Impact Du Secteur Informel Sur La Croissance

notre attention Ralph Valery VALIÈRE et Markenta DESTIN Centre de Techniques de Planification et d’Économie Appliquée Juillet 2012 1 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………….3 CHAPITRE I LA THÉORIE DE LA CROISSANCE DE ROSTOW…………………………………………………….5 La société traditionnelle…………………………………………………………………………6 Haïti ou société traditionnelle………………………………………..………………………7 Les conditions préalables au démarrage…………………………………………………8 Haïti dans la phase de conditions préalables

Pierre-Richard, MONTIEL Peter : Pierre«Development macroeconomics » Princeton University Press 1996 AGLIETTA Michel : « Macroéconomie financière » La Découverte 1995 BERTHELEMY Jean Claude, VAROUDAKIS Aristomède : « Politiques de développement financier et croissance » OCDE 1996 BODIE Z., MERTON R. « Finance » Pearson Éducation 2007 LLAU Pierre : « Economie financière publique » PUF 1996 de Mourgues Michelle : « La monnaie. Systèmes financier et théorie monétaire » Economica SCIALOM Laurence : « Economie

rglementations. Le secteur informel tait ds lors bien n et nattendait que de croitre. Avec les indpendances, les pays africains comme le Sngal, ne fit pas disparaitre le secteur informel dans le quel volue les micros entreprises artisanales en particuliers les tailleurs dhabillements mais, lui fit garder une place secondaire car cette priode correspondait politiquement a lre de lEtat-providence qui battait son plein. En effet, jusquau dbut des annes 80, lEtat Sngalais occupait presque tous les secteurs conomiques

fort en Afrique subsaharienne avec 5-6% par an. A ce rythme, les équipements urbains ne peuvent pas suivre, l’extension spatiale qui va de paire avec cette croissance pose de multiple problème notamment en ce qui concerne le logement. Le solde migratoire se ralenti par ailleurs ce qui ne signifie pas qu’il n’y a plus de mobilité. Cette croissance démographique est sans rapport des capacités de production des villes. En Afrique subsaharienne, (Ghana, Sénégal, Côte-d’Ivoire par exemple), Les plus grandes

permis au secteur de la BCC de mieux se positionner sur le marché national. Les entreprises les plus structurées ont élevé leur compétitivité à des niveaux internationaux par des investissements industriels lourds, le recrutement de cadres qualifiés, la mise en place de procédures de gestion modernes et une démarche commerciale proactive centrée sur la satisfaction des attentes de la clientèle nationale et internationale. Ces actions ont permis de redonner un peu de souffle à un secteur qui menaçait

dépenses publiques globales et pour le secteur de l’éducation . . . . Perspectives possibles pour les années à venir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 2 : Analyse des scolarisations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La structure globale du secteur éducation/formation et les statistiques disponibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La structure du secteur éducation/formation . . . . . . . . . .

cybersécurité 3 2. Le développement de talents 3 3. L’amélioration du climat des affaires 4 4. L’accès au financement 4 II. LES ATOUTS DE L’EXPANSION DE LA FINTECH EN AFRIQUE 5 A. L’inclusion financière 5 B. Désintermédiation 5 C. Accélération de la croissance économique 5 III. LES LIMITES DE L’EXPANSION DE LA FINTECH 6 A. Sécurisation des données 6 B. Education financière 6 C. Le manque de compétences managériales et de soutien 6 INTRODUCTIONLa FinTech est une abréviation combinant les termes Financial

: premières difficultés : usine RENAULT, usine SALCI, usine SAUPIQUET 1990 : crises 1994 : dévaluation du CFA, qui entraîne un léger redressement économique 2000 : coup d’état …. Début des difficultés économiques 2002, 26.000 entreprises dans le secteur privée avec 550.000 emplois, 2006 : 13.124 entreprises pour moins de 300.000 emplois, soit une perte de 44% sur quatre ans et la disparition de 250.000 emplois. Le premier employeur reste l’État avec 100.000 fonctionnaires et agents permanents. Pour

d’anticiper les évolutions de son environnement de déceler les nouvelles tendances, l’apparition de nouveaux produits). Détecter les opportunités et les menace en liens avec la concurrence (la veille permet de voir si le marché et en croissance ou s’il est menacé par de nouveau entrant). Surveiller sa notoriété (la veille permet de repérer des évolutions au niveau de la notoriété, de l’image, de l’enseigne mais aussi des individus qui la compose. Préparer

terre de Johannesburg en 2002) afin de promouvoir et favoriser la prise en compte du développement durable dans la commande publique.„ En 2009, 72% des acheteurs corporatifs indiquaient que leur organisation avait implanté une politique formelle ou informelle d’achats verts. Il s’agit,, malgré un contexte économique difficile, d malgré un contexte économique difficile, d’une hausse de 9% par rapport à 2008 hausse de 9% par rapport à 2008 83% des entreprises prévoient accroître leurs achats verts dans