Im Kwon-taek

03 /01/12 Cinéma Coréen Im kwon –tack Pendant la guerre civile il va au sud dans la ville de Pusan (Busan), une ville portuaire ou il passe la jeunesse et fait ses études. Fait du cinéma. Il est considéré comme un trésor vivant national. Il commence à faire des films de guerre, mais il dénigre ses films-là, il considère qu’il a eu un tournant dans sa vie au début des années 80, il commence à faire des films plus personnels, de guerres, de gangster, mais il donne sa propre vision. Il tourne

1991 -1994 Plusieurs grandes entreprises ont fait des importants investissements pour les films de grand budgetaire mais l'équilibre n'était pas si forte. Les films importés: 400 Les films produits: 96 Le film national : Im Kwon Taek “ SOPYONJE” Avec le film de Taek, Corée du Sud a fait une grande progres dans les festivales . Les grandes entreprises (comme Samsung, Hyundai ) ont investit a l'évolution d'industrie de film. 1997: Les fins des investissements Les entreprises cessent

franco-coréennes, en particulier dans le domaine de l’animation, est une preuve incontestable de la vitalité économique du cinéma sud-coréen depuis bientôt vingt ans. internationale, en Europe et dans les autres pays du continent asiatique. Le vétéran Im Kwon-taek, auteur d’une centaine de films parmi lesquels figurent Mandala (1981) et La Chanteuse de pansori (1995), reçoit en 2002 le prix de la mise en scène au Festival de Cannes pour Ivre de femmes et de peinture. Il est considéré comme le principal représentant

tournages des dramas. La vague coréenne concerne également le domaine du cinéma. À partir de l'année 2000, certains films coréens sont sélectionnés pour être présenté dans des festivals européens prestigieux : « Le chant de la fidèle Chunhyang » de Im Kwon-taek est en compétition à Cannes, « Old Boy » de Park Chan-wook est primé à Cannes, « Samaria » de Kim Ki-duk à Berlin, etc... Avec les nouvelles technologies, en particulier internet, l'appellation « Hallyu 2.0 » est utilisée pour qualifier la mode