In utero

gravité. Elle s’opère par diverses techniques médicales. La plus ancienne est l’insémination artificielle (la première aurait eu lieu en 1804 …), le donneur pouvant être le mari ou un tiers. La seconde technique principale est la FIVETE (Fécondation In Vitro Et Transfert d’Embryon) : la fécondation se fait dans l’éprouvette puis l’embryon est réimplanté dans l’utérus de la mère. Ainsi, en 1978 naît Louise Brown, premier bébé conçu par fivète au Royaume-Uni grâce aux travaux du biologiste Robert Edwards

Le 26 juillet 1978, dans la banlieue de Manchester, en Angleterre, naissait Louise BROWN, le premier enfant conçu hors du corps de sa mère. Elle est la première personne à avoir bénéficié de la fécondation in vitro (FIV). Cette technique a été inventée en 1959 et n'avait été appliquée jusque-là qu'aux lapins. En France, le premier bébé éprouvette est né en 1982. Il s'appelle Amandine. Aujourd'hui, 500 000 enfants sont nés par FIV (dont 30 000 en France), mais il ne faut pas se fier à ce nombre

prénatal, le diagnostic pré-implantatoire, en abrégé DPI, et le double diagnostic pré-implantatoire, en abrégé double DPI, aussi appelé « bébé médicament ». Le diagnostic prénatal (DPN) désigne l’ensemble des examens accomplis en vue de détecter in utero chez l’embryon ou le fœtus une affection d’une particulière gravité (Code de la Santé publique, en abrégé CSP, art. L. 2131-1, al. 1er). Les techniques sont diverses : échographie (sonde placée sur le ventre de la mère), embryoscopie (système optique

consiste en l’utilisation  d’un endoscope afin d’observer directement l’embryon. L’endoscope est un petit tube souple formé de fibres optiques, qui permet au médecin de voir à distance. * Le diagnostic préimplantatoire (DPI). On réalise une fécondation in vitro, puis on prélève une cellule de l’embryon pour détecter d’éventuelles maladies génétiques. Ainsi on ne réimplante dans l’utérus que les embryons sains. Ce diagnostic est proposé uniquement pour les familles qui sont porteuses de maladies graves

La stimulation ovarienne par un traitement hormonal adapté, est pratiquée en cas de dysfonctionnement de l’ovaire et dans les protocoles de fécondation in vitro et d’insémination artificielle. L’insémination in-vitro cette technique est utilisée depuis 1978, Louise Brown en Grande Bretagne fut le premier bébé éprouvette. Pour l’insémination in-vitro il faut : • La stimulation ovarienne • Le prélèvement folliculaire • Le prélèvement des spermatozoïdes Le sperme est généralement recueilli par

EL-BORDJ |El-Walidayn | |Centre de Fertilité et de Fécondation In-Vitro |Centre de Fertilité et de Fécondation In-Vitro | |01, Boulevard front de mer - 113 rue du 5 juillet 1962 |Dr Amarouche Djelloul, Gynécologue Obstétricien-

contre la fécondation in-vitro ? Cette technique est de plus en plus utilisée, elle rend certaines personnes heureuses et fait aussi progresser la science ! Qui est-elle ? La fécondation in-vitro bien sûr ! Sujet dont nous allons peser le pour et le contre. La fécondation in-vitro (FIV) présente bien évidemment quelques inconvénients comme toute chose existant dans ce monde. Tout d’abord, ce traitement a provoqué des anomalies chez ma tante, qui a du utiliser la fécondation in-vitro pour avoir

La fécondation in-vitro En quoi le protocole pour avoir recours à une fécondation in-vitro peut-elle avoir des conséquences sur le couple ? [pic] Le Pennec Virginie Quinio Justine Richomme Laura 2012-2013 TST2S1 Introduction : Depuis le premier bébé né de la fécondation in-vitro, en 1978, le nombre de couples ayant recours à cette aide médicale ne cesse d’augmenter. C’est pour cela que la législation et les techniques évoluent

semaines. À l’issue de cette période, tous les organes seront présents en miniature mais bien différenciés. À la période embryonnaire, succédera la période fœtale qui est une période de croissance et qui s’étend du deuxième mois au neuvième mois in utero. La cellule souche primitive est capable de se diviser, de s’auto renouveler et de se différencier (donc de donner naissance à des cellules spécialisées). Les cellules souches sont caractérisées par des stades de maturation différents : elles

devrait permettre de soigner l’un d’entre eux dont il est donneur compatible. A cet effet, le sang de son cordon ombilical a été prélevé dès sa naissance afin d’envisager ultérieurement une greffe chez ce frère aîné. Ce bébé est né par fécondation in vitro après un double diagnostic préimplantatoire permettant le choix des embryons. Un double test qui a permis de s’assurer d’une part que l’enfant était indemne de la maladie et d’autre part qu’il pouvait être donneur compatible avec son frère aîné