Ils s'aiment

lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre

conquit, l’individu est satisfait d’avoir fait tous ces efforts. S’en contenter est largement suffisant pour gouter au bonheur sachant tout ce qu’il a fallut endurer pour y arriver. -Roméo et Juliette, dans l’ouvre éponyme de William Shakespeare, s’aiment d’un amour pur. Cependant, leurs familles se vouent une haine ancestrale. Les obstacles qu’ils vont devoir franchir pour s’avouer leur amour renforceront d’autant plus les sentiments qu’ils éprouvent. Ils se contenteront d’être heureux dans leur

maudit. Il lui dit de se méfier des mouches. Oreste veut quand même tuer la reine. Electre ne le reconnait pas. Electre doute. Elle ne sait plus ce qu’elle veut. Elle finit par jouir de ce double meurtre. Electre est heureuse. Ils se sont retrouvés et s’aiment. Elle a peur des mouches qu’elle voit grossir : ce sont les Erinnyes, déesses du remord. Les gardes les pourchassent, ils vont dans le temple. Oreste dit « mon peuple ». Acte 3 : Les Erinnyes attendent le réveil des deux enfants. Elles ne touchent

l'accumulation des mots montre l'intensité de cette douleur croissante. Cette énumération s'oppose au vers 1229 "Et d'un refus cruel l'insupportable injure", court et tranchant exprimant à la fois la soudaineté et la brutalité de la nouvelle. "Ils s'aiment!" (V1231) Cette exclamation prouve que Phèdre est désorientée, elle prend conscience de cet amour. Une suite d'interrogations courtes s'accumule "Par quel charme ont-ils trompé mes yeux?" (V1231) "Comment se sont-ils vus? Depuis quand? Dans quels

qu'elle et Noah fréquente une femme qui elle aussi est d'une même classe sociale que lui. C'est quand Allie retourne voir son premier amour que les deux réalisent que leur normes sociales ne font pas d'eux des mauvais citoyens. Ils réalisent qu'ils s'aiment peu importe leur classe sociale et que rien ne peut les séparer. C'est alors qu'on peut comprendre que l'amour est bien plus fort que les normes qui nous sont attribuées.Par : Maude Dupuis

-passion -lyrisme -monologue délibératif -stichomythie (vers très court qui montre souvent perso ds la haine) Il n’y a pas des morts ds toutes les tragédies !!! Ds Bérénice de racine : personne ne meurt Résumer : Titus et Bérénice s’aiment. Elle est reine de Palestine, lui fils de l’empereur. Lorsque l’empereur meurt, Titus doit choisir entre l’amour ou le prestige car l’empereur ne peut épouser qu’une italienne. Il choisit le prestige et abandonne Bérénice. Elle meurt intérieurement

d'amour pour elle. Elle l'aime comme une folle, comme une dingue. Il est son roi, son tout, son âme-soeur. Aucune disputes parce qu'ils se complètent. Aucune jalousie parce qu'ils ont confiance. Aucune peur inconnue parce qu'ils se disent tout. Ils s'aiment d'un amour réciproque et sincère. Et le plus beau, c'est que, mutuellement, ils connaissent leur amour. Il sait que même l'univers infini est plus petit que son amour à elle. Elle sait qu'il l'aime sincèrement, de manière passionnée. Ce sont deux

lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre

Amoureux de Chimène. • Elvire : Gouvernante de Chimène. • Léonor : Gouvernante de l'Infante. • Don Arias et Don Alonse : hommes castillans. Le Résume : Don Diègue et le comte de Gomès ont décidé d’unir leurs enfants Rodrigue et Chimène, qui s'aiment. Mais le comte, jaloux de voir que l’on préfère le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, que lui, se laisse emporter par son orgueil et offense Don Diègue en le giflant violemment. Don Diègue, trop vieux pour se venger lui-même

figures, métonymie et métaphore des lèvres fleuries * série de prénoms avec allitération en m et assonance en a et i * Annie et Marie : femmes qu'il a aimées * filles perdues : où êtes-vous...? = la guerre tue la jeunesse et sépare ceux qui s'aiment b) Les camarades * après les femmes ce sont ses amis hommes qu'il aimerait retrouver : « Où sont Raynal Billy Dalize » « Où est Cremnitz » « Où sont-ils... » avec l'anaphore du pronom interrogatif * références à ses contemporains notamment