Illusion Romanesque Mme De Bovary

du roman est de savoir mentir » affirme Louis Aragon dans J'abats mon jeu en 1959. V I) L’art du mensonge dans le roman a) La fiction relève de l'illusion b) Le recours à l’imagination c) La nécessité de mentir dans l’art romanesque II) La fiction n’est pourtant pas un mensonge au sens moral b) Elle permet de laisser entrevoir la réalité de façon plus compréhensible c) Le réalisme n’est qu’embellissement d) Le récit fictionnel de personnages, un moyen de mieux

Le roman et le personnage romanesque   I)                   Le roman, genre multiforme et complexe 1-      Définition du mot roman Il s’agit d’une œuvre narrative de fiction en prose relativement longue qui crée un monde et donne vie à des personnages imaginaires, les fait évoluer et donne l’illusion de la vie. 2-      La diversité du roman Il s’est développé librement, en dehors de toute règle. Le roman historique est fortement ancré dans la réalité historique plus ou moins fidèle. Le roman picaresque

 Pañeda  Sempere.  LMCC   INDEX 1.Introduction 2. Premier Romantisme -René (Chateaubriand) 3. Deuxième Romantisme -Le père Goriot (Balzac) -Le Rouge et le Noir (Stendhal) 4. Troisième Romantisme -La parnasse 5. Le réalisme objetif -Madame Bovary (Flaubert) 6. Naturalisme 7. Supernaturalisme 8. Symbolisme français 9. Modernité poétique 10. Bibliographie 1 «Il est impossible de réduire à l´unité tout ce que recouvre en France le mot romantisme». Que pensez-vous de cette affirmation

série des Maigret =>s'interdisent de prendre pr objets grpes sociaux dont ils ne peuvent pas ê le témoin Maupassant écrira dans la préface de Pierre et Jean que «  l'écrivain de talent n'a d'autre mission que de reproduire fidèlement cette illusion avc tous les procédés d'art qu'il a appris et dont il doit disposer ». Transition : « lieu stratégique » car un « regard » s'adresse à une autre individualité qu'est le lect., il prend soin de le guider ds ce « monde » inventé par ses soins.

française », « faire concurrence à l’état civil » et écrire « l’histoire […] des moeurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son oeuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors

jusqu’à une individualité plus marquée, dotée au XIXème siècle, par le roman réaliste, de tous les attributs d’une personne réelle. Les personnages sont les « personnes » fictives d’une œuvre littéraire et ils sont aussi le « moteur » de la fiction romanesque ; c’est avec eux que nous pouvons mesurer le degré de vraisemblance et d’authenticité qu’il faut leur accorder. Le romancier se fait alors « peintre » de la vie en esquissant des personnages plus ou moins singuliers ; fidèles ou non à l’image de

le début d’une période autoritaire où la presse est bâillonnée et la morale publique sévèrement surveillée. Le nouveau régime représente les intérêts de la bourgeoisie soucieuse avant tout de progrès économoque. La littérature romantique et ses illusions, se sont écroulées avec la Deuxième République et plusieurs artistes ( comme les parnassiens ou les symbolistes) se détournent de la politique ; d’autres, comme les réalistes, ne renoncent pas à l’analyse du monde contemporain, sans pour cela en

Mme Bovary, une oeuvre realiste ou romantique? Autour de 1850, une nouvelle sensibilité autant littéraire que picturale se dessine : il s’agit du réalisme. Tandis que Murger écrit Les Scènes de la vie de Bohème, que Champfleury donne Monsieur de Boisdhyver, Courbet déclenche un véritable scandale avec son tableau Un enterrement à Ornans parce qu’un chien vient entacher le caractère sacré d’une inhumation. Cette évolution avait été préparée par le positivisme scientiste d’un Auguste Comte qui avait

la maîtresse de maison. Au départ, il n’en est pas vraiment amoureux, mais il veut se prouver à lui-même qu’il pourra être l’amant de la patronne. Si lorsque la pendule sonnera dix heures, s’il n’a pas profité de l’obscurité pour toucher la main de Mme de Rênal, il n’a plus qu’à se brûler la cervelle. L’inachèvement est un aspect qui peut étonner chez Stendhal - Les deux derniers titres : Lucien Leuwen et Lamiel sont de gros romans néanmoins inachevés. Ce qui est encore plus frappant, c’est

texte poétique parvient-il à évoquer la nostalgie de l’auteur ? N. Sarraute, Enfance, « Mon premier chagrin » Quelle est l’originalité de ce texte autobiographique ? Flaubert, Mme Bovary, chap. XIII « Allons, se dit-il... lui parut bonne » Quelles fonctions a cette lettre dans l’intrigue romanesque ? Balzac, les illusions perdues, « la rencontre avec Madame de Bargeton » Analysez le portrait de Madame Bargeton. Laclos, Les liaisons dangereuses Lettre 4, Valmont. Quelles informations cette