Inegalités Enseignement Boudon

millions de la population en France. On a 6,6 millions qui sont des écoliers (maternelle et primaire) 3,3 millions sont des collégiens, 2,2 millions sont des lycéens dont 1/3 en Lycée Professionnel, parmi tous ces gens là, 80% en enseignement public et 20% en enseignement privé. On a donc 2,2 millions d’étudiants dont 1,4 en Université. - Pourquoi 2 fois plus d’écoliers que de collégiens ? Car il y a plus d’année en primaire (maternelle+ primaire = 8ans) qu’au collège (4ans) Aujourd’hui on a 250 000

parlementaires ont acceptés non sans difficultés. (1880 - 1883) Principes de cette école (primaire) : école gratuite car obligatoire laïcité : neutralité religieuse. École respecte toutes les croyances et les mets sur un pied d'égalité et exclue enseignement religieux car religion appartient à la sphère privée. Combat difficile. Il a fallu accepter que des écoles privées se créent et qu'elles aient un caractère religieux. (souvent catholiques) Maintenant il faut former les enseignants qui ont

forme de l’école qu’ils vont mettre en place. Ils vont transformer l’école primaire en service publique. Et cela en quelques étapes (nommé loi J. FERRY) : gratuité (16 juin 1881) Obligation 28 mars 1882 impose au chef de famille d’apporter un enseignement à ses enfants de 7/13 ans, sauf si l’enfant obtient son certificat d’étude avant. Laïcité des programmes le 28 mars 1882 ce qui signifie qu’il n’y a plus de catéchisme à l’école publique. Laïcité des personnels, loi GOBLET le 30 octobre 1886

Bibliographie Plan du cours Notes de cours Syllabus Le cours veut offrir une présentation raisonnée du paradigme actionniste, de ses précurseurs (Condorcet, Mill, Halévy, Piaget) à ses représentants actuels, en mettant l’accent sur les travaux de R. Boudon. Le cours suit une présentation analytique des principes qui fondent ce paradigme. 1° Le principe de rationalité sera exposé en suivant l’évolution de la théorie du choix rationnel à la rationalité limitée et de celle-ci à la rationalité cognitive

institutions : l’école de tous les français, gratuite, laïque et obligatoire, garante des valeurs universelles et humaniste dont l'État républicain se réclame. L’un de ces principes est l’égal accès de tous à l’éducation et à l’instruction par delà les inégalités sociales et les convictions particulière des uns et des autres. L’école est un lieu apportant stabilité et équilibre à l’intérieur duquel les enfants vont pouvoir appréhender et expérimenter les nombreuses transformations physiques, intellectuelles

avoir un enseignement privé peut-être meilleur que celui public. Quant au fils de patron, il pourra rater ses études et obtenir, malgré cela, un poste dans l'entreprise de son père. Même si de nos jours, grâce aux bourses, l'effet direct du capital économique n'est pas trop important. Son rôle est surtout indirect. De longues études ne permettent pas de gagner de l'argent tôt comme le fait l'acquisition du BEP ou du CAP. Les choix d'orientation dépendent des contraintes familiales (Raymond Boudon) : chaquele

responsabilité de l’Ecole dans la reproduction des inégalités sociales, et ce en faisant appel à la réflexion du sociologue français Pierre Bourdieu sur l’Ecole. Et enfin, nous verrons l’émergence de nouvelles formes de l’Ecole tel que les internats d’excellence, à l’exemple de celui de Tersac. I/ Aux origines de l’Ecole : Fondée au XIXème siècle par Jules Ferry, l’Ecole de la République est définie comme « une institution chargée de donner un enseignement collectif général aux enfants d’âge scolaire

plusieurs niveaux. Tout d’abord, la culture n’est pas neutre, elle ne fait que refléter la distribution des pouvoirs dans la société (Bernstein). Deuxièmement, la démocratisation scolaire n’a fait qu’apparaître une école renforçant les inégalités sociales (Boudon). Enfin, l’école ressemble plus à un appareil de contrôle qu’à un système rendant les sujets plus autonomes (G. Vincent). A ces critiques, un contre-modèle se basant sur la théorie de la reproduction s’est construit (Bourdieu et Passeron)

INÉGALITÉS SCOLAIRES AU SUD : TRANSFORMATION ET REPRODUCTION Nolwen Henaff et Marie-France Lange Presses de Sciences Po | Autrepart 2011/3 - N° 59 pages 3 à 18 ISSN 1278-3986 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-autrepart-2011-3-page-3.htm Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 92.140.45.32 - 26/01/2012 12h16. © Presses de Sciences

Faut-il lutter contre les inégalités ? DOCMUENT 1 Dans l’analyse traditionnelle des liens entre protection sociale, inégalités et croissance, trois éléments saillants ressortent : la dimension du coût de la protection sociale, l’impact négatif de la protection sociale sur la croissance, l’inefficacité de la protection sociale à réduire les inégalités. Ces effets présumés négatifs posent la question de l’efficacité de la protection sociale. Antoine Parent, in Inégalités économiques, Rapport du