Imaginaire Réel Symbolique Lacan

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l’association « Réel Symbolique Imaginaire La Ressource ». Le centre accueille 80 à 120 enfants de 3 à 20 ans chaque jour d’ouverture. 400 enfants de moins de 17 ans sont inscrits dans l’année, auxquels s’ajoute l’accueil des jeunes adultes et des adultes. Le centre allie le côté social et le côté psychanalyse. Le centre Kirikou est une association (loi 1901), ouvert par des psychanalystes entre autre Yasmina Picquart en décembre 1999 par l’association « Réel Symbolique Imaginaire La Ressource »

Articulations cliniques de …o* Comme l’indique le titre de cet exposé, je vais faire usage d’une notion de Lacan, …o (phi zéro), dont j’espère montrer qu’elle est une notion structurale qui permet de repérer et d’organiser, voire de différencier toute une série de phénomènes dans l’abord clinique des psychoses. Il n’est sans doute pas superflu de commencer par un bref rappel des thèses de Lacan sur la psychose au moment où il introduit ce terme de …o, c’est-à-dire dans l’écrit de 1958 « D’une question

ID_REVUE=IMIN&ID_NUMPUBLIE=IMIN_005&ID_ARTICLE=IMIN_005_0053 L’imaginaire selon Lacan : des « repères de la connaissance spéculaire » à la question de la « Reconnaissance » par Michel DEMANGEAT | L’Esprit du Temps | Imaginaire & Inconscient 2002/1 - n° 5 ISSN 1628-9676 | ISBN 2-9130-6290-3 | pages 53 à 66 Pour citer cet article : — Demangeat M., L’imaginaire selon Lacan : des « repères de la connaissance spéculaire » à la question de la « Reconnaissance », Imaginaire & Inconscient 2002/1, n° 5, p. 53-66. Distribution

Thierry Simonelli Le Moi chez Freud et chez Lacan La notion de Moi est sujette à de nombreuses reformulations dans l'œuvre freudienne. J'essayerai de reconstruire, à l'aide des textes de Freud, une brève histoire du mouvement de la conception du Moi, avant d'aborder la conception du Moi, telle que la présuppose la lecture lacanienne de Freud. Je tenterai de montrer le problème auquel se heurte le freudisme de Lacan dans ce contexte et de souligner l'originalité de la pensée lacanienne par rapport

amené par Lacan dans son séminaire RSI : la névrose idéale est la névrose obsessionnelle dont le rapport à la religion universelle est établi depuis Freud et son « Homme aux rats ». L’opérant de l’analyse, Lacan l’aborde par la mise à la question de la religion en tant qu’elle enveloppe la question paternelle. Interroger les statuts imaginaire, symbolique et réel du père va le conduire à la question du Nom, mais plus, à soutenir que la nomination va au-delà de la fonction du symbolique. La théorie

L’auteur : Joël DOR psychanalyste français lacanien (1946-1999) du Centre de Formation et de Recherche Psychanalytique (CFRP) autour de Maud Mannoni. Auteur d'une Introduction à la lecture de Lacan et de L'a-scientificité de la psychanalyse, ainsi que d'études sur les discours délirants. Docteur en psychanalyse. Membre du Centre de formation et de recherches psychanalytiques. Enseignant-chercheur à l'Université Paris VII. Directeur de la revue "Esquisses psychanalytiques". Livre 1 :

qu'un, comme le formule Freud dans l'interprétation des rêves, en en imputant la découverte à Breuer.[5] Du voir à l'entendre Freud, donc, substitue une heuristique de l'entendre à une heuristique du voir. : "Là où ça souffre, ça parle.", dira Lacan. En voici, parmi d'autres, un exemple, rapporté dans Les études sur l'hystérie[6], avec cette patiente, Elisabeth von R., envoyée à Freud par un ami médecin et pour qui se pose la question d'un diagnostic différentiel entre hystérie et affection organique

sert le mythe « L'objet imaginaire de la castration, c'est bien entendu, le phallus. La mère symbolique devient réelle en tant qu'elle se manifeste dans son refus d'amour. L'objet de la satisfaction, le sein par exemple, devient lui-même symbolique de la frustration, refus d'objet d'amour. Le trou réel de la privation est justement une chose qui n'existe pas. Le réel étant plein de par sa nature, il faut, pour faire un trou dans le réel, y introduire un objet symbolique. » 250 « se glisser en

comme analyste ? Il a toute chance, de nos jours, d’être une femme », écrivait l’an dernier Jacques-Alain Miller dans le Journal des Journées n°55, ajoutant : « Et aussi bien, peu importe, puisque c’est la position analytique comme telle qui, selon Lacan, obéit au régime du pas-tout, à l’opposé de la conception freudienne, qui fait du Nom-du-Père le support et la boussole de l’analyste. »1 Moins encombrées du phallus, les femmes seraient plus « adaptées» à notre monde contemporain, prêtes à ne pas