Inflation Et Anticipation

ralentissement de l'activité économique - augmentation du chômage ( en 1981 : 2 millions de demandeurs d'emploi dans l'héxagone ( pour la première fois, il atteind les 10 % de la population active en 1993 ) - privilégie exportation aux importations - inflation - staglation - chocs d'offre négatif et de demande ( réduit sa capacité à créer et distribuer des richesses ) - boucle prix salaire sur le marché du travail ( augmentation des prix finaux → dermande de salaire plus élevé pour pouvoir consommer

de M3 reste la transaction. Exogène car la Q de M3 emise ne dépend pas de la prod Neutralité de la monnaie. JB Say, Monétariste (friedman) la monnaie est neutre à terme, sur le CT elle peut avoir des effets qui sont annulés sur le LT grâce aux anticipations des agents Théorie quantitative de la monnaie : Equation de Fisher (hausse des prix = hausse de la Q de monnaie, pas d’effet sur la prod Préférence pour la liquidité : autres motif de D de M3, Keynes : Précaution, Transaction et Spéculation

quantité de monnaie en circulation. Autrement dit si les pouvoirs publics multiplient M par n, les prix P se trouvent multiplier également par n. Cette théorie très simpliste reliant P et M peut rendre service pour expliquer les périodes d’hyper-inflation, en montrant que tout supplément de la monnaie en absence d’une augmentation de la production est forcement inflationniste. L’équation de Fisher a été très critiquée : - Statistiquement, des études ont monté que les prix de détails et les quantités

la demande, ils investissent et embauchent. Ce faisant, ils contribuent à faire croître la demande directement (l’investissement est une composante de la demande) et indirectement (les salariés qu’ils embauchent vont pouvoir consommer). Leurs anticipations optimistes sont auto-réalisatrices et ont un effet multiplicateur sur la croissance par le jeu d’un cercle vertueux. En effet, la demande générée par les revenus distribués motive de nouvelles décisions d’augmentation de la production, qui génère

Tableau de bord de l’environnement international 1) Demande mondiale 2) Prix du baril de pétrole 3) Taux de change 4) Evénements particuliers B. Tableau de bord de l’environnement national 1) Anticipations ménages 2) Anticipations entreprises  II. Economie réelle A. Tableau de bord Contribution à la croissance du PIB B. Tableau variable de tensions Taux de chômage et TU C. Tableau Salaire, Prix, Taux d’intérêt D. La demande

prix et la monnaie . On mesure l'évolution des prix par le taux d'inflation ( augmentation du niveau général des prix). Principe n°10 Existence d'un arbitrage Inflation / chômage à cour terme Plus il y a d'inflation moins il y a aura de chômage. Le pib : agré on permit de synchroniser les courbes de croissances Inflation définition : La perte d epouvoir d'achat dela monnaie se traduisant par une augmentation générale et durable des prix. C'est une augmentation qui est durable et

l’influence. A l’inverse on peut avoir une vision plus précise et plus proche de la situation en analysant le comportement des acteurs, on parlera alors de micro économie. Cela permet d’identifier au plus tôt des tendances majeures et donc d’avoir des anticipations. Chapitre 1 : le rôle du marché dans le système économique Le fonctionnement de l’économie repose sur un système de prise de décisions décentralisé. L’économie est la science des choix. Toute la difficulté est coordonner ces choix pour obtenir

nominal et réel sont égaux par construction, cette définition implique un niveau des prix égal à 1. Le déflateur du PIB est un simple indice. Son niveau est arbitraire, son taux de variation est le taux d’inflation. c) Inflation et chômage : relation il y a une relation entre inflation et chômage mais elle n’est pas mécanique : elle varie dans le temps et selon les pays. Pour la France, on observe une corrélation « souvent » négative entre le taux de chômage et la variation de l’inflation. Cette relation

des Ménages détermine => Offre de Travail Marché du Travail Cela détermine l'offre de Biens et Services Ce mécanisme marche bien dans les années 30. ( grande crise ) b) La courbe de Philips : augmenter les anticipations Friedman ( 1968 ) et Fels ( 1967 ) vont profondément reformuler la signification de la courbe de Philips, qui constitue une pièce fragile du modèle keynésien. i- La courbe de Philips Elle est issu de la publication d'un article empirique

En effet, les contrats de travail fixent les salaires nominaux et non les salaires réels. Ces derniers ne sont donc pas connus directement mais déduits à partir d'une prévision sur l'évolution des prix ( = anticipation des prix pour les économistes). Si l'information et les anticipations des travailleurs sont imparfaites, il leur faudra toujours du temps pour anticiper correctement une hausse ou une baisse des prix en cours. Ce retard a des conséquences importantes dans deux cas de figure :