Ines

des deux autres. Ils n’ont aucun moyen d’y échapper et ils vont sans cesse se demander ce que pense les autres d’eux : de leur apparence, de leurs actes ou encore de leurs paroles. Inès, Garcin et Estelle vont devoir se faire confiance sans se connaître et se référer à l’honnêteté (ou aux mensonges) des autres. …«Inès : Je te vois, moi. Toute entière. Pose-moi des questions. Aucun miroir ne sera plus fidèle.»… On peut aussi remarquer que dans cette pièce, malgré l’impression que les personnages

choisies, ce qui justifie son existence qui, sinon, serait absurde. Dans sa pièce de théâtre en un acte et cinq scènes, Huis Clos, parue en 1944, Jean-Paul Sartre pose les bases de l’existentialisme. Il nous présente ainsi trois personnages, Garcin, Inès et Estelle, que leurs actes ont conduits en enfer. Dans la scène 5, depuis le moment où Garcin dit : « Je vous dis qu’ils ouvriront », jusqu’à la fin de la scène et de la pièce, nous verrons comment Jean-Paul Sartre condamne ses personnages à l’enfer

Ce drame se joue autour de trois personnes, Garcin, Estelle et Inès. Ils sont ensemble en enfer pour constater, qu'ils vont se disputer jusqu'à l'éternité. 1. Scène Garcin, accompagné d'un garçon entre dans un salon style Second Empire. Garcin se renseigner sur des choses comme les pals (instruments de torture) et des articles de toilettes, mais le garçon se

frappe sur la porte maintes fois, mais personne ne répond. Quand il va se rasseoir, la porte s’ouvre et Inès, une jeune femme, rentre avec le garçon. SCENE 3 Inès Serrano s’avance. Elle demande à Garcin où se trouve Florence mais Garcin ne le sait pas. Inès prend Garcin pour un bourreau de l’enfer. Celui-ci lui décline son indentité : « Joseph Garcin, publiciste et homme de lettre. » Inès se présente sèchement. Garcin lui montre l’absence de glace, la porte verrouillée, et propose de « conserver

Scène 2 : Soudain, Garcin se retrouve enfermé dans la pièce. Il sonne mais la sonnette ne marche pas. La porte ne s'ouvre pas non plus. Il appelle alors le garçon et celui-ci rentre dans la pièce accompagné d'Inès. Scène 3 : Le garçon sort et Inès et Garcin se présentent. Celle-ci le traite de bourreau car elle trouve qu'il a peur. Puis Garcin décide de conserver entres eux une extrême politesse mais cela ne fonctionne pas très bien. Tous deux sont nerveux et veulent savoir ce qui les attend

Résumé de la pièce Huit-Clos de Jean-Paul SARTRE Trois personnages se retrouvent à leur mort dans une même pièce. Il s'agit de Garcin, journaliste, Inès, employée des Postes et Estelle, une riche mondaine. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni les mêmes goûts. Dans cette pièce débute alors un procès à huis clos où chacun des trois personnages juge et est jugé sur les actes qui composent son existence. Jean-Paul Sartre nous décrit

la vue et ne pourra plus écrire. Résumé : Après leur mort, trois êtres se retrouvent dans une même pièce. Celle-ci se situe dans un Salon Bourgeois, meublé du Second Empire. Ces trois personnages sont Garcin, journaliste pacifiste, Inès, qui se considère comme une femme damnée à cause de son homosexualité et pour finir, Estelle, pauvre orpheline devenue une riche mondaine en se mariant avec un vieillard. Au commencement de la pièce, le Garcon d’étage conduit Joseph Garcin dans

1.3 Scène 3 1.4 Scène 4 2 Personnages 2.1 Inès Serrano 2.2 Joseph Garcin 2.3 Estelle Rigault 2.4 Le garçon d'étage 3 Extraits 3.1 Scène 5, page 30 4 Style 5 Thèmes 6 Philosophie 7 Distribution de la représentation de 1944, au Théâtre du Vieux-Colombier 8 Adaptation cinématographique 9 Notes et Références Résumé[modifier] Trois personnages se retrouvent à leur mort dans une même pièce. Il s'agit de Garcin, journaliste, Inès, employée des Postes et Estelle, une riche mondaine

personnages semblent tout au long de la scène connaître des détails nécessaires à sa compréhension. Scène II Garcin se retrouve seul et appelle vainement le garçon. Scène III Inès entre. Confuse, elle demande à Garcin où est Florence. Garcin lui explique qu'il ne connaît pas Florence et qu'ils sont "logés à la même enseigne". Inès prend Garcin pour son bourreau[1]. Celui-ci sursaute, rit, puis nie cette accusation et tente un dialogue et des règles de vie comme la politesse. Réponses froides et brutales

puisse me regarder. (…) Je me voyais comme les gens me voyaient. » Puis elle se reconnait dans les yeux d’Inès et se rend compte que les yeux des autres sont le miroir ci nécessaire. Inès lui dit : « Aucun miroir ne sera plus fidèle. (…) Hein ? Si le miroir se mettait à mentir ? (…) » En plus, Inès connaît la mine d’un bourreau – vivant encore sur la terre, elle s’est regardée dans la glace (scène 3). Un homme, contrairement à un objet non-vivant, a conscience de son existence