Inflation Et Anticipation

publique excessive. Ils ont donc intérêt à créer une inflation généralisée qui, même si elle entraîne une hausse des taux d’intérêt sur les nouveaux emprunts, dévalorisera d’autant le stock de dette existant. Cette hausse, elle-même, incitera donc les entreprises à distribuer moins de dividendes et à autofinancer davantage leurs investissements. Selon l’approche keynésienne, l’investissement dépendra de la demande et surtout des anticipations que peuvent faire les entreprises sur celles ci. Rien

dans l’économie. Le salaire réel obtenu diffère de celui de l’anticipation à chaque fois que l’on se trompe dans les anticipations. Si Pe < P, alors WP < w. le salaire réel est inférieur à ce que les entreprises attendaient, elles vont embaucher. Variation de la demande de travail, hausse de la production. * La demande de travail dépend de l’écart entre les anticipations du niveau général des prix et le niveau général des prix constaté. Y = Ŷ + α (P – Pe) avec α>0. Relation croissante

joue aucun rôle essentiel dans le système économique , les produits s’échangent par eux même , toutefois , l’équation quantitative de la monnaie permet d’affirmer que toute augmentation de la masse monétaire se traduirait par une hausse des prix (inflation) . Rompant avec l’analyse classique, qui ne considérait que deux des trois fonctions de la monnaie (Intermédiaire des échanges, unité de compte, mais pas la fonction réserve de valeur), Keynes réintroduit un motif de demande de monnaie qui traduit

économique  la politique monétaire ne porte donc pas sur le taux de crédits. B)La NEC : la neutralisation à priori Si la monnaie est neutre à long terme pour Friedman, la NEC considère qu’elle doit aussi l’être à court terme : en vertu des anticipations rationnelles, ils considèrent que les ménages intègrent préventivement l’inflation dans leur calcul, ce qui annule de fait les effets des politiques monétaires conjoncturelles Il vaut donc mieux obtenir la stabilité permanente des prix, grâce

l'emprunt coute plus qu'il ne rapporte aux entreprise qui ont alors intérêt à se désendetter. Le rôle des banques s'est accru, mais la croissance du crédit se traduit par une forte augmentation de la monnaie en circulation, et donc par une inflation importante. Inflation et ralentissement des investissements (et surtout de l'autofinancement) marquent donc les limites de l'économie d'endettement. 2/ Le retour à une économie de marché financiers A/ la mise en place de nouvelle conditions économiques

monnaie unique a apporté la garantie de taux d’intérêts faibles grâce à sa stabilité. Celle-ci a permis la mise en place d’un environnement de stabilité des prix au sein de la zone euro modérant les prix et les salaires. Il en ressort que les anticipations d’inflations sont limitées et stables ce qui se traduit par de faibles taux d’intérêts de marchés. L’euro apporte aussi une transparence des prix et un commerce facilité entre les états membres. Chacun peut effectuer ses paiements avec la même

L’idée est que la variation du change est déterminée par le différentiel entre le taux d’inflation interne et le taux d’inflation à l’étranger. Deux cas peuvent être distingués :  Une inflation nationale supérieure à l’inflation étrangère doit déprécier le taux de change national. 5  Une inflation nationale inférieure à l’inflation étrangère doit apprécier le taux de change national. 4- Indice Big Mac L’indice de Big mac est un indice élaboré en 1989 par le célèbre magazine des traders

l’Angleterre souhaite des réparations moins lourdes. Le traité de Versailles juin 1919 prévoit des réparations très lourdes.  Keynes dénonce : les conséquences économique de la paix 1919. Instabilité des mouvements de K : pour sortir de l’hyper inflation allemande, la BC allemande crée le Reichsmark en 1924 + Ti très élevé entraine des mouvements de K important en provenance des USA qui se place à court terme vers l’Allemagne  facteur de la diffusion de la crise de 29 au n° mondial. *L’impossible

des prix. Ainsi, pendant la période qui s’étale entre 99 et 2002, l’objectif de la BCE était d’avoir une inflation entre 0 et 2%. Mais il convient de noter que ni l’inflation ni la déflation ne serait compatible avec la stabilité des prix. En effet, l’inflation tout comme la déflation entraîne des distorsions du système des prix qui fausse les décisions économiques. Ainsi, des anticipations à la hausse des prix conduiraient à préférer le présent au futur et de dépenser avant que les prix n’augmentent

déséquilibres économiques ? • Mais il ne fait souvent que les reporter et peut même les accentuer • Trop d’inflation et d’endettement sont, à terme, un facteur de crise, car cela nuis aux – équilibres extérieures – à la confiance et conduit à des anticipations pessimiste – L’endettement se retourne, et les charges financières peuvent pénaliser la demande Economie monétaire et financière Les phénomènes monétaires peuvent ils jouer sur les déséquilibres économiques ? • Mais il ne fait souvent que les