Image De La Femme Madame Bovary

l'appartenance à un certain milieu, l'environnement familial, etc. Zola ajoutera à ces éléments la notion d'hérédité. Une caractérisation psychologique est également présente. Chez Balzac, le physique et le caractère sont souvent liés : Madame d'Espard, femme du monde cruelle et intéressée, est ainsi dotée d'un « profil d'aigle ». Caractérisation indirecte du personnage Le héros peut également livrer sa personnalité à travers des éléments « indirects » : ses gestes, ses mimiques, ses actions

qu’il recouvre. A cet effet, le Grand Larousse de la langue française nous offre une définition intéressante « Conception de l’art et de la littérature selon laquelle l’artiste ne doit pas chercher à idéaliser, à modifier le réel ou à en donner une image incomplète.»[footnoteRef:3] Cette définition, bien que simple et vraisemblable, est en effet partielle et peu rigoureuse, car, pour bien des philosophes éminents, dont Aristote et Platon, les œuvres d’art ne pourraient être autre que la reproduction

tradition orale de la poésie. Des formes écrites se développent cependant. Chanson, ballade et rondeau sont les formes qui naissent et se déploient au M-A. Le lyrisme prend une place importante à cette époque ; il est consacré à l’éloge de la femme aimée. On parle alors de poésie courtoise, dont Charles d’Orléans (XV°s) est l’un des représentants.3 Le XVI°s : Le renouvellement de l’écriture poétique. A la Renaissance, la poésie connaît un essor important, sous l’impulsion des poètes

Delacroix de 1823 à sa mort, ne fit publié qu'au XXC siècle et révèle un talent d'écrivain. DESBORDES-VALMORE (Marceline, 1786-1859). Une vie exemplaire de poète maudit et de femme malheureuse, une certaine complaisance dans l'expression de la douleur ont contribué à donner une image un peu mièvre de celle qui fit la plus grande femme-poète du Romantisme et l'un des maîtres du « genre intime». Élégies et Romances, 1819; Pauvres fleurs, 1839 ; Poésies et prières, 1843. DESCHAMPS (Émue, 1791-1871). Ne doit

», ou des déterminants possessifs « ta », « tes » confirme cette lecture. La créolisation du tutoiement et du voussoiement fait hésiter le lecteur : de quelle femme s'agit-il ? d'une « amie » , de l'amante, de la maîtresse (vers 6), c'est-à-dire d'une femme connue intimement, ou bien d'une passante aperçue pour la première fois, d'une femme que l'on vouvoie donc par respect ? A moins que Baudelaire ne s'adresse à toutes les femmes ? L'apostrophe lyrique « Ô Beauté » le laisse supposer. Certes, le

objective (...) Bien entendu, aucun personnage littéraire ne peut contenir la richesse infinie et inépuisable de traits et de réactions que la vie elle-même comporte. Mais la nature de la création artistique consiste précisément dans le fait que cette image relative, incomplète produise l'effet de la vie elle-même, sous une forme encore rehaussée, intensifiée, plus vivante que dans la réalité objective (6). 8 Une telle approche ne se soucie guère des fonctionnements textuels, des ressources dont dispose

abus auxquels son protégé se livrait et qui devaient abréger ses jours, usage de drogue et intempérance sexuelle. En effet, condamnant toute forme d’attachement (il ironisait : « J’ai peur de la plus petite chaîne, qu’elle vienne d’une idée ou d’une femme […] Je suis le mauvais passant. » [lettre à Catulle Mendès, 1876]), il courait infatigablement le cotillon, multipliait les conquêtes, se vantant de les compter par centaines, faisant montre de capacités sexuelles hors du commun. Parmi tant de maîtresses

inventé III Domaine artistique autre que littéraire 1) Les inventions : la photographie et le cinéma, dates, inventeurs, premières œuvres La première photographie est réalisée en 1816 par Claude Niepce. Il réussit à obtenir et à conserver une image due à l’action de la lumière. En 1820, Niepce a placé une plaque d’étain recouverte de bitume dans une chambre noire. Il l’a exposée pendant huit heures face à une fenêtre de sa propriété. On y voit l’image floue d’un bâtiment, d’un arbre et d’une

l'originalité de pouvoir être lu différemment en fonction de son épilogue ou des connaissances que l'on a des motivations qui lui ont donné naissance. Supprimer les dix-huit derniers pieds permet de le lire comme un poème d'amour qui pourrait être dédié à une femme aimée et vivante, que le poète va rejoindre.  L'albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine

Introduction  D epuis  la  nuit  des  temps,  le masque  est  in me‐ ment lié à l’homme. Masque mortuaire, d’appa‐ rat  ou  de  cérémonie,  il  accompagne  l’homme  dans  les  grands  moments  de  sa  vie  avant  d’illustrer  de  manière  magistrale  les  délires  des  carnavals. Mais  qu’est‐ce  qu’un  masque ? Dans son accep on la plus courante, le masque  représente  un  faux  visage  de  carton  peint,  de  ma ère  plas que ou de  ssu, dont une personne  se  couvre  le vi‐ sage  pour  se  déguiser