Incipit Gobseck

passant par la Restauration, jusqu’au règne de Charles X. Balzac nous présente la France à travers les yeux de Derville. En effet, le personnage de Derville apparaît dans de nombreux romans de La Comédie humaine : il joue un rôle important dans Gobseck (1830), César Birotteau (1837), Une ténébreuse affaire (1841), Le Père Goriot (1835), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1844) mais est aussi au centre du Colonel Chabert. Derville dans tous les romans de Balzac joue toujours le rôle d’un

Fiche de lecture : «Gosbseck» de Balzac L'auteur : L'auteur du livre « Gobseck » est Honoré de Balzac. Le livre est publié en 1830, année où l'auteur va avoir trente et un ans. Balzac avant de publier Gobseck a écrit différentes oeuvres littéraires dans différents genres mais ils n'ont eu aucun succès, il a aussi tenté des entreprises commerciales qui ont échouées, il est donc endetté. Pour régler ses dettes, il va être obligé d'écrire sans cesse . L'année 1829 Balzac publie un premier

cadette du père Goriot, femme du baron de Nucingen depuis 1808. Delphine est, au début de l'histoire, la maitresse de Marsay. Delphine a besoin d’argent (le banquier ne lui donne que le strict nécessaire) et fait payer à son père ses dettes chez Gobseck, un usurier. Devenue la maîtresse d'Eugène de Rastignac, elle s'installe avec lui dans un petit appartement aménagé aux frais de Goriot. Ce dernier pense finir ses jours à leurs cotés mais cela ne se passera pas comme ca. En effet, Delphine cherche

Fiche de lecture : «Gosbseck» de Balzac L'auteur : L'auteur du livre « Gobseck » est Honoré de Balzac. Le livre est publié en 1830, année où l'auteur va avoir trente et un ans. Balzac avant de publier Gobseck a écrit différentes oeuvres littéraires dans différents genres mais ils n'ont eu aucun succès, il a aussi tenté des entreprises commerciales qui ont échouées, il est donc endetté. Pour régler ses dettes, il va être obligé d'écrire sans cesse . L'année 1829 Balzac publie un premier

maitresse de Marsay .Ce riche banquier ne lui donne que le strict nécessaire. C’est pourquoi Delphine est toujours à la recherche d’argent .Elle vient arracher à son père les derniers économies du vieillard pour payer la dette contractées par elle chez gobseck. Devenue la maitresse d’Eugene De Rastignac, elle s’installe avec lui dans un appartement aménagé par le père Goriot qui pense finir ses jours au cotes des deux tourtereaux. Les espoirs du vieillard seront déçus. Delphine est tout entière occupée

est aussi l’avoué de la femme de Chabert, ce qui explique son insistance à éviter un procès et à proposer une transaction. Il acquiert dans Gobseck une grande réputation par la manière dont il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu. C’est aussi l’avoué du père Goriot et l’exécuteur testamentaire de Jean-Esther van Gobseck pour sa nièce Esther Gobseck dans Splendeurs et misères des courtisanes.

droit fasciné par la haute société parisienne et qui rêve d’y accéder par n’importe quel moyen; Vautrin, un mystérieux personnage et ancien forçat ; Bianchon médecin et ami de Rastignac ; Henri de Marsay, l’amant de Delphine de Nucingen ; Jean-Esther van Gobseck un usurier et Maître Derville, l’avocat du père Goriot. Citations voir roman (p 68-153-319) 


jusqu’à la mort de son fils (ce dernier mourra lors d’un duel avec le colonel Franchessini arrangé par Vautrin pour que le père reconnaisse enfin sa fille car n’ayant plus de descendance). - Madame Couture : tutrice de Victorine, sa pupille. - Gobseck : usurier (Goriot y dépose des chèques pour ses filles) - Vautrin : alias Trompe-la-mort, de vrai nom Jacques Collin. Rêve de mener une vie patriarcale avec des esclaves aux USA (p.168). C’est un ancien forçat, chef de pègre, qui, après avoir fui

 Commentaire Gobseck Gobseck est une nouvelle d’Honoré de Balzac publiée en 1830. dans l'extrait que nous etudions, nous avons la description physique de l'usurier et de son quotidien que le narrateur connais bien puisqu'il est le voisin de Gobseck. Entrer dans son quotidien, son environnement a travers les yeux du narrateur interne, son voisin Maître Derville, qui raconte la vie de celui ci, pour faire changer d'avis Madame de Grandlieu sur le comte de Restaud. A l'epoque

comme au sermon n'osant même pas croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude ». On voit qu'il est mal à l'aise et qu'il ne se sent pas à sa place même ses camarades rient de lui « Toute la classe se mit à rire ». On peut donc conclure que cet incipit est moqueur, mais il va même plus loin, il explique les échecs de toute la vie de Charles Bovary.