Impôt local

Jusqu'à l'année 1954 cette matière s'intitulait législation financière. C'est une matière qui relève du droit public mais qui a des loin étroit avec d'autres matières notamment le droit constitutionnel, les parlements étant nés du droit de lever des impôts. Le budget de l'État, la loi de finance est votée par le parlement mais le débat est un débat essentiel. Il y avait avant deux sessions parlementaire dont l'une était quasiment réservé au débat sur la loi des finances. Aujourd'hui les débats durent

présenté en annexe de la loi de finances * présentation administrative de la loi de finances  : budget général, budgets annexes, comptes spéciaux du Trésor (dont les comptes d’avance permettant à l’Etat de verser aux collectivités locales le produit de leurs impôts) * présentation fonctionnelle : crédits regroupés par grandes fonctions (éducation et culture, transports et communications) * présentation pluriannuelle * les comptes de la nation figurent en annexe du projet

prélèvements obligatoires désignent l’ensemble des versements effectués par les agents économiques (ménages, entreprises…) au profit des administrations publiques. On distingue parmi les prélèvements obligatoires les impôts (affectés au budget de l’Etat et aux collectivités locales) et plus récemment les cotisations sociales (qui concernent les organismes sociaux officiels.) Ces versements sont certes obligatoires pour la majorité de la population mais comment peut on en fixer les limites ?Comment

primaire au revenu disponible. Les agents économiques versent à l’Etat, aux organismes sociaux et aux collectivités locales, une part de leur revenu primaire sous forme d’impôts et de cotisations = prélèvements obligatoires. Ces sommes sont ensuite redistribuées sous forme de prestations appelées revenus de transferts et de services gratuits. Revenu disponible : revenu primaire – impôts et cotisations sociales + prestations sociales. Le revenu disponible des ménages est consacré à la consommation

définirons tout d’abord ce qu’est la fraude fiscale, pour voir ensuite les sanctions et enfin les moyens d’éviter la fraude. I. Définition de la fraude fiscale En droit français, la fraude fiscale est définie par l'article 1741 du code général des impôts qui dispose : « Quiconque s'est frauduleusement soustrait ou tenté de se soustraire frauduleusement à l'établissement ou au paiement total ou partiel de l'impôt ; soit qu'il ait volontairement omis de faire sa déclaration dans les délais prescrits ;

raison de leurs facultés. Le but de l’impôt est d’assurer la couverture des dépenses publiques. A titre indicatif, en France, son montant avoisine les 350 milliards d’€ soit plus d’un quart du PIB. La Direction Générale des Impôts propose la définition suivante : «Les impôts sont des prestations pécuniaires mises à la charge des personnes physiques et morales en fonction de leurs capacités contributives et sans contrepartie déterminée, en vue de la couverture des dépenses publiques et de la réalisation

de la politique fiscale 1. Objectifs 2. Enjeux 3. Politique fiscale au Maroc 1. Instruments de la politique fiscale 2. Réforme de la politique fiscale Conclusion INTRODUCTION Les choix concernant les impôts, les taxes et tous les autres modes de prélèvement des fonds publics occupent une place privilégiée parmi les décisions difficiles que doivent prendre les gouvernements. A la question de taxer ou de ne pas taxer tel ou tel groupe de citoyens, tel

paradis fiscaux ne perçoivent pas d'impôt ou à des taux plus bas que celui qui aurait été payé par le bénéficiaire, s’il était resté dans son pays d'origine. Certains pays sont considérés comme n'ayant aucune taxe, même s'ils perçoivent certains impôts, par exemple, sur des salaires dans les Caraïbes. Certains pays ne perçoivent pas de taxe sur les revenus ayant une origine étrangère (Costa Rica ou Paraguay). L’absence de taxation des revenus peut être expliquée par plusieurs raisons : * Cela

théoriquement se présenter aux guichets de la banque de France et obtenir la contrepartie en or des billets qu’il possède ; Le budget de l’Etat doit être équilibré, les ressources de l’Etat, c'est-à-dire les impôts doivent de façon équilibrer les dépenses de l’Etat. L’impôt est dit un impôt de répartition, l’Etat fixe les recettes par rapport aux dépenses qu’il a préalablement déterminé, le produit de l’impôt est ensuite réparti dans le pays entre les différents contribuables. Les finances moderne

ou à produire des services non marchands à partir de ressources provenant des PO. ● Budget : état prévisionnel et contrôlé des recettes et des dépenses, généralement relatif à une année. C’est aussi une autorisation de dépenser et de prélever les impôts existants. ● LF : le budget est arrêté par le gouvernement dans une LF ;c’est la loi qui détermine pour un exercice, le montant, la nature et l’affectation des ressources et des charges de l’état, ainsi que l’équilibre budgétaire et financier qui