Inflation

lié au taux d’inflation) et externe (Q de monnaie nationale nécessaire pour acquérir une devise étrangère : taux de change) Forte distribution de crédit => Forte création monétaire (hausse trop rapide de M3) => hausse de la dmde (B&S, actifs) => Inflation et risque de déficit commercial => Baisse de la valeur externe de la monnaie. CONTEXTE : Durant les 30 Glorieuses, les interventions de la BC (ds pays européens) se sont inscrites dans le cadre de politiques économiques de « stop and go » d’inspiration

manifeste par une hausse générale, au taux entretenu, et cumulatif des prix. La théorie économique distingue les types d’inflation selon leur causes : Inflation par la demande ; inflation par les coûts ; inflation structurelle ; inflation d’origine monétaire. Depuis la fin des années 70 la stabilité des prix s’est imposée comme objectif prioritaire des politiques monétaires des pays

Oct 2012 La deuxième thèse indique que même des taux d'inflation modérés peuvent être nocifs à l'efficacité économique et à la croissance dans la mesure où l'inflation engendre une distribution non optimale des ressources1. Le maintien d'une inflation stable est modérée permet à d'autres objectifs macro-économiques d'être réalisés. Ainsi, la stabilité des prix devrait être acceptée comme un objectif final de politique monétaire. Troisièmement, la monnaie n'est pas neutre à court terme et affecte

donc la diminution de leur pouvoir d’achat, les ménages demandent une revalorisation de leur salaire, etc. C’est ce qu’on appelle la spirale inflationniste. L’inflation ne doit pas être confondue avec d’autres notions : Hyperinflation : forte inflation (ex : en Allemagne en 1922-1923, lorsqu’il fallait une brouette pleine de billet pour acheter une baguette de pain !) Stagflation : combinaison d’inflation et de chômage (ex : après le premier choc pétrolier) Désinflation : ralentissement durable

sont proposées, comme l’installation d’une inflation modérée entre pays du nord et ceux du sud. Jean PISANI-FERRY (2011) propose cette solution, qui permettrait selon lui à l’activité économique des pays du sud de la zone euro de reprendre un rythme normal en quatre ou cinq ans. Le principe est d’installer des inflations différentes aux pays de la zone euro, ceux du nord (Allemagne, Autriche, Finlande, Pays-Bas, Belgique, France) auraient une inflation qui augmente de 2% à 4%, tandis que ceux du

DESEQUILIBRES ECONOMIQUES Le 25/01/13 Chap 2 I. Inflation A. La mesure de l’inflation Aujd’hui : fléau contre lequel on lutte. INSEE utilise IPC (: indice des prix à la consommation) pour mesurer l’inflation. On calcule la conso des ménages. Inf : aug généralisée et durable (calcule sur 1an) des prix, il faut que l’IPC aug INSEE prend enquêteur pour relever les prix dans diffs points de vente dans 106 agglomérations. Echantillon comprend près de 160 000 biens & services

menées dans une économie. Objectifs : appréhender ces opérations et leurs manifestations à CT à travers un cadre d’analyse approprié. présenter le modèle keynésien élémentaire CHAPITRE 1 : PRINCIPAUX INDICATEURS DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE : PIB, INFLATION, CHOMAGE Quels indicateurs (agrégats) utilise-t-on pour mesurer l’activité d’une économie donnée ? 1. La mesure de la production agrégée d’une économie (le PIB) Comment mesurer ce que produit une économie sur une période de temps donnée ? Le

réel <=> PIB nominal = Pt . PIB réel Inflation = [Pt / (Pt – 1)] – 1 L'indice des prix à la consommation (IPC): il renseigne sur les prix des biens produits pour rendre compte du pouvoir d'achat des ménages. En ce qui concerne la nourriture, l'habillement .. la pondération est plus élevé que les biens du luxe, l'hôtellerie .. Chômage et inflation. Corrélation négative entre chômage et inflation. Chômage fort, inflation faible et réciproquement. Courbe de Phillips :

l'objectif prioritaire même si ça implique une augmentation des inégalité de revenue. Certains éco pensent qu'il faut lutter contre un chômage élevé plutôt que la lutte contre l'inflation. Alors que d'autres encore établisse la hiérarchie invers (inflation > chômage). Néamoins, il ne faut pas surestimer ces désaccords, car il y a un concensus sur la nature même des objectifs et notamment ils reconnaissent tous que les politiques macroéconomiques doivent viser trois objectifs: 3) Trois objectifs

une hausse durable du niveau général des prix. Certains prix augmentent davantage que d'autres : on constate alors une modification des prix relatifs. L'inflation " galopante ", dont on ne maîtrise plus la progression, peut évoluer vers une hyper-inflation (Allemagne des années 1922-1923). Lorsque de surcroît, l'inflation s'accompagne d'une stagnation de la production et généralement d'une augmentation du chômage, on parle de stagflation. (années 1970). Ce type d'inflation est généralement lié aux