Image mentale

passage est introductif à deux titres : il introduit les deux dominantes du récit (le roman d’amour, l’écriture de soi) et permet la rencontre lecteur/auteur. Parce qu’il met en scène une image secrète, qu’il donne à voir le visage de l’écrivain et qu’il procède d’une écriture fragmentaire – en relation avec cette image et la restitution des souvenirs –, le prologue met en évidence les enjeux du récit. I)UNE SCÈNE DE RENCONTRE Le récit s’ouvre sur une anecdote rapportée par la narratrice : sa rencontre

Florence est de soixante-sept tout au long de la pièce. Lorenzaccio traite Florence comme lieu et décors, comme société, comme image mentale et idéale mais aussi comme actant et personnage. La ville est d'abord personnifiée comme une mère par Tebaldeo et Lorenzo à l'acte II, scène 2 (Tebaldeo : « J'aime ma mère Florence »), mais aussi par les bannis qui par contre dégrade son image à l'acte I,scène 6 (« adieu, mère stérile, qui n'as plus de lait pour tes enfants »). Lorenzo la définira également comme

socialement élaborée et partagée, ayant une visée pratique et concourant à la construction d’une réalité commune à un ensemble social ». Une représentation est une image qui n’est pas forcément vraie. Ce sont les représentations qui forment les identités au sein d’un groupe. Une représentation sociale passe d’abord par une représenttion mentale qui est mise en commun. Il s’agit de toutes les symboliques inconscientes (pouvant provenir des anciennes civilisations). Une fois élaborées, les représentations

La poésie d’Émile Nelligan fait sans doute référence à sa vie difficile. À l’âge de 19 ans, il est interné après avoir été diagnostiqué comme souffrant de graves problèmes mentaux. Ses poèmes ont souvent des thèmes échappatoires comme la musique, l’enfance, le rêve et l’amour, mais se noircissent avec des thèmes tels que la souffrance ou la mort. Dans plusieurs poèmes de l’écrivain Émile Nelligan, l’idéal semble souvent se changer en désespoir. Les thèmes du cauchemar et de la détresse d’une vie

Sémiologie de l’image Introduction  On assiste à une banalisation du mot image au XXème siècle Crise de la représentation figurée Fonctions de l’image La représentation figurée a posé de nombreux problèmes au cours de l’histoire. L’homme a passé son temps à rejeter ou à admirer l’image. L’image est suspectée de ne pas être fidèle à la réalité Ex : mythe de la caverne de Platon Crise iconoclaste : La querelle des images en 787 (adoration de l’image par les byzantins : l’esprit des dieux

1°_ L’IMAGE Une des plus anciennes définitions de l’image est de Platon dans la République : « J’appelle image d’abord les ombres, ensuite les reflets qu’on voit dans les eaux ou à la surface des corps opaques, polis, brillants et toutes les interprétations de ce genre. » L’image est un objet second par rapport à un autre qu’elle représenterait selon certaines lois particulières propres à chaque types d’images. 2°_ LE SIGNE Le concept de signe est ancien, il désigne quelque chose que l’on

littérature/cinéma : « Psychologie du cinéma » Malraux (article) Définition du bagage culturel par le biais de la mémoire. Phénoménologie de la réception comparée du livre et du film Capacité de fertilisation de l’imaginaire par l’image ⇨ imaginaire contre image Déception souvent ressentie dans l’adaptation d’un livre au cinéma L’image peut tuer l’imaginaire en le limitant, cadrage de l’œuvre littéraire, cinéma peut opérer une sorte de synthèse paradoxale des fragments de l’œuvre ⇨ synthèse contre

dessin par des lignes prenant la forme d’une image visuelle. Il correspond à une réalité psychique existant dans l'esprit de l'enfant. Le modèle interne se construire selon des représentations historiques. Lorsqu’on demande à un enfant de dessiner quelque chose qu’il n’a jamais dessiné ou vu, il se dérobe en disant qu’il ne sait pas dessiner ou en proposant de faire un dessin qu’il sait exécuter. - La synthèse La synthèse consiste à réunir dans une image unique soit l’ensemble, soit des parties de

Image de la femme dans les médias : nocif pour les jeunes filles Posté par Novopress dans General le 30 mars 2009 | Image de la femme dans les médias : nocif pour les jeunes filles Une étude montre que l’image de la femme véhiculée par les médias est nocive pour les jeunes filles Un groupe d’étude de l’American Psychological Association, a étudié les effets nocifs pour les jeunes filles de l’image dégradante de la femme véhiculée par la plupart des médias.
Le rapport dénonce la « sexualisation

montagne. La comparaison avec un terme concret, « montagne », permet une évocation mentale [oui, à développer] qui ne serait pas possible dans le cas d’un terme abstrait envisagé seul, et qui est utilisée ici : le complément initial, « sur ses flancs », précise le lieu de l’action. On ne se trouve pas (encore) au sommet, mais bien sur les parties latérales de la montagne ; ces flancs représentent de manière imagée le chemin que doivent parcourir les « travailleurs », en fait les difficultés qu’ils