Industrialisation Des Littoraux

nouvel ordre répond à la volonté des peuples européens d’en finir avec les guerres de religion dévastatrices, et à leur aspiration à la prospérité économique d’autant que l’Europe connait une forte période de croissance du commerce et de proto-industrialisation. Il en découle le principe défini par Hume(1752) de : « balance of power ». Des puissances multiples, considérées dans leurs rapports mutuels, tenteront de conjuguer leurs forces pour empêcher que l’une d’entre elles impose aux autres son hégémonie

des stés paysannes locales via l’éco. Phénomène : l’ampleur des migrations intérieures et surtout internationales qui créaient véritables stés cosmopolites. Espace qui résulte de l’exploitation de la sté coloniale : ville notamment portuaire + littoral. Avant : ville du pvr mais le reste sans doutes avec colo mais devient ville multiculturelle et visualisation de la sté coloniale en elle-même. Les grandes prods majeurs qui apparaissent : capitaux occs qui investissent dans ces régions et capitaux

grand pôle financier grâce notamment au poids de sa bourse. New York est donc un pôle majeur de l’économie américaine et fonctionne comme une interface avec le reste du monde. Les facteurs explicatifs de cette puissance sont tout d’abord sa position littorale et l’excellence de son port. Cela a permis à New York d’être pendant tout le XIXe siècle le principal point d’arrivée aux États-Unis des migrants venus d’Europe. Le développement industriel a été favorisé par les gisements de charbon des Appalaches

colportage ● phénomène d’entraînement ● solidarité communautaire ● maladie ● difficultés du travail ● manque de motivation ● nostalgie ● pays d’origine : enrichissement, modernisation Conséquences ACTIVITÉS ● ● pays d’accueil : industrialisation, diffusion de la mode européenne HISTOIRE DES ARTS p. 24-25 Doc. 2 La statue de la Liberté 1. À l’origine de l’œuvre, il n’y a pas seulement Bartholdi, mais aussi le comité d’Édouard Lefebvre de Laboulaye dans le contexte de la célébration

2000–2004 (sont surlignées les priorités des communes qui coïncident avec celles des communautés locales) Redistribution et utilisation de la redevance forestière Province de l’Est Province du Sud Province du Centre Province du Sud-ouest Province du Littoral Province de l’Ouest Total Sorties (dépenses) (%) Investissements dans les domaines suivants: Routes Infrastructures de santé, d’éducation et de marché La commune (bâtiments, logements des représentants, transport, fonctionnement et gestion) Autres

place d’une organisation nationale des économies qui suscite des flux importants canalisés par des réseaux structurés (réseau ferré en étoile centré sur Paris) et une qualité des équipements et des infrastructures (industries lourdes glissant vers le littoral). La part des données naturelles décline alors que l’efficacité du travail des hommes gagne en importance. L’essentiel n’est pas d’avoir des ressources mais que les autres en aient (négoce, délocalisation d’usine). La maîtrise des flux est devenue

Elle est comparable à celle du Japon (4,1 tep) mais nettement inférieure à la consommation d’énergie par habitant aux Etats-Unis (7,8 tep). Cette consommation, il faut le préciser, reflète notamment le développement économique et le degré d ‘industrialisation d’un pays, mais aussi son climat. Défi de la mondialisation A- les Français acceptent l'économie globale de marché comme un fait. B- la France mène des politiques combinées pour tirer le meilleur parti de cette mondialisation. Elle s'adapte,

l’Amérique du Nord et le Japon et cette solide reprise s’explique par l’amélioration de l’activité industrielle dans ces pays et la poursuite des investissements dans les pays en développement émergents sous l’effet de crédits de relance et d’une industrialisation rapide. Les principales zones de chargement pour la bauxite ont été l’Afrique, les Amériques, l’Asie et l’Australie, pays qui a également été un très gros exportateur d’alumine, sa part représentant environ la moitié des exportations mondiales

Ben Barka 57. Concrètement, cela signifiait un véritable bouleversement d’un édifice social traditionnel dans lequel prédominaient les solidarités verticales : instauration d’un parti de masse, alphabétisation des masses, réformes agraires, industrialisation rapide, etc. Ces velléités « transformatrices » ne s’inscrivent certainement pas dans la logique de pouvoir qui est celle de la monarchie ; cette dernière, surtout dès le règne de Hassan II, veillera à préserver ses immenses prérogatives en

alUNIVERSITE DU LITTORAL COTE D’OPALE Master 1 “Economie et Gestion de l’Environnement et du D´ veloppement Durable” e Gestion de Projets Daniel DE WOLF Dunkerque, Janvier 2007 Table des mati` res e I Techniques de gestion de projets 1 Introduction 1.1 1.2 1.3 Objectifs du cours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Plan du cours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.1 1.3.2 1.3.3 1.3.4 1.4 2 7 9 9 9 D´ finition de la gestion de projets . . .