Indignation

croirait ! Pour qui Delly prends il ses lecteurs ? Pour qui, Monsieur les prenez vous également pour oser publier ces romans a l’eau de rose qui ne font rêver que les midinettes, en supposant que les midinettes lisent !! Je vous fais part de mon indignation, de mon mépris pour ce choix regrettable, pour votre irrespect a l’égard de ceux qui vous étaient fidèles depuis si longtemps. Pour en avoir discuter avec d’autres lecteurs, je pense, en toute humilité me faire le porte parole d’une condamnation

II. Il fait un constat alarmant et montre son indignation. A. Il décrit la misère commeintolérable ▪ Le discours se sépare en 2 mouvements. Les 3 premiers para constituent l’accusation des députés et le constat de la misère. Dans le 2ème mouv : Victor Hugo veut faire réagirl’auditoire, ▪ par les remarques sur l’état de la France ligne 4 ▪ l’antithèse « crimes envers Dieu » ligne 5-6 montre l’insistance d’Hugo. B. il montre son indignation par l’opposition entreles députés et le peuple

son héroïne, la Folie, qui s’amuse de son action sur les esprits humains. Cependant , ici, on a l’impression, au fil du texte, que même la Folie est dépassée par l’ampleur des malversations de l’esprit humain. L’ironie se change subtilement en indignation. a) D’abord un ton moqueur. Au premier abord, les adeptes des fariboles superstitieuses sont présentés comme des esprits enfantins, avides d’histoires (« ils n’ont jamais assez de telles fables … et mille autres merveilles de ce genre… »).

Souligne opposition et effets négatifs que européens ont sur tahitiens Verbes d’altération : « nuire » / « effacer » / « allumer » III. Débat philosophique 1. Indignation, polémique Discours direct : apostrophe « Et toi, chef des brigands » (l1) questions rhétoriques (l25) exclamations -> indignation 2e personne du sing impératifs « écarte » (l2) / « laisse-nous » (l30) 2. Argumentation contre le colonialisme Répond au tutoiement par « nous » -> groupe, s’attaque au colonialisme

quelques âmes éclairées. L’on peut également penser qu´à la manière de la réalité, divisé entre « quelques intellectuels » et « une masse de fous », la littérature s’adresserait aussi à quelques lecteurs peu nombreux, mais à même de comprendre cette indignation. Or, ces derniers seraient ceux qui on le moins besoin de la dénonciation de la littérature. Au contraire la littérature nous parle de nous même. II. La littérature entre puissances et impuissance La dénonciation comme la conçoit la littérature

la même façon qu’il avait dénoncé les violences de l’Inquisition, notamment dans Candide, Voltaire s’attaque à une pratique habituelle dans les procès, l’utilisation systématique de la torture. Avec ironie qui laisse passer la profondeur de son indignation, il fait le tour du problème pour en dénoncer l’horreur, la banalisation et les pseudo justifications historiques. Le texte évolue en plusieurs paragraphes qui abordent le thème par des « angles » diversifiés. C’est un moyen efficace de souligner

fait un constat alarmant et montre son indignation. A. Il décrit la misère comme intolérable ▪ Le discours se sépare en 2 mouvements. Les 3 premiers para constituent l’accusation des députés et le constat de la misère. Dans le 2ème mouv : Victor Hugo veut faire réagir l’auditoire, ▪ par les remarques sur l’état de la France ligne 4 ▪ l’antithèse « crimes envers Dieu » ligne 5-6 montre l’insistance d’Hugo. B. il montre son indignation par l’opposition entre les députés et

le père Madelaine, et ne se plaignait pas" (l-20 à 21). De même pour l'extrait La vie devant soi, "C'était une vraie source de vie quotidienne, avec tous ces soucis et les peines, l'admirait Momo" (l-3 à 4). En dernier lieux on remarque une indignation des narrateurs face aux modes de vie de leur héroïnes. C'est le cas pour Les misérables, "Dix sept heures de travailles, et neuf sous par jour!, s'indignait le narrateur" (l-24 à 25). De même pour l'extrait de Romain Gary ou le narrateur nous dit:

plus frappante, et la dénonciation du la guerre provoquant le massacre de toute une jeunesse encore plus efficace. Pour renforcer leur argumentation Les deux poètes utilisent la répétition. En effet, Victor Hugo et Arthur Rimbaud expriment leur indignation pour ces morts injustes et violentes par des parallélismes syntaxiques : « Assez de visions funèbres dans la brume ! Assez de doigts hideux, montrant le sang qui fume » écrit Victor Hugo dans « L’Échafaud ». Quant à Arthur Rimbaud, il crée un effet

Il fait un constat alarmant et montre son indignation.   A. Il décrit la misère comme intolérable   Le discours se sépare en 2 mouvements. Les 3 premiers para constituent l’accusation des députés et le constat de la misère. Dans le 2ème mouv : Victor Hugo veut faire réagir l’auditoire, par les remarques sur l’état de la France ligne 4 l’antithèse « crimes envers Dieu » ligne 5-6 montre l’insistance d’Hugo.     B. il montre son indignation par l’opposition entre les députés et le