Indignation

connotée « ces malheureux », qui trouvera un écho avec l’utilisation de « ces infortunés », dont l’effet est amplifié par l’usage de déterminants démonstratifs qui semblent nous donner à voir la misère de ces esclaves. Dès la seconde phrase, cette indignation devient explicite, l’auteur souligne à quel point rien ne peut justifier la pratique d’une telle barbarie puisqu’elle va à l’encontre de notre culture comme de notre nature, comme le montre l’énumération suivante : « qui viole la religion, la morale

rencontre du ngre Contraste et changement de ton Le paragraphe prcdent sachevait sur le mot flicit. Les hros rvaient de bonheur. Ils ne sattendent pas trouver sur leur chemin un homme dans un tat aussi dplorable. Pathtique, sensibilit motion et indignation. La description du ngre est sobre( pathtique. Situation dhumiliation il est tendu par terre. Son dnuement est traduit par ladverbe ngatif neque. Lauteur ne sapitoie pas mais constate les infirmits il manquait ce pauvre homme la jambe gauche et

chercher. Il donne comme exemple, l'écart existant entre les pauvres et les riches qui n'a jamais été aussi grand. • Mon indignation à propos de la Palestine: La principale indignation de S. Hessel aujourd'hui est la bande de Gaza. Dans ce chapitre il nous conte son voyage à la bande de Gaza avec sa femme, et les raisons pour lesquelles c'est sa principale indignation. • La non-violence, le chemin que nous devons apprendre à suivre: Dans ce chapitre l'auteur cite Sartre, qui avait expliqué

Contraste et changement de ton Le paragraphe précédent s’achevait sur le mot « félicité ». Les héros rêvaient de bonheur. Ils ne s’attendent pas à trouver sur leur chemin un homme dans un état aussi déplorable. Pathétique, sensibilité + émotion et indignation. La description du nègre est sobre  pathétique. Situation d’humiliation : il est « étendu par terre ». Son dénuement est traduit par l’adverbe négatif « ne…que ». L’auteur ne s’apitoie pas mais constate les infirmités : « il manquait à ce pauvre

pardonne quand même). Cette tirade polémique & oratoire prend donc un tour critique, ironique, agressif, mais vise également à frapper le public par un discours vif & dialogué. 3 Grands Axes :- Une vive indignation - Polémique & Oratoire- La double énonciation UNE VIVE INDIGNATION : - Un lexique très contrasté - | Champ lexical de violence, de l'abus de pouvoir | ''méprisent'', ''maltraitent'', ''fiers'' | Champ lexical de l'humiliation associé aux maîtres | ''pauvres

désespoir du Roi. J'y prends plaisir. A peine on eut ouï la chose, Qu'on se mit à crier : Miracle, apothéose ! Le Cerf eut un présent, bien loin d'être puni. Amusez les Rois par des songes, Flattez-les, payez-les d'agréables mensonges, Quelque indignation dont leur coeur soit rempli, Ils goberont l'appât, vous serez leur ami. Jean de La Fontaine - Les Fables Les obsèques de la lionne Lecture méthodique linéaire Les axes étudiés ici sont la satire et l'art du fabuliste Ici la

réquisitoire contre ses contemporains Au nom de sa vision humaniste, Montaigne ne peut que réprimer l’attitude des conquistadors. L’anecdote dont il se sert lui permet sans autre commentaire de justifier son point de vue. Il veut faire partager son indignation et use ainsi de procédés argumentatifs forts. a- Une anecdote significative Nous l’avons vu précédemment, la confrontation physique entre ces deux peuples tourne au désavantage des espagnols. L’échange de parole entre les deux camps fondée sur la

paru dans Poésies (1891). C’est un sonnet, c’est-à-dire construit de deux quatrains et de deux tercets, genre de poème qui se développe en Italie pendant la Renaissance. C’est un poème engagé dans lequel Rimbaud dénonce la guerre et exprime son indignation devant les horreurs de la guerre, précisément celle de la France contre la Prusse en 1870. Cependant, ce n’est pas un sonnet explicite et présente donc une argumentation indirecte. problématiques * En quoi ce poème propose-t-il une relecture

je n'y peux rien je me débrouille. En vous comportant ainsi, vous perdez l'une des composantes essentielles qui fait l'humain. » L’indignation donc pour lui serait une composante indispensable, où l'engagement ne serait que la conséquence d'une indignation. Il évoque alors ce qui l'indigne lui : cad le conflit entre Palestine, la Bande de Gaza et la Cisjordanie, la présidence de Bush, le 11 Septembre et la déclaration de guerre à l'Irak. Il déplore cependant la relation d’indignation et de violence :

lui demandant s’il a pu se distraire en donnant la question. Cette cruauté mène à l’indignation que l’auteur a face à la torture. Albert Camus, Michel de Montaigne et Voltaire se monte contre ceux qui pratiquent la torture et montrant leur indignation. En effet, nous avons vu que la torture était quelque chose d’anodin comme dans le texte de Voltaire où la citation de la comédie des Plaideurs « cela fait toujours passer une heure ou deux » (ligne 13). Mais cette citation peut aussi choquer