarde la masse de ces murailles et ces pierres brisées, Et ces vastes théâtres accablés sous une ruine affreuse. Voilà Rome: ne vois-tu pas comme les cadavres d’une telle Ville, impérieux, respirent encore la menace? De même qu’elle vainquit le monde

Et, dans le tympan, au-dessus du linteau, toute la légende de la vierge enfant, fiancée à Jésus, se déroule, en haut relief, d'une foi naïve: ses cheveux qui s'allongèrent et la vêtirent, lorsque le gouverneur, dont elle refusait le fils, l'envoya nue aux mauvais lieux; les flammes du bûcher qui s'écartant de ses membres, brûlèrent les bourreaux, dès qu'ils eurent allumé le bois; les miracles de ses ossements, Constance, fille de l'empereur, guérie de la lèpre, et les miracles d'une de ses figures

interrogée sans arrière-pensée sur le nombre de campagnes victorieuses qu’elle avait menées. Faisant l’étalage mental de ses engagements, Lisa avait été forcée de reconnaître la triste vérité. _Aucune, avait-elle confié. Face à cette éclatante réalité, Lisa n’avait pu retenir ses larmes. Elle était rentrée chez elle, chancelante, bouleversée, et avait dormi pendant 49h d’affilée. Ses compagnons d’infortunes, interpellés par ses absences aux réunions du comité de lutte, avaient cherché à la contacter

la Séquence II Littérature de combat au siècle des Lumières Texte 6 Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique […]. Il n’y a d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique qui, répandu de proche en proche, adoucit

avec elle s’avère impossible. Le poème le serpent qui danse de Baudelaire, décrit une personne réelle. D’aucuns pensent qu’il s’agit de sa maîtresse Jeanne Duval qu’il décrit. Le titre annonce que le poète est capable de voir la beauté dans la réalité la plus misérable et la plus sordide mais aussi qu'il est fasciné par l'aspect maléfique qu'il peut y avoir dans la beauté. A travers la métaphore du serpent il essaye d’élucider la double personnalité qui selon lui réside en la femme. Léopold Sédar

Commelin - Mythologie grecque et romaine 5 “ La mythologie est évidemment une série de mensonges. Mais ces mensonges ont été, durant de longs siècles, des sujets de croyance. Ils ont eu dans l’esprit des Grecs et des Latins, la valeur de dogmes et de réalités. À de titre ils ont inspiré les hommes, soutenu des institutions parfois très respectables, suggéré aux artistes, aux poètes, aux littérateurs l’idée de créations et même d’admirables chefs-d’œuvre. ” Commelin Ces magnifiques et magiques mensonges

recule du chevalet pour jeter un regard d’ensemble à sa toile, puis presse sur sa palette deux tubes et mélange les couleurs. Sur le pas de la porte, lorsqu’elle me raccompagne, je lui trouve les yeux cernés et le visage pâle. Lundi 14 juin Maria vient de m’appeler me demandant de passer la voir, elle a quelque chose à me montrer. Dés l’entrée, elle m’annonce : Comme ma belle-sœur, j’ai reçu une enveloppe, vide aussi Fais voir ! Tiens ! Elle me lance un regard interrogateur et me donne l’enveloppe ;

Chanaan » à Carthage. La seconde est moins explicite et plus profonde. Recourir à une traduction littérale de l’hébreu donne accès à la langue même de Carthage, le « vieil 24 25 Ibid. Samuel Cahen, La Bible, traduction nouvelle avec l’hébreu en regard ... avec des notes philologiques, géographiques et littéraires, 1831-1851, 18 vol. in-8°, I, p. XV. Flaubert, Correspondance, éd. cit., II, p. 740, lettre de juin-juillet 1857 à Ernest Feydeau. 26 27 Flaubert, Oeuvres complètes, éd. cit., II

| “ La mythologie est évidemment une série de mensonges. Mais ces mensonges ont été, durant de longs siècles, des sujets de croyance. Ils ont eu dans l’esprit des Grecs et des Latins, la valeur de dogmes et de réalités. À de titre ils ont inspiré les hommes, soutenu des institutions parfois très respectables, suggéré aux artistes, aux poètes, aux littérateurs l’idée de créations et même d’admirables chefs-d’œuvre. ” Commelin Ces magnifiques et magiques

N'EST PAS TOUJOURS CELUI QUI OUVRE LA PORTE QUI ENTRE DANS LA MAISON......................................................................................................16 . CHAPITRE III. COMMENT IL EST DIFFICILE PARFOIS DE DISTINGUER LE REVE DE LA REALITE.......................................................................................................................................25 . CHAPITRE IV. COMMENT MADEMOISELLE DE BRISSAC, AUTREMENT DIT MADAME DE SAINT−LUC, AVAIT PASSE SA NUIT DE NOCES