Il Y Avait Au Couvent Une Vieille Fille

nuit à Loisy (chap. III). Durant le trajet en voiture qui suit la vieille route de Flandres, un autre souvenir, d'adolescence cette fois, remonte à la conscience du narrateur. C'est une autre fête de l'arc, quelques années (1825 environ) après la rencontre d'Adrienne. La fête de l'arc se termina cette année-là par un somptueux repas sur une île, durant lequel le narrateur reconquiert l'amitié de Sylvie, devenue une belle jeune fille (chap. IV). Après la fête, le narrateur raccompagne Sylvie et son

tout le point de départ est identique. Juste la suite des deux intrigues diverge. Dans Agathe, les conséquences d’une éducation religieuse sont mises en évidence. Agathe est une jeune fille élevée au couvent qui, rentrée au château, doit se marier, mais elle rejet son fiancé en exprimant son vœu de retourner au couvent. Mais, même si l’intrigue est similaire à l’intrigue de Badine, le déroulement de la pièce présente peu de ressemblances avec Badine. En ce qui concerne les indications scéniques

au couvent li. 1 à 15 1ères impressions : On voit bien que dans ce passage, la formation d’Emma, l’adolescence au couvent, va avoir une influence sur sa vie. La vieille fille lui amène des romans qui vont enfiévrer ces demoiselles. Emma va rêver d’un chevalier, brave comme un lion, doux comme un agneau Q : Comment son adolescence au couvent a-t-elle pu d’après cet extrait, influencer la vie d’Emma ? I. La vieille fille a) Portrait b) Son influence II. Les lectures au couvent a)

l’évêque. Celui-ci le pardonne, parvient même à le défendre et l'engage à faire le bien. Ce que Jean Valjean fait aussitôt. Fantine, une jeune femme enceinte vivant à paris est abandonné par son compagnon. Elle sait qu'elle ne pourra plus nourrir sa fille Cosette, faute d'argent. Elle part pour Montreuil-sur Mer où elle espère trouver du travail. Elle décide cependant de confier Cosette aux Thénardier, un couple d'aubergistes pas très honnête qui accepte de prendre Cosette à leur charge moyennant un

que la jeune fille succombe : elle ne le regarde ainsi pas. En revanche elle « reçut mes politesses sans paraître embarrassée » ce qui signifie qu’elle n’est pas particulièrement troublée par son interlocuteur. Son attitude n’est en fait pas différente de celle qu’elle a adoptée avec le narrateur principal quelques pages avant. Il semble plutôt que la jeune fille, loin de tomber amoureuse, voie les possibilités que l’entichement soudain de des Grieux lui offre afin échapper au couvent. Il n’est ainsi

de ses amis et de sa société. Cependant, il assume les conséquences de ses décisions jusqu’à la fin du roman. Manon Lescaut: Issue d’un milieu modeste, elle incarne l’envie et l’attirance pour les plaisirs matériels. Tout d’abord destinée au couvent en raison de son attirance pour le luxe, elle s’en échappe avec l’aide de Des Grieux. Manon ayant les traits fins et gracieux et étant cultivée et s’exprimant bien, elle a tout de même les caractéristiques d’une certaine noblesse. Par sa marginalité

l'éducation des filles se borne avant tout à un point de vue religieux. On leur apprend les travaux domestiques et le catéchisme pour qu'elles puissent ensuite élever leurs enfants chrétiennement. La religion passe par la femme et se transmet de mère en fille. Très peu de femmes sortent de cette éducation religieuse. De plus les filles en général n’allaient pas à l'école mais celles de familles aisées étaient généralement instruites à la maison. Elles ne devaient pas être inoccupées. Elles étaient évidemment

la route de leur vie métaphores Les nonnes ont décrit négativement les hommes… (virginale : de jeune fille vierge) comme devant les plaies de Jésus comparaison Les souffrances qu’elles endurent semblent pires que celles du Christ. PERDICAN Il y a deux cents femmes dans ton monastère (…) sais-tu qui elles sont ? PERDICAN Adieu, Camille, retourne à ton couvent (…) créé par mon orgueil et mon ennui. “ CAMILLE Vous me faites peur ; la colère vous prend aussi.

décrite par le narrateur au tout début du roman, dans des termes aussi élogieux que ceux de des Grieux. La différence entre les 2 descriptions réside dans le fait que celle que nous donne des Grieux n’est pas seulement une description de la jeune fille, mais également la description d’un « innamoramento » qui permet, par ricochet, de décrire aussi le jeune homme. Nous avons donc une narration à la 1ère pers. (récit dans le récit principal) qui fait que la scène décrite l’est de façon partiale,

de l’argent sur le montant de la dot de sa fille Olympe 1 , privant ainsi celle-ci de la possibilité de faire un bon mariage. Il veut qu’elle devienne religieuse (la dot à verser est moins élevée que lors d’un mariage) . Il envoie une lettre à Émilie, dans laquelle il lui communique la décision qu’il a prise quant à son avenir. La jeune fille vit dans un couvent, car sa bellemère ne la supporte pas. - Chap. 2: Marie-Adèle, la mère du couvent des Visitandines, essaie de calmer Olympe qui