Inflation cosmique

II_ Evolution des inégalités et pauvretés en France 1) Les inégalités et la pauvreté en France Les inégalités en France, ne sont plus les mêmes qu’auparavant, il n’existe plus d’inégalités politiques en France. Elles sont aujourd’hui basées principalement sur des inégalités de revenus et de patrimoine. Parfois, il existe des inégalités de pouvoir avec l’influence médiatique qui influe sur les pensées. Des inégalités de devoirs sont aussi visibles avec l’exemple des grévistes de la SNCF ou

continue de présenter une croissance depuis le début des années 1990. Il est probable que nous ne connaîtrons pas de récession avant plusieurs années puisque la Banque du Canada ayant instauré une fourchette pour permettre de garder un taux d’ inflation acceptable, cet outil nous permet de garder un bon contrôle sur l’économie et ainsi de nous prévaloir de fluctuation qui pourrait avoir une incidence désastreuse comme au début des annes 1980. Ce qui pourrait possiblement engendrer de grands changement

permanente de l’offre de monnaie d’un pays provoque une dépréciation proportionnelle à long terme de sa monnaie par rapport aux devises étrangères. Une diminution permanente de l’offre de monnaie provoque une appréciation de la devise. 14 Inflation et dynamique du taux de change Hypothèse standard: à court terme les prix sont rigides, à long terme ils sont parfaitement flexibles Une augmentation de l’offre de monnaie crée une pression immédiate sur les prix et les coûts qui peut provoquer des

se situe entre les deux taux. En effet, le taux de change inter bancaire surévalue la monnaie nationale tandis que le taux de parallèle la sous-évalue. Le fait qu’un taux de change puisse être surévalué, lorsqu’un pays connait une inflation beaucoup plus rapide que ses partenaires, souligne combien le concept « taux de change d’équilibre » a trait non au taux de change nominal, mais plutôt au taux de change réel. Il représente donc le taux ajusté à l’inflation locale et est capable

TABLEAU DE RECHERCHE N° de document | Sources | Requêtes effectuées | Adresse de la source | Jugement | 1 | BCDI | Baisse des prixEt hausse des ventes | http://0720017c.esidoc.fr/search.php?action=Record&id=MF_MF08060514311083_2008&num=1&total=1 | - | 2 | BCDI | Baisse des prix | http://0720017c.esidoc.fr/search.php?action=Record&id=MF_MF09050611281091_2009&num=1&total=98 | - | 3 | Google | Fixation du prix Et conséquencesEt augmentation des ventes | http://marketing

LA MICROECONOMIE L’analyse microéconomique découle de la théorie classique qui précise que tout agent est un être rationnel => capable de faire la préférence, de calculer les conséquences de ses actes, de maximiser son profit, son degré de satisfaction, en fonction de l’utilité que lui procure le bien => on cherchera à savoir comment il va maximiser son profit. Il faudra que l’acteur trouve un équilibre, son équilibre, avec celui du marché => équilibre consommateur/producteur. I/

relever ? INTRODUCTION : Le carré magique de Kaldor est un instrument précieux qui permet aux économistes d’apprécier la situation dans laquelle se trouve un pays économiquement parlant. Son carré est constitué de deux « couples » : croissance/inflation et emploi/équilibre extérieur. Chaque membre de ces couples ne peut se réaliser sans entraver le développement de l’autre dans l’économie réelle. En théorie c’est un carré, en pratique c’est autre chose. Le sujet nous invite à déterminer les points

Le taux de croissance annuel moyen : TCAM - TD Term’ES- Définition : le TCAM est un outil qui permet de calculer le rythme moyen d’évolution d’une variable au cours d’une période donnée. C’est une moyenne ( qu’on appelle géométrique) des différents taux de croissance sur la période. Il donne donc une tendance, un « résumé » des fluctuations du phénomène observé. Il a, en outre, le grand avantage de permettre la comparaison entre des périodes d’amplitude différente, ce que ne permettent pas

la vente de voitures ») et des coûts environnementaux. Il s’en suit une hausse des prix, donc du taux d’inflation, donc une baisse de la rentabilité. Il s’en suit des faillites, donc du chômage. Ce nouveau phénomène est la stagflation (chômage + inflation), généralement accompagné d’une croissance faible, ou pire : d’une dépression. A la différence des 30 glorieuses où ce furent les ménages qui furent privilégiés (80% du PIB), 20% des richesses payées sont désormais au profit des entreprises (donc

déséquilibre universel en ce sens qu’il a touché tous les types d’économies nationales (économie de marché/économies socialistes ou planifiées, pays industriels ou pays en développement). C’est un déséquilibre qui paraît permanent. Si le terme inflation est relativement récent, le phénomène est lui-même ancien. Lorsqu’on observe des périodes de baisse du NGP, nous sommes face à un phénomène de déflation. Il s’agit cependant d’une définition restrictive de la déflation qui désigne généralement