Indignation

évidence la misère. Plus tard, cette intention devient encore plus claire car il dit à quel point rien ne peut justifier la pratique d’une telle pratique. Après il fait une énumération « qui viole la religion, la morale, les lois… ». Il montre son indignation tout au long du texte, particulièrement remarquable dans des phrases comme « Si un commerce de ce genre peut être justifié », dans ce cas l’auteur le met comme une proposition hypothétique il refuse même de le montrer comme une réalité. Il utilise

que les hommes « indigènes » sont plus ou moins transformé en esclaves, qu’on leur a ôté leur dignité. L’auteur met également en avant les contraintes et souffrances infligées aux colonisés, il utilise l’énumération pour montrer sa colère, son indignation ; « la corvée », « l’intimidation », « la pression », « la police », « l’impôt », « le vol », « le viol », « le mépris », « la méfiance », « la suffisance », « la muflerie »...  Césaire emploie des termes de même sonorité, ce qui impose une certaine

l'épaule »ainsi que par se actes avec «le chassant rudement» et «le poussa». De plus nous constatons son indignation quant au fait que son fils soit un intellectuel: «rien n'était plus antipathique au vieux Sorel » nous dit le narrateur en faisant référence a la lecture de Julien, « cette manie de lecture lui était odieuse » ainsi que l’appellation « tes maudits livres» appuient cette indignation . En outre, nous remarquons un refus de la religion, en effet, il propose à Julien de lire ses livres

Montaigne exprime, en tant qu’humaniste, son intérêt pour ces peuples et leur consacre 2 chapitres : le chapitre « Des cannibales » dans le livre I et le chapitre « Des coches » dans le livreII.Dans le livre des coches Chapitre 6 il exprime son indignation. Dans ce chapitre, qui commence par des considérations sur les Amérindiens Montaigne nous livre aussi ses idées sur la cinétose (mal de mer), et sur l’usage des coches, grand bateau usité pour le transport des voyageurs. Ce chapitre vaut à Montaigne

fait un constat alarmant et montre son indignation. A. Il décrit la misère comme intolérable Le discours se sépare en 2 mouvements. Les 3 premiers para constituent l’accusation des députés et le constat de la misère. Dans le 2ème mouv : Victor Hugo veut faire réagir l’auditoire, par les remarques sur l’état de la France ligne 4 l’antithèse « crimes envers Dieu » ligne 5-6 montre l’insistance d’Hugo. B. il montre son indignation par l’opposition entre les députés et

affirmation d’où découlent les différents tons (effroi et incrédulité contre le raisonnement posé). • Poularde entame le dialogue par une interrogation puis enchaine avec une exclamation, qui montre son indignation. • (l.2) « prétendre » montre un détachement de la part du chapon. • Chaque indignation de la poularde marque une nouvelle interrogation ou scandale (émotion). • Le chapon répond toujours de manière posée et très structurée contrairement à la poularde. B) La différence entre les animaux

est le contraire des noirs, c’est un homme qui jamais pourrait être comparé aux noirs : « car pour le Blancs de colonies, je ne vous fais pas l’injure de les comparer à vous ». 2- Un réquisitoire et un plaidoyer polémiques Condorcet exprime son indignation, et veut susciter celle de ses lecteurs sur les agissements des esclavagistes et l’injustice faite aux esclaves, et les qualités qu’il attribue aux esclaves et dénie aux esclavagistes montrent que son épître constitue un plaidoyer en faveur des

« retournez » à l’impératif. De plus elle exprime son indignation à travers l’usage de phrases non verbales interrogatives, comme : « et pourquoi ? » ou « quoi ? ». Face à la frustration et au désarroi qu’éprouve Bérénice, l’empereur Titus cherche à se justifier. Il est la proie d’une passion dévorante pour Bérénice, comme le montrent les termes : « soupirs » et « désirs » mis en valeur a la rime. Il montre sa surprise et son indignation dans la phrase exclamative : «Moi, que je vous haïsse 

ont cambriolée » vers 5-6 ; « quand mon Afrique qu'ils ont cambriolée » vers 10 ; « autant que mon Afrique qu'ils ont cambriolée » vers 30 qui est une critique du colonialisme. - Plus de personnalisation ou réification des esclaves en objets. Indignation de Damas -« Se peut-il donc qu’ils osent me traiter de blanchi ? » 1-2 Donc : Conjonction de coordination qui renforce la colère de Damas. Osent : Verbe prouvant la témérité ou bien même l’insolence. Traiter : Suppose que c’est une injure. Blanchi :

l’alexandrin. Le thème général de ce poème est l’évocation d’un souvenir personnel marqué par l’expérience de la gloire. Au cours de cette étude nous allons voir dans un premier temps l’itinéraire du poète, de la gloire à la déception, sa colère et son indignation, et dans un second temps, la portée générale avec la métaphore de la condition humaine. Nous étudierons, dans ce poème, quelle est la portée universelle de l’expérience individuelle. Pendant l’étude de ce poème, nous allons tout d’abord démontrer