Inconvénients Du Pib

pubc (impôts+cotisations sociales) / PIB x 100 • Tx de dépense pubc = Dépense adm pubc/PIB x 100 ▪ Financer par impôts ou emprunts • Tx de déficit pubc (recettes-dépense publ) = Déficit publ / PIB x 100 ▪ Recettes publ = jeux, péages, timbres fiscaux amendes ▪ Ce ratio ne doit pas être > 3% • Tx de dette publ = Dette publ / PIB x 100 ▪ Ce ratio ne doit pas être > 60% • Tx de déficit budgétaire = Déficit budgétaire / PIB x 100 • Tx d’épargne = épargne / PIB x 100 ▪ Tx épargne ménage fr très

largement supérieure à la dépense initiale. L’investissement crée donc un supplément de demande et donc de production. Cet effet direct de l’investissement sur la croissance peut être constaté dans le document 4 : les quatre années où le taux croissance du PIB est supérieur à 1%, la variation de la Formation Brute de Capital Fixe (indicateur de l’investissement matériel des entreprises) est positive. Le document 3 montre également qu’en moyenne annuelle de 1995 à 2000, les dépenses d’investissement Titre

supérieure à la dépense initiale. L’investissement crée donc un supplément de demande et donc de production. Cet effet direct de l’investissement sur la croissance peut être constaté dans le document 4 : les quatre années où le taux croissance du PIB est supérieur à 1%, la variation de la Formation Brute de Capital Fixe (indicateur de l’investissement matériel des entreprises) est positive. Le document 3 montre également qu’en moyenne annuelle de 1995 à 2000, les dépenses d’investissement Entrée

2007, ces 3 pays représentent à eux seul 51.3 % du PIB de l'Union européene, soit 8 587,73 Md$ sur 16 747,83. A cela viennent s'ajouter d'autres puissances tel que : * L'Italie, 7e puissance du monde - 4e européenne. (2008) * L'Espagne, 8 ou 9e puissance du monde - 5e européenne (2008) Ces 5 puissances sont les moteurs de l'union avec 72.4% des richesses de celle ci. Paris et Londres, respectivement 5e et 6e villes mondiales selon leur PIB de respectivement 460 et 452 Md$, sont les seules

Bachkirs 1,2% Principales confessions religieuses : orthodoxes pratiquants 15-20%, musulmans pratiquants 10-15%, autres confessions chrétiennes : 2% Données économiques 1 € = 39.02 RUB Revenues moyens par tête: 11 041 $ ==> 8.371,34 EUR PIB (2009) : 1 240 Mds USD (prévision pour 2010 : 1 488 Mds USD) Taux de croissance (2009) : -7,9% (prévision pour 2010 : +4,3%) Taux de chômage au sens du BIT (2009) : 8,4% (prévision pour 2010 : 7,8%) Taux d’inflation (2009) : 8,8% (prévision pour

passé, on a déjà la majorité des poids définis. A partir du mois de mai, une bonne partie des chiffres est sure. 2- Calcul de l’acquis de croissance C’est le taux de croissance 2013 en faisant l’hypothèse qu’à partir d’aujourd’hui, le niveau du PIB est figé On applique alors les formules précédentes en faisant l’hypothèse que les taux de croissances suivant valent 0% Si on a des taux de croissance négatifs, le taux de croissance final sera plus bas que 0,5% (valeur de l’acquis de croissance)

principalement en recherchant la croissance et en limitant l’inflation et le chômage. A) Une politique monétaire unique, conduite de manière indépendante par la BCE dans la zone euro1- La politique monétaire : principes et moyens d’actionROUGE: inconvénients BLEU: avantages Politique monétaire : politique économique qui consiste à utiliser les instruments monétaires (taux d'intérêt directeur...) pour influer sur la conjoncture économique, c'est à dire l'activité économique à court terme

services, des capitaux. Conditions du marché: Libre circulation des marchandises, des ventes des capitaux. 2) Les indicateurs de mesure du CM: a- Le PIB mondial: ∑ des PIB des espaces économiques nationaux (ou tout simplement PAYS PUTAIN, PAYS). b- Le taux d'ouverture: ((Export+Import/2)/(PIB)) x 100 c) Le coefficient d'ouverture: Export/PIB x100 d) Le taux de pénétration: Import/marché intérieur x100 3) Les aspects de la mondialisation des économies: a) 1er aspect: intensification des échanges

l’activité économique. Une politique de relance a des effets positifs sur l’activité économique, elle permet d’atteindre au mieux deux des quatre objectifs du carré magique ; avoir le taux de croissance du PIB le plus fort et avoir le taux de chômage le plus faible. I. A. Un taux de croissance du PIB en augmentation. Lors d’une période de crise, la question de relancer l’activité économique se pose. En effet quelles mesures le gouvernement peut-il mettre en place pour relancer au mieux l’activité

Coûts, avantages et inconvénients des différents moyens de paiement Décembre 2005 Rapport présenté par Guy QUADEN, Gouverneur de la Banque nationale de Belgique, Président du Conseil de surveillance de l’Autorité des services financiers © Banque nationale de Belgique Tous droits réservés. La reproduction partielle ou intégrale de cette publication à des fins éducatives et non commerciales est autorisée moyennant mention de la source. TABLE DES MATIÈRES Table des matières AVANT-PROPOS