Imre Nagy

dans un cadre très strict. b) L’espoir d’un changement politique, provoqué par la déstalinisation engagée par Khrouchtchev en février 1956 : en octobre 1956, un soulèvement hongrois contre les dirigeants staliniens conduit au pouvoir le réformateur Imre Nagy, qui annonce le retrait du pacte de Varsovie et l’autorisation du multipartisme dans son pays. Mais ce mouvement, jugé trop radical, est violemment écrasé par les chars soviétiques. [Transition] La construction du mur de Berlin en août 1961 révèle

démocraties populaires que l’heure est venue de se libérer du fardeau soviétique, des voix s’élèvent, même en URSS, pour plus de liberté, libération des innocents, En Hongrie, étudiants et intellectuels, veulent que les staliniens soient juger et que IMRE NAGY leur ancien premier ministre soit de nouveau au pouvoir. --> Le 4 novembre 1956, les chars soviétiques entrent dans Budapest et avec beaucoup de violence tente de reprendre le contrôle. b) La crise de Suez(1956) c)Les crises cubaines

communiste : réconciliation avec Tito et réhabilitation de la Yougoslavie, certaine liberté de parole et dissolution du Kominform en 1956, reconnaissance théorique de formes différentes de développement socialiste. Mais affaire hongroise en 1956 : Imre Nagy a voulu aller trop loin dans la libéralisation en retirant son pays du pacte de Varsovie → répression. Nouvelle tactique : plus de « bras de fer » mais séduction des nouveaux pays indépendants qui doivent s’inspirer du modèle soviétique : industrie

Pologne qui vont se terminer en émeute. Or au pouvoir, il va y avoir un nouveau dirigeant du parti communiste, Imre Nagy, qui veut lui aussi faire une voix socialiste de type hongroise. Cette voix socialiste est différente de celle de la Pologne. En effet, Nagy veut des élections libres, ce qui signifie pour lui qu’il y ait le principe le principe de multipartisme (démocratie libérale). De plus, Nagy veut sortie du pacte de Varsovie est devenir neutre comme l’Autriche et la Suisse et là, Khroutchev ne peut

de démilitarisation de l'Europe de l'Est sont signés, les troupes soviétiques se retirent. En République populaire de Hongrie, le parti au pouvoir, sous l'impulsion de Myklos Nemeth, accepte le principe du multipartisme dès février 1989. En juin, Imre Nagy et les protagonistes de l'insurrection de Budapest en octobre 1956 sont réhabilités. En République populaire de Pologne, le syndicat libre Solidarność est à nouveau autorisé en avril 1989. En juin, le mouvement remporte la victoire aux élections

la prudence, la coexistence pacifique étant alors marquée par le voyage de Khrouchtchev en Amérique, et par le début de relations commerciales entre URSS et États- Unis. Cette détente est néanmoins fragile : l’insurrection hongroise menée par Imre Nagy entraîne notamment l’intervention très ferme de Moscou. Il se produit en réalité encore quelques crises, qui soulignent à quel point il est difficile de distinguer nettement une phase de Guerre froide active et une phase de détente. À l’été 1961

* En revanche, en Hongrie, le Président du conseil Imre Nagy est débordé par un mouvement anti communiste et anti soviétique (agitation des étudiants et des intellectuels). Il annonce, le 1er novembre 1956, le retour au multipartisme et la neutralité de la Hongrie et son retrait du pacte de Varsovie ce qui entraîne, le 4 novembre, l’intervention immédiate de l’Armée rouge pour écraser le mouvement (25 000 morts du côté des insurgés). Nagy, emprisonné en Roumanie, est condamné à mort après une

chute du mur de Berlin et disparition des démocraties populaires - 1991 : dissolution du Pacte de Varsovie Les personnages sur lesquels il faut être capable d’écrire un cours paragraphe : (biographies en fin de manuel) - Alexandre Dubcek - Imre Nagy - Lech Walesa - Tito Les mots de vocabulaire qu’il faut savoir définir : - démocratie populaire : notion centrale. Il faut aussi savoir les situer sur une carte et en connaître la liste. - COMECON - Titisme - Rideau de fer - Modèle

(1882-1990) fera de la Yougoslavie un Etat indépendant du bloc soviétique, notamment parce que Staline refusait son modèle de socialisme fondé sur l’autogestion plutôt que la propriété collective d’Etat. Les communistes hongrois, sous la direction de Imre Nagy, et les communistes tchèques, sous la direction d’Alexandre Dubcek, tenteront sans succès, en l956 et l968, d’instaurer un modèle socialiste plus libéral que celui de l’URSS. L’Albanie de Enver Hoxha (1908-1985) et la Chine de Mao Tsé-toung (1893-1976)

en grève et la répression de la grève par l’armée soviétique et la police est-allemande a tourné à l’émeute, faisant des dizaines de morts. En octobre 1956 en Hongrie, dans le contexte de la révélation des crimes staliniens par Khrouchtchev, Imre Nagy, un dirigeant communiste qui voulait faire des réformes démocratiques est écarté du pouvoir sous la pression soviétique. Pour le soutenir la population de Budapest se soulève. Les Soviétiques envahissent alors Budapest avec leurs chars et écrasent